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Premières leçons à tirer pour la France, vers le 110e jour d’épidémie

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Bernard Plouvier

La pandémie de coronavirus – Covid-2019 – a débuté en décembre 2019. Aux alentours du 110e jour, on relève de façon cumulative, dans les 171 États touchés (les grandes provinces chinoises et les États des USA étant comptés chacun de façon séparée), un peu moins de 310 000 cas confirmés de sujets malades, dont 92 400 sont considérés comme guéris sans séquelle apparente (30%), avec une mortalité stable depuis trois semaines à 4-4,3% des malades (en valeur absolue, le 22 mars 2020, on dénombre un peu moins de 13 100 morts liées directement ou indirectement à la pandémie).

On ne sait encore s’il faut compter 100 ou 1 000 sujets porteurs sains du virus : des sujets contaminés, sans symptôme ou avec une banale indisposition de quelques heures ou deux à trois jours, comme c’est si fréquent durant les mois d’hiver... de fait, la remarquable carte épidémiologique « Global Cases » du Johns Hopkins University and Hospital montre de façon indubitable que l’hémisphère Sud, qui en est à la jonction de l’été et de l’automne, n’est pratiquement pas touché (on verra ce qu’il en adviendra dans trois mois, au début de l’hiver sous-équatorial).    

Objectivement, il existe bien une pandémie (30 à 300 millions de sujets contaminés ; un tiers de million de malades)... et elle s’avère remarquablement peu meurtrière : moins de 15 000 morts en 3,5 mois, infiniment moins que le coût en vies humaines d’un bombardement terroriste, d’une journée ou d’une nuit, sur les villes d’Allemagne ou du Japon durant la Seconde Guerre mondiale ou d’un tsunami d’Océan Indien ou Pacifique.

Pour le cas français : 14 500 cas de malades confirmés et moins de 600 morts. Les grandes pandémies grippales nous ont habitués à une mortalité bien plus grande. Cessons de PANIQUER !

De fait, l’on observe des scènes de fureur dans certains supermarchés de grandes cités - nullement dans les bourgs et petites villes, sauf lorsqu’une ou plusieurs bandes de « sauvages » profitent de l’occasion pour se livrer à leurs exactions contre les honnêtes citoyens et contre des forces de l’ordre, très arrogantes et fort désagréables avec les citoyens-lambdas, mais fort peu réactives face aux canailles qui les invectivent, les caillassent ou usent d’armes (notamment de mortiers !).

Il faut reconnaître que l’accusation rituelle de « racisme » et la peur de la soi-disant « bavure » terrorisent nos gendarmes et policiers... Dans l'évangile selon Saint Matthieu, il est dit : « Si le sel s’affadit, avec quoi salera-t-on ? ». Si nos « flics » n’osent ramener l’ordre là précisément où il devrait l’être, dans nos 2 000 cités et quartiers de non-droit, alors il faut changer de système judiciaire, congédier les faibles et rénover de fond en comble les forces de l’ordre.

Cela passe par la fin du laxisme judiciaire, l’épuration des magistrats gauchistes et l’interdiction des sociétés secrètes minant l’État : on vise tout particulièrement la pieuvre dénommée Grand-Orient, qui rassemble un nombre ahurissant de politicards, de pitres des media et – c’est beaucoup plus grave et parfaitement intolérable – de fonctionnaires (Justice, Police et Préfectorale, Armée, Enseignement et – hélas – Médecine hospitalière). 

Il faut profiter de cette pandémie pour instaurer un contrôle sanitaire aux frontières - du pays ou de l’Europe considérée comme un ensemble. Ce contrôle doit porter d’abord et avant tout sur les personnes que nul n’ose contrôler : les migrants et voyageurs en provenance des pays sales, soit ceux d’Afrique noire et maghrébine, du Proche- du Moyen- et d’Extrême -Orients, en se souvenant que si l’élite de ces continents est de très bonne hygiène, les zones rurales et les pauvres y vivent dans des habitudes déplorables, très au-dessous des conditions d’hygiène indispensables en Occident.

Les épidémies nous viennent des pays sales (hygiène fécale, cutanée, capillaire ou sternutatoire lamentables). Elles nous sont toujours venues à l’occasion du commerce intercontinental ou d’invasions – et l’Europe subit depuis vingt ans une invasion en provenance d’Afrique et d’Orient, qui va crescendo du fait de la faiblesse coupable des princes qui font semblant de nous gouverner et ne sont qu’aux ordres des maîtres du pouvoir : les grands actionnaires et les patrons de la grande production et du grand négoce international, vivant de la surconsommation de masse des Occidentaux.   

On peut compter sur des hommes de la trempe d’un Poutine ou d’un Trump pour réduire et comprimer les importations de marchandises en provenance d’Asie... et eux limitent aussi au maximum l’invasion des immigrants inutiles – d’autant plus inutiles que l’Occident désindustrialisé subit depuis les années 1970 un chômage de masse structurel – et non conjoncturel, même s’il s’aggrave passagèrement à chaque crise liée à l’explosion d’une bulle boursière, liée à l’activité des psychopathes du beau monde des spéculateurs qui ne sont jamais punis pour leur crime envers la société . 

