Le 5 mai 2019, Agnès Buzyn affirmait que la France n’est «pas tenue» par l’avis du comité de l’ONU.
Le 20 mai 2019, on apprend que la cour d’appel
“ordonne à l’État français (…) de prendre toutes mesures aux fins de faire respecter les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées le 3 mai 2019 tendant au maintien de l’alimentation et l’hydratation”.