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L’Europe, c’est l’Eldorado, j’ajouterais… l’Eldorado de la méduse !

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Source Riposte laïque cliquez ici

Samedi 12 et Dimanche 13 octobre se tenaient les treizièmes journées de « Synthèse Nationale », qui ont accueilli – notamment – Monsieur Jean-Marie Le Pen. Le père de la Droite nationale patriote nous a offert un discours d’une grande clarté, d’une grande humanité et d’une grande vérité, comme toujours.

L’Occident s’est construit durant des siècles et a déjà, par le passé, fait face à deux invasions migratoires. L’une, Al Andalus, en Espagne, a duré du VIIe au XIIe siècle sans jamais apporter de progrès, l’autre fut arrêtés à Vienne, au XVe siècle. Dans les deux cas, ces invasions furent permises non seulement par la détermination sauvage des disciples de Mahomet, pourtant souvent inférieurs en nombre, mais également et souvent par la complicité et la trahison de certains potentats locaux…

On le voit, l’Histoire se répète. Pourtant, souligne Monsieur Jean-Marie Le Pen, le monde occidental et l’Europe en particulier n’ont jamais été dans la situation où ils se trouvent aujourd’hui. « Il vient de se produire, dans les cinquante dernières années, l’un des phénomènes les plus extraordinaires de l’humanité. C’est la révolution démographique qui a porté la population mondiale de deux à huit milliards d’individus. » Et d’ajouter : « Le seul continent qui échappe à ce phénomène est celui que j’appelle le continent « Boréal », de Vladivostok à Gibraltar et qui comprend également les pays slaves… ». Huit milliards d’individus, donc, dont la majorité, grâce à une natalité non maîtrisée : « vivent dans des pays qui sont déjà aux limites de la catastrophe sociale et aux limites de la misère et si l’on augmente de telle façon les populations de ces pays sans y adjoindre les productions de biens qui correspondraient aux besoins, on entre dans une période de troubles extrêmement graves. Ces populations chercheront à fuir [comme on le constate aujourd’hui - NDLR] pour rejoindre l’Europe. » Cette Europe que l’on vante à travers le monde, attractive pour ceux qui ont peu, parfois rien, ces populations veulent la rejoindre. L’Europe, ajoute Monsieur Le Pen, décidément, ne perd pas son sens de la formule « C’est l’Eldorado… L’Eldorado de la Méduse !» On comprend que ce problème majeur dans notre monde occidental n’est pas près de trouver sa solution, si l’on ne réagit pas massivement ! Note d’espoir, toujours selon notre Patriarche : « Il n’est pas trop tard ! cependant, il faudra du courage et de l’imagination pour refouler ces gens qui ne sont pas compatibles avec notre conception du monde. Il ne faut pas croire, comme le pensent un certain nombre de benêts, qu’il suffit d’être gentils et courtois pour être admis pour se partager le pouvoir… Dans ce genre de conflits, il y a un vaincu et un vainqueur et, généralement, le sort du vaincu est peu enviable. »

Si l’on veut éviter cet avenir désastreux pour notre pays, « il faudra impérativement envoyer un message fort à ces populations et à leurs dirigeants, et il faudra dans le même temps changer nos législations sociales, car c’est à cause de ces législations que ces populations viennent en France. On ne peut pas leur faire le grief de vouloir sauver leur peau, chez eux, ils sont menacés de mort ou crèvent de faim ou de soif… » souligne Monsieur Le Pen.

Pour finir, toujours avec cette clairvoyance à laquelle ce grand patriote nous a habitués, il nous prévient : « Nous devons poser en principe que nous avons le droit et le devoir de nous défendre en priorité. On me demande souvent, que feriez-vous si vous arriviez au pouvoir ? La première chose que je ferais, c’est une adresse que je lancerais à l’égard du monde en leur disant : écoutez, nous savons que vous avez de grandes difficultés dans vos pays – et qu’elles vont s’aggraver. Nous avons pour vous de la sympathie et nous ferons pour vous tout ce que nous pourrons – au-delà de ce qui est nécessaire à notre peuple lui-même – pour vous aider. Mais il faut que vous sachiez que, si vous venez chez nous, sans titre et sans autorisation, vous n’aurez droit à rien, à strictement rien. Ni logement, ni travail, ni école pour vos enfants, ni place dans nos hôpitaux à l’exception d’accidents particuliers… »

