Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid (490/million) derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède (sans mesures restrictives et donc sans morts collatérales liés au non soin), contre 114/M en Allemagne (qui n’a pas confiné à l’aveugle mais pratiqué la quarantaine ciblée) et 376/M, aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements.[1]
Le coronavirus de l’année ne serait-il qu’un leurre ?
Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la plus grave débâcle française depuis 80 ans, mais les mesures sanitaires inadaptées et disproportionnées (état d’urgence, confinement policier, mesures sanitaires disproportionnées imposées aux Français).
La confusion mentale comme mode de gouvernance
L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres erronés et différents selon les diverses sources officielles entrainent la confusion chez les citoyens et l’impossibilité de s’y retrouver. Entre incompétence et approche totalitaire éprouvée et décrite depuis des années il n’y a qu’un pas que certains évoquent et décident de franchir. Surtout il est possible d’instrumentaliser des personnes pour la mettre en œuvre.
Des antécédents comparables sans mesures destructrices
Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France. Elles n’ont pas justifié l’état d’urgence ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que l’éducation, la santé et l’économie. Notons qu’en janvier 2017, il n’y a pas si longtemps la grippe annuelle aurait tué de l’ordre de 14000 français. Ce n’était pas à l’ordre du jour. Personne n’a rien vu.
Un excès de 25000 victimes Covid19 par rapport à l’Allemagne
Le confinement aveugle a entrainé la démultiplication du nombre de morts, de l’ordre d’un facteur quatre.
En médecine, la prévention des épidémies repose sur la fermeture immédiate des frontières et, lorsque le virus a atteint le territoire national, l’isolement des malades de la population saine.
Le confinement aveugle a, au contraire, imposé l’astreinte à domicile des malades sans gravité, mais virulent, avec leur famille facilitant ainsi la contamination de toute la famille et éventuellement de la cage d’escalier. Les pensionnaires malades des Ehpad se sont vus refusés l’hospitalisation et ont été renvoyés sans traitement dans leur établissement d’origine (hydroxychloroquine et azithromycine interdits de prescription aux médecins par le gouvernement), et contaminer leurs compagnons d’infortune. La thérapie sanitaire proposée était celle du Rivotril afin de proposer un traitement compassionnel entrainant pour une grande partie l’équivalent d’une mort par euthanasie (sans consentement du résident, ni de sa famille et comble de cruauté sans la présence des siens lors de l’agonie, voire de l’enterrement avec incinération imposée trop souvent.)[2]. Ceci est une rupture d’égalité sans précédent entre les Français.
L’étude des courbes de progression de la maladie montre que le confinement général a été incapable de ralentir la progression de l’épidémie qui n’a régressé qu’en avril, en même temps qu’aux Pays-Bas et en Allemagne qui n’ont pas astreint à domicile leurs populations. Le virus se moque des hommes et de leur prétention à le réguler.
En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement « aveugle » ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations belges et néerlandaises.
En pratiquant une politique sanitaire identique à l’Allemagne (défense des frontières et endiguement par quarantaine ciblée,) nous pourrions ne déplorer qu’environ 7000 victimes de Covid19 soit 25000 victimes de moins, ce qui rejoint les estimations du Pr Peronne[3].
Plus de 30 000 victimes supplémentaires actuelles/futures par les défauts de soins
Le confinement s’est accompagné d’un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid interdisant toutes les interventions chirurgicales et réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, en négligeant les malades ordinaires, laissant en raison de ces décisions politiques et non sanitaires des pans entiers de nos hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et conduisant à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.
On aimerait disposer de statistiques… Si un lecteur en possède, qu’il n’hésite pas à les publier ou à nous contacter.
Toutes ces conséquences étaient décelables rapidement et dénoncées par de nombreux observateurs malgré le vide sidéral de ces considérations par les politiques et les médias.[4] [5]
Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont des conséquences critiques sur la vie des malades à court ou moyen terme, sans compter l’angoisse générée et leur effet connu sur la diminution des défenses immunitaires. La notion de traitement « précoce » doit s’évaluer avec le médecin traitant dont on tente de plus en plus à effacer le rôle pourtant essentiel pour l’adaptation des soins à chaque personne unique.[6]
Malades aigus déjà morts du confinement
En Ile-de-France, la crise a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a régressé[7]. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soins, précise l’agence régionale de santé d’Ile-de-France, ce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. » Si même l’ARS l’avoue.
Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière précise que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ». Comme dit encore le ministre et comme répétaient en boucle les médias : « pour sauver des vies » …
Le Monde rapporte le cas d’une Parisienne de 65 ans qui a subi un gros infarctus à son domicile, mais a préféré rester confinée. Sept jours plus tard, elle est conduite à la Pitié-Salpêtrière. Elle meurt d’une « rupture cardiaque ». Même le Monde avoue. Lui qui traitait la Suède de tous les noms pour ne pas confiner et qui, elle, ne compte pas ce type de décès.
Une étude de l’Inserm menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.
En Grande Bretagne, une étude portant sur neuf hôpitaux constate que le nombre total d’admissions et de fréquentation aux urgences a diminué, après le verrouillage du 23 mars, de 57,9% par rapport à l’année précédente. L’activité pour les affections cardiaques, cérébro-vasculaires et autres affections vasculaires a commencé à décliner 1 à 2 semaines avant le confinement total et a chuté de 31% à 88% après le verrouillage, avec les plus fortes réductions observées pour les pontages coronariens, l’endartériectomie carotidienne, la réparation de l’anévrisme de l’aorte et la maladie artérielle périphérique procédures, susceptibles de contribuer à une augmentation de mortalité comme effet indirect de la pandémie. Pourquoi les prévisions de Ferguson et les décisions des gouvernements obéissants ne prennent-elles jamais en compte ces morts indirects mais bien réelles pour ne s’intéresser qu’aux morts virtuelles imaginées par des simulations mathématiques fausses ? Comme on l’a déjà vécu ailleurs, il y a morts et morts pour les politiques et directeurs d’hôpitaux. Certains comptent, d’autres moins…
Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »
Malades chroniques abandonnés
En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, angoissés, désespérés, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.
La cancérologie désorganisée par les ARS
Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision sur une éventuelle reconvocation. C’est l’ARS qui a bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et possiblement remplacées par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Après le cinéma des réunions multidisciplinaires obligatoires depuis le plan cancer, brutalement des décisions administratives sont appliquées ! Pays perdu, médecins transformés en robots devant obéir à des administratifs.
Lits vides inoccupés pendant deux mois et demi sur ordre et la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Elles vérifiaient que les patients qui devaient être opérés « en urgence » étaient vraiment des urgences à leur sens et non à celui du patient et du chirurgien menacé de sanctions financières ou d’interdiction de la clinique. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre le plan blanc (redécidé par le ministère ces jours -ci pas au courant.) et pourtant le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.
Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.
Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de savoir à quel chiffre on aboutira car évidemment cela va se jouer sur des années, surtout si on additionne les morts par suicide actuels et dans les décennies à venir à la suite du choc post traumatique subi par énormément de personnes y compris sans antécédents. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[8]
Malades nouveaux diagnostiqués et traités avec retard
Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants : même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.
En cardiologie
Au Danemark une baisse de 47% des nouveaux cas de fibrillation auriculaire a été observée. De même, le nombre de patients hospitalisés avec une aggravation de l’insuffisance cardiaque (IC) ou un diagnostic de nouvelle apparition a été nettement réduit après le confinement soulevant « des inquiétudes quant à un sous-traitement potentiel de l’IC actuellement qui pourrait avoir un impact sur le pronostic à long terme ».
En cancérologie
En France, durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard.) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».
En France, 380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le confinement, ce chiffre semble être descendu de moitié. En cancérologie l’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».
Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».
Aux USA, durant le confinement la chute des dépistages a été considérables aussi ainsi que le montre cette courbe[9]
Les auteurs de l’étude[10] estiment à près de 10000 morts les conséquences prévisibles des retards de diagnostic pour les seuls cancers du sein et du colon.
Les dermatologues espagnols ont constaté : « en l’absence de diagnostic et de traitement adéquats du carcinome et du mélanome, la survie spécifique à la maladie à 2, 5 et 10 ans chez les patients dont la chirurgie a été retardée de 3 mois a diminué de 6,2%, 8,2% et 5,2%, respectivement ».
Au Royaume-Uni, the Centers for Disease Control and Prevention estiment que, du fait du confinement, une augmentation de mortalité de 20% des nouveaux cancers est à craindre.
Une autre étude britannique chiffre à 59 204 – 63 229 ans le supplément d’années de vie perdues pour les seuls cancers colo-rectaux, du sein, de l’œsophage et du poumon en raison des retards de diagnostic dus à l’enfermement.
En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”
Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère des retards diagnostiques s’élève actuellement pour la France à plus de 25000 morts. Ces estimations ne constituent que des minimas
Les victimes collatérales indirectes et plus ou moins lointaines
Le nombre de victimes collatérales du confinement doit être complété par les conséquences des aggravations des pathologies psychiatriques, et des nouveaux malades psychiques, les futurs suicides liés à la crise économique (qui s’annonce gravissime).
