Bernard Plouvier
Tout le monde le sait, nos paisibles immigrés algériens ont ravagé, ces jours derniers, quelques quartiers de Paris, Lyon, Nantes (entre autres lieux festifs) dans les suites d’une victoire sportive de la République algérienne, où les activités mafieuses sont plus connues que les exploits sportifs.
On comprend que les « jeunes » aient voulu célébrer l’événement. Ils l’ont fait à leur façon : pillages, incendies de voitures, attaques de commissariats et caillassages des voitures de police et de pompiers, agressions physiques diverses – les femmes violées n’osent même plus porter plainte, d’autant que les « forces de l’ordre » macroniennes ne sont guère intéressées : les grands patrons carriéristes nagent dans le sens du courant de Fringant Jeune Président.
Eh bien, il en va de même à Londres ! Les journaux qui ne pratiquent pas l’auto-censure sur l’immigration exotique – le Brexit connaîtrait même un regain de ferveur – évoquent la « perte de la maîtrise des rues dans certains quartiers du Grand Londres ». Bref, il y a des zones de non-droit chez Britannia, comme à Marseille, Roubaix, Rouen, Saint-Étienne, Toulouse etc.
Il faut dire que la Perfide Albion nous avait précédés en matière d’émeute raciale. Lorsque François le Mondialiste (rien à voir avec François II, le Gras) était arrivé à Londres, pour sa première visite officielle, cornaqué par son petit génie Attali, en 1981, il avait assisté à une émeute de Jamaïcains… il aurait pu tomber sur une émeute de Pakistanais ou d’Ougandais : on vit avec la racaille qu’on importe.
Chacun se souvient qu’en mai 2016, un avocat politicien travailliste est devenu Lord-maire de Londres, avec le soutien d’une grosse partie de l’électorat de souche européenne : le mahométan de souche pakistanaise Sadiq Khan, dont la femme s’exhibe voilée dans sa limousine… à quand la burka et le burkini ?
Or, les chiffres de la criminalité & de la délinquance londoniennes sont tombés en ce beau mois de juillet. En trois années de fonction, l’équipe du maire mahométan a remporté le grand prix du chaos. Les agressions au couteau – certes bien connues dans la ville de Jack, The Ripper, mais sur un mode occasionnel et somme toute artisanal – ont explosé de 52%, dépassant un peu les 108 000 en trois ans. Les cambriolages ont crû de 17% ; c’est une simple peccadille, car les vols avec agression physique ont augmenté de 59%.
Comme Washington, avant qu’une équipe énergique décide de la nettoyer grâce au sain principe de « la tolérance zéro » (très peu apprécié du crypto-islamiste Barak Hussein Obama, allez savoir pourquoi ?), Londres est devenue capitale du crime et de la violence. Le jeu de mots sur le nom du Lord-maire circule sur toutes les lèvres tuméfiées.
Encore un effort dans la régression sociale et le Paris macronien rivalisera avec le Londres des nuits sadiques, pour la plus grande joie de la racaille inutilement importée.