Sortir l’Europe de la repentance et l’Afrique de l’infantilisme

La faiblesse, le manque de courage politique et la « fameuse » repentance largement soutenue jusque par Macron à propos, notamment – de l’Algérie, caractérisent à ce point nos dirigeants, depuis des décennies, qu’ils sont responsables, avec une partie consentante du peuple français, de la situation catastrophique que nous connaissons aujourd’hui. Et tout sens critique nous étant interdit, nous acceptons de voir arriver sur notre sol des populations qui seraient plus utiles au développement de leurs pays. Il nous faut entendre ceux qui se lèvent avec courage pour nous aider à comprendre. Parmi les « lanceurs d’alerte » et il y en a de plus en plus. Éric Zemmour, Céline Pina, et aujourd’hui, parmi d’autres, Ernest Tigori, un Africain intellectuel ivoirien engagé exilé en France qui a reçu le Prix Mandela de littérature en 2017.

Il dénonce avec vigueur, depuis les années 90, la classe politique qui ruine son pays et le manque de courage et de clairvoyance de ses dirigeants. Il est venu, avant Monsieur Jean-Marie Le Pen, nous expliquer « qu’il faut cesser d’accabler à tort l’Europe repentante à propos de l’esclavage, la traite négrière, la colonisation, le néocolonialisme, le racisme ou l’immigration massive. » Tout ce qui pollue aujourd’hui le comportement social et politique d’une majorité de Français, permet aujourd’hui à la France d’accueillir massivement des populations exogènes, surtout venues d’Afrique, au nom des droits de l’homme, d’une grande inconscience, d’une parfaite naïveté et d’une non moins grande repentance, largement diluée dans une grande ignorance historique. Et puis, il faut bien l’avouer, notre pays est une terre d’accueil fertile en aides de toutes sortes, idéales pour ces migrants, leur permettant de « s’installer » durablement sans avoir aidé le moins du monde à construite le pays, pendant que sur leurs terres natales le niveau de vie baisse inexorablement, leur sécurité également jusqu’à leurs vies qui sont parfois considérées comme de la marchandise vivante.

Et pour venir en complément des alertes de Monsieur Jean-Marie Le Pen, au cas où certains trouveraient encore à redire sur sa clairvoyance, son humanisme et son courage politique, Ernest Tigori avance également, dans son livre, à propos de l’immigration massive (page 403) «  Il y a aussi ceux qui cherchent de la publicité, qui se font passer à bon compte pour des humanistes, qui s’achètent une bonne conscience de pure ostentation […] parfois même à profiter d’une certaine naïveté de l’opinion pour jouer les humanistes pendant qu’ils s’empiffrent dans de juteuses filières de passeurs… » Et plus loin : « À toutes ces catégories, nous préférons celles qui s’engagent sur le terrain pour combattre le mal là où il se produit, c’est-à-dire en Afrique. […] Le mal est en Afrique où des potentats corrompus détruisent la vie de centaines de millions d’êtres humains, en toute impunité, couverts par la souveraineté des États ou protégés par des réseaux occultes internationaux. Et Ernest Tigari de finir par cet avertissement qui rejoint celui de Monsieur Jean-Marie Le Pen : « Si rien n’est fait, les migrations massives de populations du Sud vers le Nord de la Méditerranée déstabiliseront tout l’attelage Europe-Afrique. »

Ernest Tigari est donc, parmi d’autres nous le disions, un lanceur d’alerte majeur, d’autant plus crédible sur le sujet africain très mal connu des Occidentaux qu’il est originaire de Côte d’Ivoire. « Sa logique rigoureuse dans l’analyse des faits ainsi que son courage politique font de lui un auteur qui sort des sentiers battus. » nous révèle l’éditeur dans la présentation de son dernier livre « L’Afrique à désintoxiquer », paru il y a peu aux éditions « Dualpha » cliquez ici. « Ernest Tigori se distingue de cette élite noire, majoritairement incapable d’autocritique, qui perd son temps en jérémiades au lieu d’être exigeante avec elle-même. […] Pour que l’attelage Europe-Afrique retrouve de la vigueur, il importe que les Africains sortent de l’irresponsabilité et de l’infantilisme… et les Européens de la repentance. » Il rejoint en cela la position de Monsieur Le Pen lançant aux peuples migratoires son message d’alerte. Sera-t-il entendu une bonne fois pour toutes quand, dans le concert lénifiant de « L’humanisme dégoulinant » sa voix avisée s’élève avec le courage patriote qu’on lui connaît pour défendre la vérité sur le devenir de notre nation ?

Jean-Louis Chollet

 * Le titre est de Monsieur Jean-Marie Le Pen

http://synthesenationale.hautetfort.com/

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