Elles sont « catholiques » de nom mais elles sont immigrationnistes de fait ! Elles se disent « catholiques » pour mieux imposer le nouvel Évangile du migrante, cher au pape François. En prêchant un « christianisme » pseudo-humanitariste et solidaire, pseudo-catholique aux vertus chrétiennes devenues folles, elles sont le cheval de Troie de l’invasion migratoire et du Grand Remplacement.
Elles sévissent depuis des décennies dans les pays européens submergés par l’immigration, grâce bien trop souvent l’aide d’évêques modernistes et progressistes déconnectés de leur mission première qui consiste à prêcher, à temps et à contretemps, la foi en Jésus-Christ, seul et unique Sauveur du monde, mais branchés à l’altruisme socialo-marxisant de l’establishment mondialiste.
A quelques semaines des futures élections législatives en Italie, ces associations prétendument catholiques ou ecclésiastiques ont fait sept propositions soi-disant pour sortir de l’urgence migratoire, des insuffisances et de la lenteur du système d’accueil. Sept propositions pour « démontrer que gouverner le phénomène migratoire c’est possible, en garantissant les droits et les devoirs de tous et en s’opposant à l’actuelle vague de racisme et de xénophobie. »
Parmi les requêtes avancées on trouve l’éternelle revendication de la gauche internationaliste : « le droit de vote pour les étrangers qui travaillent en Italie ». Pareillement ces associations, telles la Communauté Saint’Egidio, le mouvement des Focolari, l’Action catholique, le Centre jésuite Astalli pour les réfugiés, militent pour « une réforme des lois sur la citoyenneté pour imposer à la place du droit du sans le fameux droit du sol rejeté pourtant par les Italiens au cours de l’année 2017. Elles demandent également la mise en place de nouvelles modalités d’entrée plus libérales qu’elles ne le sont déjà. Et elles aspirent à développer les couloirs humanitaires, pour permettre une entrée par des voies légales aux ‘migrants’.
Bien entendu toutes ces belles consciences morales donnent des leçons d’économie aux Italiens en prétendant cette main-d’œuvre indispensable au tissu industriel de la péninsule et donc n’enlevant pas de travail aux autochtones.
Simplifier et unifier le système d’accueil, toujours dans un sens qui ne peut qu’encourager les arrivées illégales, est un autre de leur dada.
Immigrationnistes et immigrophiles convaincues, ces associations se donnent le beau rôle face aux médias et à la pensée unique en reliant leur combat en faveur des migrants au combat antiraciste :
« Chaque type de discrimination envers quelqu’un est un affront à la dignité de ces personnes qui ont fui leurs terres parce qu’elles étaient déjà discriminées. Nous prenons donc une position nette par rapport à celui qui fait du racisme un élément de la propre campagne électorale »
a expliqué le Père Ripamonti, du Centre Astalli à Vatican Insider. Dans un raccourci parfaitement injuste et discriminatoire mais si politiquement correct, le père jésuite compare toute défense de l’identité nationale et civilisationnelle des pays du Vieux Continent par certains partis politiques à de la xénophobie :
« je me sens comme chrétien capable d’assumer mes responsabilités dans ce contexte historique où certaines forces politiques, les forces racistes et xénophobes, rehaussent la tête : alors il faut dire non, que ceci ne fait pas partie de notre appartenance chrétienne et de notre appartenance citoyenne. »
En Italie, comme en France d’ailleurs, les associations ecclésiales et ‘catholiques’ sont des alliées de l’immigration-invasion. Leur attitude multi-culturelle et mondialiste est une autre conséquence du dialogue inter-religieux promu par l’Église conciliaire. Le principe de suppression des frontières religieuses et spirituelles s’imposent à la nature… D’ailleurs ce sont ces mêmes associations qui prônent l’accueil à tout va qui prêchent l’union œcuménique et inter-religieuse « dans la diversité » !
Francesca de Villasmundo