Plutôt que de s’en prendre à telle incapable – après tout, quel politicard français avons-nous connu, nous autres Français de plus de 50 ans, qui n’ait pas dévoilé toutes les facettes de son imprévoyance, de son inexpérience, de son inaptitude ? -, il vaudrait mieux réfléchir à ce que nous a apportés la féminisation de la politique : un surcroît de sensiblerie, un excès de perfidie et une corruption qui n’a rien à envier à celle des politicards mâles ou bisexuels.

Certes, l’équipe de notre jeune Président et son gouvernement ont été en-dessous de tout, mais le système hospitalier français a compensé leurs erreurs : avec 3,9% de mortalité jusqu’à présent, la France fait un peu mieux que la Chine ou la Grande-Bretagne, nettement mieux que l’Espagne et infiniment mieux que l’Italie (9% de mortalité). L’Allemagne démontre qu’elle a le meilleur service de santé hospitalier de la planète (3,75 de morts pour mille cas traités), soit un ratio malades/morts deux fois meilleur que celui des USA et dix fois meilleur que celui des Pays-Bas (3,7% de mortalité).

Il est évident qu’il faut créer non pas des centres d’hébergement pour les immigrés – à renvoyer impérativement dans leur pays d’origine -, mais des centres de quarantaine pour isoler et traiter tous les sujets en provenance de pays où existe une épidémie. Notre argent public sera bien mieux dépensé de cette façon plutôt que de nourrir & héberger des indésirables, venus sans besoin pour nous et apportant un surplus de racisme, de fanatisme et de violence. 

Nos réserves d’antibiotiques (pour les épidémies bactériennes) et d’antiviraux doivent être périodiquement renouvelées et complétées. En aucun cas, la fermeture de lits hospitaliers dans les grandes villes ou en leur périphérie ne peut être autorisée, pour des « raisons budgétaires ». Congédions les administratifs en surnombre du système hospitalier, débarrassons-nous des fonctionnaires inutiles, mais ne licencions aucun soignant efficace et engageons de véritables magistrats intègres et non politisés, de véritables agents du maintien de l’ordre.

Seulement, pour mener à bien une véritable politique d’intérêt national, il va falloir changer de mentalité et ne plus croire les pitres des media, ne plus élire de baratineurs, mais de vrais professionnels ayant l’expérience du véritable travail.

En trois siècles, la France n’a connu que deux hommes d’État. Napoléon Ier eut le mérite d’imposer des institutions qui façonnèrent la France moderne jusqu’à la destruction des années 1968 sq., qui n’a rien d’irréversible. On peut rétablir la peine de mort, interdire l’avortement de complaisance, ramener l’ordre et rendre au travailleur sa noblesse, celle qui provient de la satisfaction du devoir bien accompli, rendre à la femme sa vocation : faire et élever ses enfants.

Raymond Poincaré, avant la Grande Guerre, avait structuré l’Université ; il a tenté d’unifier la nation durant les années 1914-16, puis il eut la faiblesse de ne pas appliquer la loi martiale aux politicards qui voulaient parader. Durant l’entre-deux-guerres, il remit la nation au travail, lui donnant une monnaie stable et introduisant la législation sociale qui lui manquait... certaines de ses réformes projetées ne furent réalisées qu’après la Libération.

De la mort de ce dernier géant à nos jours, nous n’avons connu qu’une journée grandiose de Charles De Gaulle, celle du 18 juin 1940, indispensable à l’orgueil de la nation, et une année de redressement national, de juillet 40 à juin 41, sous la remarquable action du maréchal de France Philippe Pétain, le seul stratège moderne de la Grande Guerre. Depuis lors : le Néant ou le non-Être, au choix !           

La grande leçon morale à tirer de cette panique induite par l’incurie puis l’hystérie de nos princes est notre responsabilité de citoyens. De Gaulle a dit à son aide de camp Claude Guy, le 15 février 1946 : « Pas un qui se soucie de l’intérêt général ! pas un qui défende l’État ! »... mais lui-même avait claqué la porte en janvier, au lieu de créer une dictature de Salut public. Beaucoup plus tard, à son fils Philippe, il a résumé sa pensée : « Si on est minable, on a un gouvernement minable, une armée minable et des élites minables ».    

Ce n’est pas aux élus qu’il faut reprocher d’être des clowns, des inaptes ou des ineptes. C’est à l’électoral français de faire son mea culpa. Lorsqu’on élit, décennie après décennie, des nuls et qu’on regarde des clowns à la télévision, on ne doit se plaindre de rien : on subit les conséquences de sa propre veulerie.

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/03/22/premieres-lecons-a-tirer-pour-la-france-vers-le-110e-jour-d-6222601.html

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