Les médias parlent des fortifications construites en Israël, ils déblatèrent sur la clôture renforcée contre les migrants en Hongrie, ils vocifèrent sur le mur que Trump tente de construire à la frontière mexicaine. Ces actions sont analysées, scrutées, dénoncées, dévoilées comme des scandales.
Il n’y a pas de phrases assez dures dans les journaux pour décrire ces « horreurs ».
Pourtant, il y a un autre mur qui existe et dont les grands médias ne parlent jamais, un mur non en pierre ou en béton mais en pensée unique et en opinion convenue : c’est le mur du politiquement correct.
Celui que les médias refusent de franchir, celui qui interdit de nommer, de discriminer (comme ils disent), celui qui transforme un descendant d’allochtones, notamment musulman, en « jeune des cités », sans plus de précision, pour ne pas fissurer la bien-pensance.
Car si radio et télévision valorisent journellement l’intégration dans les écoles ou le travail, a contrario, ils ont un regard méfiant sur ceux qui prônent la protection des frontières.
Le but est simple : laisser passer un minimum de mots sur l’insécurité terroriste ou ordinaire provenant de personnes issues de l’immigration.
Hélas, pour ces médias, il devient parfois impossible de cacher la vérité.
C’est le cas pour Mohamed Hichem M., cet Algérien qui a conçu le colis piégé dont l’explosion a fait treize blessés, le 24 mai dernier à Lyon.
Le Parisien est bien allé chercher à Oran le témoignage surprenant d’Islaam le « meilleur ami » de Mohamed.
Un ami qui déclarait : « Quand bien même il aurait des compétences pour fabriquer une bombe, jamais il ne ferait de mal à quelqu’un… Il n’est pas du tout un extrémiste. Il n’a jamais été violent, tout le monde l’adore ici. Il est musulman, fait la prière et le ramadan, mais il n’est pas du tout extrémiste. Lorsqu’on discute de religion, c’est pour parler du prophète et des versets du Coran, mais pas de l’État islamique. »
Sauf que l’exploitation de son matériel informatique saisi au cours des perquisitions a mis en évidence des recherches sur Internet relatives au djihad et que le suspect vient d’admettre avoir fait allégeance à Daech.
Mais pour les médias du système, il ne pouvait être qu’un brave gosse à vélo, un étudiant en informatique qui était également pion au Lycée Ampère à Lyon.
Or, l’école lyonnaise, où il était censé être inscrit, a précisé qu’il n’avait jamais fait partie de l’établissement.
Ayant des visas de court séjour, il avait demandé un visa étudiant qui lui avait été refusé.
Si ce terroriste était clandestin et surveillant dans un lycée, qui l’a recruté pour cet emploi ?
Qui a signé pour sa protection sociale ?
Qui a vérifié qu’il faisait véritablement partie d’un établissement universitaire ?
Cela est le cas, aussi, de ce chauffeur de car qui, à Paris, a écrasé un automobiliste, mardi dernier, quai Voltaire.
Celui-ci, « furieux d’avoir été percuté », sort de son véhicule et se dirige vers le chauffeur du bus, la discussion s’envenime, ils finissent par se battre.
Puis le chauffeur du car touristique reprend sa place au volant, démarre et écrase l’automobiliste contre un bus.
Âgé de 56 ans, ce dernier meurt sur le coup.
Le conducteur, interpellé pour « homicide volontaire », est présenté sans plus de précision comme un simple Parisien âgé de 46 ans résidant dans le XVe arrondissement.
Il faut aller sur Valeurs actuelles pour en apprendre un peu plus : l’auteur s’appelle Omar M., né en Algérie en 1973.
On le voit, le mur vient de se lézarder par deux fois mais il tient bon.
J.-P. Fabre Bernadac
Il n’y a pas de phrases assez dures dans les journaux pour décrire ces « horreurs ».
Pourtant, il y a un autre mur qui existe et dont les grands médias ne parlent jamais, un mur non en pierre ou en béton mais en pensée unique et en opinion convenue : c’est le mur du politiquement correct.
Celui que les médias refusent de franchir, celui qui interdit de nommer, de discriminer (comme ils disent), celui qui transforme un descendant d’allochtones, notamment musulman, en « jeune des cités », sans plus de précision, pour ne pas fissurer la bien-pensance.
Car si radio et télévision valorisent journellement l’intégration dans les écoles ou le travail, a contrario, ils ont un regard méfiant sur ceux qui prônent la protection des frontières.
Le but est simple : laisser passer un minimum de mots sur l’insécurité terroriste ou ordinaire provenant de personnes issues de l’immigration.
Hélas, pour ces médias, il devient parfois impossible de cacher la vérité.
C’est le cas pour Mohamed Hichem M., cet Algérien qui a conçu le colis piégé dont l’explosion a fait treize blessés, le 24 mai dernier à Lyon.
Le Parisien est bien allé chercher à Oran le témoignage surprenant d’Islaam le « meilleur ami » de Mohamed.
Un ami qui déclarait : « Quand bien même il aurait des compétences pour fabriquer une bombe, jamais il ne ferait de mal à quelqu’un… Il n’est pas du tout un extrémiste. Il n’a jamais été violent, tout le monde l’adore ici. Il est musulman, fait la prière et le ramadan, mais il n’est pas du tout extrémiste. Lorsqu’on discute de religion, c’est pour parler du prophète et des versets du Coran, mais pas de l’État islamique. »
Sauf que l’exploitation de son matériel informatique saisi au cours des perquisitions a mis en évidence des recherches sur Internet relatives au djihad et que le suspect vient d’admettre avoir fait allégeance à Daech.
Mais pour les médias du système, il ne pouvait être qu’un brave gosse à vélo, un étudiant en informatique qui était également pion au Lycée Ampère à Lyon.
Or, l’école lyonnaise, où il était censé être inscrit, a précisé qu’il n’avait jamais fait partie de l’établissement.
Ayant des visas de court séjour, il avait demandé un visa étudiant qui lui avait été refusé.
Si ce terroriste était clandestin et surveillant dans un lycée, qui l’a recruté pour cet emploi ?
Qui a signé pour sa protection sociale ?
Qui a vérifié qu’il faisait véritablement partie d’un établissement universitaire ?
Cela est le cas, aussi, de ce chauffeur de car qui, à Paris, a écrasé un automobiliste, mardi dernier, quai Voltaire.
Celui-ci, « furieux d’avoir été percuté », sort de son véhicule et se dirige vers le chauffeur du bus, la discussion s’envenime, ils finissent par se battre.
Puis le chauffeur du car touristique reprend sa place au volant, démarre et écrase l’automobiliste contre un bus.
Âgé de 56 ans, ce dernier meurt sur le coup.
Le conducteur, interpellé pour « homicide volontaire », est présenté sans plus de précision comme un simple Parisien âgé de 46 ans résidant dans le XVe arrondissement.
Il faut aller sur Valeurs actuelles pour en apprendre un peu plus : l’auteur s’appelle Omar M., né en Algérie en 1973.
On le voit, le mur vient de se lézarder par deux fois mais il tient bon.
J.-P. Fabre Bernadac