Bernard Antony a eu le courage la non-intervention (solennelle) du président de la République hier :
Ce qu’il a dit sur le déconfinement ne mérite pas beaucoup de lignes sur ce blog.
Passons sur son autosatistaction pour ce qu’il en fut de la gestion de la pandémie du coronavirus.
Ce n’est pas « demain la veille » que l’on aura une remise en cause sérieuse de la perversion idéologique et financiariste du libéralisme mondialiste qui nous a, entre autres dégâts, placé dans une telle dépendance de la production médicamenteuse chinoise.
Et pour ce qu’il en est de ce qu’il appelle « l’Europe », pas l’ombre d’une esquisse de volonté de remise en cause du gros mammouth de l’eurocratie totalitaire bruxelloise. L’Union Européenne est trop au service de l’impérialisme idéologique LGBT pour qu’un Macron ose en critiquer l’inversion radicale des valeurs déterminant sa politique.
Et d’ailleurs, cette inversion est pour l’essentiel celle qu’il partage; comme on a pu le constater par ces maintes photos très significatives qu’il a sciemment voulu faire largement circuler, telles celles prises à l’Elysée un soir de la dite « fête de la musique ».
Sur la dialectique révolutionnaire racialiste de la société française en particulier, ce n’est évidemment pas de lui que l’on pouvait attendre qu’il en vienne à constater que, selon notre formule, aujourd’hui si répercutée, « l’antiracisme est un racisme en sens contraire ».
Même l’inénarrable Caroline Fourest, militante de la cause LGBT, qui voit avec effroi monter le racisme antiblanc sous les oripaux de l’antiracisme, a repris notre expression.
Macron n’a pu aller plus loin dans une analyse de ce phénomène qu’en renvoyant dos à dos le « racisme » et le « communautarisme ».
Incapable, et pour cause, de constater ou d’avouer que c’est dans ce qu’il appelle le « communautarisme », c’est-à-dire, le surgissement de minorités d’origines étrangères de plus en plus nombreuses, de plus en plus structurées et dominatrices que se développe toujours plus le racisme le plus agressif: celui de l’idéologie « décoloniale » de la camarade islamo-gauchiste Houria Bouteldja.
Cette dernière, que, l’Agrif la première a dénonçé et attaqué en justice, a idéologisé depuis des années sous couvert de l’anti-racisme, un fanatique racisme « antiblanc ».
Ce racisme n’est pas seulement une affaire de haine en raison de l’appartenance raciale mais de haine en raison de l’appartenance assumée à la patrie française, à la culture française. Houria Bouteldja professe encore plus de haine contre des patriotes français jaunes ou noirs comme étant des « collabos » des « blancs ».
Elle entend d’ailleurs faire converger lutte des classes et lutte des races, avec les collabos authentiques qui sont les siens, ces blancs de la haine d’eux-mêmes, ces dhimmis consentants qui la suivent masochistement, mélenchoniennement, tels des toutous, dans le racisme antiblanc.
Or lorsque, à plusieurs reprises, Emmanuel Macron a parlé de la colonisation comme d’un crime contre l’humanité c’est hélas non seulement une monstruosité historique qu’il a proférée mais surtout une contre vérité criminelle. En effet c’est ainsi que la France accueille massivement chaque année des populations, et notamment des jeunes algériens à qui l’on apprend à détester le pays qui les reçoit; puisque, un Macron lui-même leur raconte que la colonisation française de leur pays a constitué un crime contre l’humanité.
Oui, avec Macron comme avec son triste prédécesseur Hollande, c’est l’idéologie du génocide français qui est au pouvoir.
Comment mieux massacrer la France que d’apprendre à la haïr à ceux qui s’y installent ?