Malheureusement, de nombreux Français semblent l’ignorer.
Mais, le 26 mai prochain, à l’occasion des élections européennes, c’est le feu nucléaire qu’ils auront entre leurs mains par bulletin de vote interposé.
En effet, une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique, tant au plan national qu’au plan européen, d’une ampleur jusque-là jamais atteinte.
C’est la raison pour laquelle toute la Macronie, maintenant aux abois, et au mépris de toutes les règles démocratiques, morales et éthiques, tente de colmater les brèches d’un vaisseau amiral qui menace de sombrer.
Un temps piloté par une Nathalie Loiseau, aujourd’hui totalement disqualifiée par son incompétence et son inexpérience politique, c’est le président de la République lui-même qui, rompant avec la neutralité institutionnelle et historique de sa fonction, se voit obligé de venir défendre son projet européen.
Et c’est à grands renforts d’appuis médiatiques, dont il bénéficie d’ailleurs depuis le début de son mandat, et de soutiens politiques, dont les incontournables et opportunistes Bayrou, Cohn-Bendit et Raffarin, qu’il espère sauver son quinquennat et son avenir politique.
Car il s’agit bien de son avenir politique.
Il n’échappe plus à personne que Macron n’est parvenu au pouvoir qu’avec l’aide de la haute finance internationale.
Que ses parrains, dont l’obscur Soros, ne l’ont poussé au sommet de l’État qu’avec l’assurance qu’il saurait renvoyer l’ascenseur et promouvoir une politique mondialiste et multiculturaliste.
Mais pour cela, sa mission était double.
D’abord, mettre la France au pas.
C’est ce qu’il s’acharne à faire depuis deux ans, déclenchant la plus vaste crise sociale de ces cinquante dernières années et n’hésitant pas à faire de la répression un outil majeur de sa gouvernance.
Comptant sur la durée et sur la lassitude des Français, il est en voie de réussir son pari et de faire d’une majorité de Français des déshérités.
Le second objectif qui lui était assigné, et certainement le plus important, consistait en une victoire incontestable aux élections européennes.
Face à une Europe, en particulier à l’Est et au Nord, qui marque de plus en plus souvent son scepticisme par rapport au projet européen, la tâche qui lui revenait était de redonner une nouvelle dynamique à une ambition dont les peuples se méfient ouvertement.
Et c’est bien ce combat que Macron craint de perdre le 26 mai.
Sa défaite dans les urnes signifierait, pour lui, une rupture quasiment définitive avec ses mandataires de la haute finance internationale.
Par ailleurs, elle risquerait, au plan intérieur, de relancer un mouvement de contestation qui ne demande qu’à resurgir.
On le voit donc bien, c’est à un quitte ou double qu’est confronté Jupiter.
S’il perd les élections, après s’y être investi à titre personnel comme il le fait, il n’aura d’autre choix que de démissionner.
Car c’est bien lui qui, par son attitude partisane, vient de transformer le scrutin du 26 mai prochain en référendum pour ou contre sa politique.
Par ailleurs, ayant failli dans la mission qui lui était confiée par ses soutiens mondialistes et européistes, il n’aura d’autre choix que de se retirer tel un général battu en rase campagne et donc bon pour un limogeage séance tenante.
Mais cette issue, inespérée pour beaucoup de nos concitoyens, ne sera possible qu’à la seule condition que la liste LREM soit laminée lors du vote programmé à la fin du mois.
Pour cela, il importe que tous les électeurs se rendent aux urnes afin d’exprimer leur rejet de la politique intérieure de Macron et leur refus de voir se mettre en place une Europe fédérale briseuse des nations.
Olivier Damien
En effet, une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique, tant au plan national qu’au plan européen, d’une ampleur jusque-là jamais atteinte.
C’est la raison pour laquelle toute la Macronie, maintenant aux abois, et au mépris de toutes les règles démocratiques, morales et éthiques, tente de colmater les brèches d’un vaisseau amiral qui menace de sombrer.
Un temps piloté par une Nathalie Loiseau, aujourd’hui totalement disqualifiée par son incompétence et son inexpérience politique, c’est le président de la République lui-même qui, rompant avec la neutralité institutionnelle et historique de sa fonction, se voit obligé de venir défendre son projet européen.
Et c’est à grands renforts d’appuis médiatiques, dont il bénéficie d’ailleurs depuis le début de son mandat, et de soutiens politiques, dont les incontournables et opportunistes Bayrou, Cohn-Bendit et Raffarin, qu’il espère sauver son quinquennat et son avenir politique.
Car il s’agit bien de son avenir politique.
Il n’échappe plus à personne que Macron n’est parvenu au pouvoir qu’avec l’aide de la haute finance internationale.
Que ses parrains, dont l’obscur Soros, ne l’ont poussé au sommet de l’État qu’avec l’assurance qu’il saurait renvoyer l’ascenseur et promouvoir une politique mondialiste et multiculturaliste.
Mais pour cela, sa mission était double.
D’abord, mettre la France au pas.
C’est ce qu’il s’acharne à faire depuis deux ans, déclenchant la plus vaste crise sociale de ces cinquante dernières années et n’hésitant pas à faire de la répression un outil majeur de sa gouvernance.
Comptant sur la durée et sur la lassitude des Français, il est en voie de réussir son pari et de faire d’une majorité de Français des déshérités.
Le second objectif qui lui était assigné, et certainement le plus important, consistait en une victoire incontestable aux élections européennes.
Face à une Europe, en particulier à l’Est et au Nord, qui marque de plus en plus souvent son scepticisme par rapport au projet européen, la tâche qui lui revenait était de redonner une nouvelle dynamique à une ambition dont les peuples se méfient ouvertement.
Et c’est bien ce combat que Macron craint de perdre le 26 mai.
Sa défaite dans les urnes signifierait, pour lui, une rupture quasiment définitive avec ses mandataires de la haute finance internationale.
Par ailleurs, elle risquerait, au plan intérieur, de relancer un mouvement de contestation qui ne demande qu’à resurgir.
On le voit donc bien, c’est à un quitte ou double qu’est confronté Jupiter.
S’il perd les élections, après s’y être investi à titre personnel comme il le fait, il n’aura d’autre choix que de démissionner.
Car c’est bien lui qui, par son attitude partisane, vient de transformer le scrutin du 26 mai prochain en référendum pour ou contre sa politique.
Par ailleurs, ayant failli dans la mission qui lui était confiée par ses soutiens mondialistes et européistes, il n’aura d’autre choix que de se retirer tel un général battu en rase campagne et donc bon pour un limogeage séance tenante.
Mais cette issue, inespérée pour beaucoup de nos concitoyens, ne sera possible qu’à la seule condition que la liste LREM soit laminée lors du vote programmé à la fin du mois.
Pour cela, il importe que tous les électeurs se rendent aux urnes afin d’exprimer leur rejet de la politique intérieure de Macron et leur refus de voir se mettre en place une Europe fédérale briseuse des nations.
Olivier Damien
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