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L’empire écologique

Issue en principe de la droite, car elle aspire à défendre un patrimoine naturel, l'écologie a pourtant été récupérée par la gauche de la gauche et le système mondialiste Cache-sexe de l'extrême gauche pour défendre la submersion démographique du continent européen, elle est aujourd'hui une des cartes maîtresses de l'oligarchie mondialiste pour sa stratégie de prise de pouvoir. Chronique et décryptage des manipulations.

Personne plus que les combattants identitaires ne souhaite la préservation de l'environnement et des sites qui font le charme de nos pays enracinés. Nous avons hérité d'un patrimoine que notre mère nature a mis des milliards d'années à créer, et que nous avons le devoir de défendre, au même titre que nos terres assaillies par des masses d'allogènes inassimilables. Ce n'est pourtant pas une raison pour cautionner les mensonges actuels qui servent d'ailleurs à dissimuler les vrais problèmes : déforestation, menace sur la biodiversité, saccage des sites par le capitalisme apatride, baisse des réserves halieutiques, disparition des abeilles...

Les origines de l’idéologie climatique

L'alarmisme climatique n'est pas nouveau. Dans les années 70, la revue britannique News Scientist se fait l'écho des craintes d'une nouvelle ère glaciaire. À cette époque, le scientifique suédois Bert Bolin, suggère que le dioxyde de carbone pourrait réchauffer l'atmosphère. Ainsi d'après lui, seule une consommation accrue du pétrole et du charbon pouvait changer la donne. Ces théories sont alors peu écoutées d'autant plus que les températures commencent à remonter. Bolin ne fait d'ailleurs que recycler la théorie de son compatriote Svante Arrhenius sur « l'effet de serre » : un concept formulé en 1896, et dû à la présence dans l'atmosphère de certains gaz - dont le CO2 - augmenterait la température globale à la surface de la terre.

Dans les années 1980, après avoir mis une fessée aux Argentins, Margaret Thatcher écrase les syndicats de mineurs. Au même moment, le discours sur le réchauffement climatique commence à émerger. Pour le Premier ministre britannique, l'occasion est trop belle de couper définitivement les ponts avec les syndicats et ainsi de promouvoir l'énergie nucléaire - non polluante. La dame de fer saisira donc la Royal Society (l'académie britannique des sciences) en leur promettant de l'argent s'ils réussissaient à prouver l'impact des énergies fossiles sur le climat. Par la suite, de nombreux groupes de recherche furent créés. En 1988, Mme Thatcher et le Premier ministre canadien Brian Mulroney, convainquent leurs partenaires du G7 de financer un groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Le mur de Berlin s'effondre, et les gauchistes se reconvertissent dans l'écologie, nouvelle idéologie de substitution. Lady Thatcher s'entête et exige des réponses globales. Air connu. Ce sera le début des grands rassemblements comme le sommet de Rio ou de la terre.

Al Gore et l’église de climatologie

On se souvient du battage du protocole de Kyoto en 1997 où les États-Unis avaient pris l'engagement de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

Beaucoup de bruit pour rien, car Clinton donnera l'ordre à sa majorité au sénat de ne pas ratifier... Malgré tout, un juriste nommé Barack Obama, rédigera les statuts de la Bourse mondiale des droits d'émission de gaz à effet de serre... En 2006, Al Gore sort son blockbuster de propagande, Une Vérité qui dérange qui sera condamné au Royaume-Uni en raison de ses 9 erreurs et inexactitudes. De son côté Christopher Walter, ancien conseiller politique de Thatcher, a relevé 26 erreurs supplémentaires. Normal que devant un travail aussi sérieux, Gore ait été récompensé du prix Nobel de la paix en même temps que le GIEC.

Depuis, nous assistons à une divinisation de la nature conformément à l'hypothèse Gaia ; comme dans le navet ethnomasochiste Avatar où la peuplade indigène se rassemble pour prier autour de leur arbre Dieu. Gore a d'ailleurs estimé qu'il fallait mettre les mécanismes de l'économie de marché au service des questions environnementales. À ce titre, il est co-fondateur et PDG de Génération Investment Management LPP fond d'investissements à long terme dans l'économie durable, qui recueille des capitaux d'investisseurs du monde entier et surtout de fonds de pension américains. À sa création en 2004, Gl a déjà drainé 5 milliards de dollars. La défense de la cause mondialiste n'est pas incompatible avec un certain sens des affaires !

Habitué aux escroqueries, Al Gore avait déjà essayé de nous foutre la trouille avec le bug de l'an 2000. Petit fripon va !

La taxe carbone et l'écologie de marché

Et puis il y a la taxe carbone, qui doit réduire un peu plus la souveraineté des nations, et financer le gouvernement mondial. Naturellement, les pays émergents sont les plus pénalisés en raison de leur industrie embryonnaire. Ainsi, les milliards de rente promis par leur rachat des droits à polluer, ont déjà permis de belles escroqueries et servent à imposer une nouvelle financiarisation de l'économie. Cet impôt à quelque chose de kafkaïen mais c'est normal avec Big Brother! En effet car avec le soleil, l'eau et l'oxygène, le CO2 fait partie des 4 éléments indispensables à la vie sur terre. Nul doute qu'on nous fera bientôt payer l'air qu'on respire. Récemment, c'est Michel Rocard qui est venu mettre son grain de sel en défendant la taxe carbone. N'a-t-il pas déclaré : « les souverainetés nationales ont dépassé leur stade d'efficacité, elles entrent dans la période de la nuisance. » Membre à part entière du Bilderberg, il est logique qu'il monte au créneau. Quand on a déjà trahi son pays une fois en tant que porteur de valise du FLN, il n'y a pas de raison de prendre sa retraite. 

Richard Neuville Réfléchir&Agir

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