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Violence et civilisation

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Par Jarente de Senac

La lecture des journaux devient effarante tant le nombre de faits de violence ne cesse de croître selon des modes opératoires auxquels nous n’étions pas habitués depuis que nous n’avons eu de cesse de pacifier nos mœurs, d’instaurer des lois et de générer une violence légale. A ce jour, force est de constater que le principal responsable de cette violence, c’est l’immigration qu’elle soit ou non clandestine. Car ses populations de races et de cultures différentes profitent de nos lois et de nos libertés pour les enfreindre avec la complaisance, souvent, de juges soumis à la religion des droits de l’homme. Et généralement partisans d’une gauche aussi imaginaire qu’utopique où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil".

En société l’homme a des devoirs avant d’avoir des droits. Et ces devoirs sont le fruit de l’éducation qu’il a reçu. Raison pour laquelle l’univers mental des immigrés est trop souvent aux antipodes du nôtre.

Toutefois, il ne faut pas non plus se voiler la face, il y a également en Europe des populations qui posent des problèmes quand elles échappent à nos normes comme les Tsiganes par exemple et certaines populations victimes, jadis, des invasions turques comme les Albanais ou les Bulgares. Ces populations constituent en effet un pourcentage non négligeable de crimes et délits au sein des populations immigrées. Le problème majeur posé parmi ces dernières relève en général de leur religion, l’islam. Et pour cause, ses principes sont contraire à ceux prônés par le christianisme qui, à la suite du paganisme, est la véritable religion de l’Europe. Ce qui a pour conséquence directe que notre territoire est sujet à des zones de non-droit en raison du laxisme de nos gouvernants et de leurs affidés, le personnel politique.

L’un des drames de ce pays, mais aussi des Européens en général, à quelques exceptions près, c’est bien la médiocrité de ce personnel politique qui a perdu tous ses repères culturels inhérents à la constitution même des nations européennes. Il n’y a qu’à constater le délabrement de notre système éducatif pour comprendre comment nous en sommes arrivés là.

Depuis 1968, l’Education nationale n’a cessé sa descente aux enfers et nous en sommes arrivés aujourd’hui à une sorte de point de non-retour. Jean-Michel Blanquer, ministre d’une éducation qui n’a plus rien de national, n’a rien compris au film pour la bonne raison que ce qui nous fait office de Président n’a en rien conscience de ce désastre et encore moins de ses causes. Aujourd’hui, on ne gouverne plus en fonction des desiderata du peuple, mais des contraintes qu’imposent un système économique assujetti au libéralisme. Les dérives de cette nomenklatura politico-administrative a conduit notre pays de désastres en désastres,  industriel notamment et il est en train de s’en prendre au secteur agroalimentaire en appauvrissant nos paysans et nos agriculteurs au bénéfice de la grande distribution. Cette dernière n’a en tête que la rentabilité de leur entreprise au mépris d’une bonne politique de santé publique. En autorisant de plus en plus des normes et des produits transformés, calibrés, épurés, on est en train d’empoisonner la population. Cette pandémie a eu pour effet de mettre en exergue tous les dysfonctionnements d’un système économique devenu fou et absurde qui n’est pas sans rappeler le fameux docteur Folamour.

Est-ce à dire que nous entrons dans un monde infernal qui risque de voir à terme la disparition de tout ce qui a fait la grandeur de l’Europe, de son génie et de l’originalité de ses peuples ?

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/08/15/violence-et-civilisation-6257650.html

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