L'avis de Jean-François Touzé
En choisissant de s'attaquer à des fidèles de la basilique Notre-Dame de Nice, l'égorgeur islamiste tunisien ne s'est pas trompé de cible.
Notre foi, nos racines, notre civilisation sont bien au coeur de cette guerre de religion initiée il y a mille trois cents ans et cette nouvelle Toussaint rouge en est la preuve.
Cela n'a pas empêché le Premier ministre, Jean Castex, de déclarer que ce qui était attaqué, c'était "la liberté de culte et de conscience" dans une vision relativiste et laïciste de la réalité.
Non, bougre de sous minuscule contremaître de Macron! Ce ne sont pas je ne sais quelles libertés de culte et de conscience non identifiés et en suspension atmosphérique qui sont attaquées.
Même si ces carnages touchent indifféremment "celui qui croyait au Ciel et celui qui n'y croyait pas" pour reprendre les vers célèbres d'un homme qui fut notre ennemi mais qui avait bien du talent, ce que visent les tueurs islamiques c'est la France dans ses composantes fondamentales, charnelles, nationales et spirituelles. Autrement dit la France européenne et chrétienne, ce qui devrait relever d'un double pléonasme.
Il est des temps où, comme jadis dans les tranchées d'une guerre fratricide, l'union sacrée doit permettre l'unité vraie - c'est à dire celle qui se fait dans le combat. Ce combat vital contre la submersion migratoire et contre l'islamisme, les tenants du régime ne le mèneront jamais comme il conviendrait de le faire. Avec force et brutalité.
Il faut donc au plus vite les exclure de toutes les manettes de direction du pays.
Mais nos compatriotes sont-ils encore capables de ce sursaut qui caractérise les peuples vivants pour porter enfin au pouvoir les forces de la vie nationale ?
La question est posée qui devra trouver une réponse dans les deux ans qui viennent.
Mais existe-t-il toujours un peuple français ?