"Il avait accès à tout, aux ordinateurs, aux codes d'accès, aux messageries", et aussi à la liste des policiers infiltrés dans les mosquées.
Les policiers parlent, même - et on les comprend... - si c'est sous couvert d'anonymat : "Du fait de ses fonctions, Harpon avait accès aux fichiers protégés, notamment à celui où figure l'identité des taupes. Il nous faut savoir s'il les a partagés... S'il a pu accéder à la liste de nos sources infiltrées dans les mosquées salaf, on risque de pleurer bientôt d'autres morts".