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Dans la revue l'Incorrect : François Bel-Ker : « La violence à l’égard de l’Action Française est désormais hebdomadaire »

Après les incidents ayant eu lieu au Mans le week-end dernier et face au traitement médiatique des évènements par les médias dominants cherchant à accabler l’Action française, L’Incorrect a souhaité donner la possibilité à François Bel-Ker, Secrétaire général du mouvement, de s’exprimer sur l’affaire.

Pouvez-vous nous donner votre version des évènements qui se sont déroulés au Mans ce week-end ?

Samedi une commémoration en hommage aux victimes des massacres du Mans du 12 et 13 décembre 1793 était organisée au Mans. 15 000 Vendéens et Chouans furent exécutés par les révolutionnaires. Cette manifestation est organisée régulièrement par le collectif « La marche du souvenir vendéen » au sein de laquelle les militants de l’Action Française sont venus particulièrement en nombre cette année. Il y avait 150 personnes lors de cette manifestation rassemblant principalement des jeunes et des familles et les militants de l’AF étaient près de 80. Nous avons rejoint cette manifestation en notre nom propre, avec notre chef de section locale qui s’y est exprimé, de façon totalement reconnue par « la marche du souvenir vendéen » et en appelant tous les Manceaux qui le souhaitaient à rejoindre l’évènement.

Il s’agissait donc d’une commémoration pacifique ?

Evidemment, puisqu’il s’agit de faire mémoire ! Mais il se trouve que depuis quelques mois devant la présence importante des militants et sympathisants de l’Action Française dans les facultés ou dans les manifestations de Gilets Jaunes, un front se dresse contre nous de la part d’un collectif auto-proclamé et mal nommé « antifasciste ». Ce front était composé pour l’occasion de la CNT (Anarcho-syndicaliste), de la FSU, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, de l’UNEF. Ce collectif a appelé samedi à une contre-manifestation contre l’Action Française. Ouest-France qui a relayé cette information parle d’une centaine de manifestants d’extrême-gauche refusant que les militants d’AF « s’approprient l’héritage des chouans » (sic). C’était une contre-manifestation, à laquelle de nombreux appels à participer avaient été lancés de longue date. Je tiens à préciser que notre manifestation avait été déclarée en préfecture et autorisée par la police.

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