L’aggravation de la famine en Afrique, en particulier va entraîner, d’après l’ONU[11] et le programme alimentaire mondial contre la faim plus d’une centaine de millions de morts évitables. C’est sans compter les enfants affamés italiens à la suite de la politique italienne délétère à l’origine d’un nombre de morts directs des plus élevés mais également de morts indirectes très élevées. Mais la famine guette déjà en France, où on lit de plus en plus de témoignages de mamans : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »
A ces victimes médicales directes
Il faut ajouter celles des violences familiales, l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale colossale[12]. Les français risquent moins du Covid qui ne tue que moins de 0,003% des citoyens (et encore les plus à risque du fait de leur âge et leurs comorbidités) que de la grippe et d’une Crise économique d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.
La crise démocratique est grave avec un état d’urgence permanent devenu la norme sans raison objective, la perte de confiance en la parole de l’état disqualifié par ses mensonges permanents et une opposition trop silencieuse, quasiment disparue du paysage politique, alors que les erreurs gouvernementales lui offraient un espoir vers l’alternance.
Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigé depuis plus de six mois plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée (mortalité Covid 5/M)1 ou Singapour (mortalité 5/M)1 dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.
La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.
Que peut-on faire ?
L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession. Il est grand temps que tous cessent d’être tétanisés par une épidémie qui est terminée (peu de morts journaliers <50 comparativement aux morts quotidiens de 1700 /jour) et seulement des tests positifs chez des personnes dont la quasi-totalité est non malade et incapable de contaminer autrui[13]. Qu’ils le disent et réclament comme en Espagne que les tests covid soient conformes à la règle de signification (moins de 33 amplifications). Cela diviserait par deux le nombre de positifs quotidiens. Il faut aussi tous veiller aux chiffres erratiques du ministre qui utilise parfois des chiffres hebdomadaires et non journaliers pour augmenter la peur.
Les résultats réels du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires inutiles, voire novices (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) et qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tort a été de se faire tester.
Les politiques responsables devraient proposer une politique sanitaire moderne basée sur l’expérience des pays qui ont vaincu l’épidémie sans infliger un remède dix fois plus grave que le mal. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de l’état pitoyable du pays, c’est le confinement et l’ensemble des mesures coercitives qui ont suivi et se sont multipliées au fur et à mesure que le virus disparaissait et a minima ne donnait plus que de petites maladies rapidement réglables.
Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale[14] . “J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique, « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. »
Une politique sanitaire efficace se base sur l’expérience médicale des pays qui ont adressé le problème de la maladie et pas sur des prédictions mathématiques catastrophiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes [15].
Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous devrions méditer les leçons que nous a donné Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes.»
Arrêtons cette propagande par la peur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures inutiles qui affectent la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie. L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois ne viendra pas. Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.
Source : France-Soir
[1] Chiffres publiés par l’OMS le 2/10
[2] Décret Rivotril 26 Mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…
[3] France soir 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste
Publié le 05/08/2020
[4] docteur.nicoledelepine.fr/covid19-et-confinement-aveugle-combien-de-morts-evitables/
[5] www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberrat…
[6] Métier de plus en plus difficile à exercer. Lire le témoignage de cette collègue : https://actu.fr/occitanie/cahors_46042/covid-19-coup-tonnerre-dans-milie…
[7] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?
[8] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.
[9] https://time.com/5884236/coronavirus-pandemic-cancer-care/
[10] https://www.nbcnews.com/health/health-news/10-000-more-cancer-deaths-predicted-because-covid-19-pandemic-n1231551
[11] https://www.france24.com/fr/20200422-covid-19-nous-sommes-au-bord-d-une-pand%C3%A9mie-de-faim-avertit-l-onu
[12] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.
[13] Kary Mullis, Gagnant Prix Nobel et inventeur du test PCR, s’est exprimé dans une vidéo, sur l’utilisation inappropriée du test PCR : “Le {PCR} un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malades. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire…”
[14] Le 27 mai dernier
[15] Le modèle Ferguson qui a effrayé le président en promettant 500000 morts en France s’il ne confinait pas prédisait 70000 morts en Suède et 100000 aux Pays-Bas s’ils refusaient de confiner. Ils n’ont pas confiné et ne comptent au 2/10 (réf 1 ibid.) respectivement 5895 et 6440 morts.