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Covid-19 : l’horreur progressiste démasquée

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Depuis le début de la pandémie, le  est le mot qui revient à chaque fois à la charge pour justifier toutes les mesures de  et autres, au nom de la préservation de la santé, du caractère sacré de la vie. Thème récurrent du progressisme, que l’on retrouve d’ailleurs dans des pays comme Cuba qui, bien que très pauvre, et totalement privé de toute liberté, est doté d’un système de santé que bien des pays peuvent lui envier.

Si le premier confinement pouvait se justifier par l’effet de surprise, la méconnaissance du virus, l’impréparation de notre système de santé, le même argument ne tient plus aujourd’hui. Les mesures liberticides d’ampleur exceptionnelle prises en France, bien plus sévères que partout ailleurs, ne se justifient que par l’incompétence de ce gouvernement à adapter notre système de santé au risque, alors qu’il a disposé de huit mois pour améliorer les capacités hospitalières ! Il a gaspillé ce temps et, aujourd’hui, ce sont les Français qui paient au prix fort les pots cassés de ses errances.

Progressisme signifierait protection de la santé : oui, mais visiblement pas pour toutes les pathologies. Car si les statistiques nous font un état précis quotidien de la mortalité due au Covid-19, personne ne nous parle des décès liés à des reports de soin, d’examen, pour les autres maladies. Très peu nous parlent de mal-être des Français : il y aurait un doublement des cas de dépression nerveuse. La tristesse et la détresse s’installent dans nos populations. Et il y a de quoi. De nombreuses professions se voient interdites de travailler, d’exploiter leur commerce, de gagner leur vie : restaurateurs, exploitants de salles de cinéma, de spectacle, de discothèque, et bien d’autres. Ces gens se voient privés de revenu, accablés par les charges et les crédits, dépossédés de leur droit fondamental à travailler : ils sont des centaines de milliers en France. Ils sont au bord de la rupture économique, sociale, familiale, psychique, mais pour eux, le progressisme ne compte pas : ils n’ont qu’à faire comme tout les assistés, attendre patiemment que le gouvernement daigne leur débloquer des aides qui ne couvrent même pas 20 % de leurs besoins… Pas grave, ils ne sont pas essentiels, nous dit-on…

Des humoristes « progressistes » salariés du service public ont même été jusqu’à se moquer d’eux, les « chouineurs »… Les vieux n’ont, eux, qu’à rester à l’isolement, et tant pis s’ils meurent de chagrin. Pour les jeunes, pas de travail, pas de cours à l’université, pas de sortie, pas de distraction, pas le moindre job en vue en cette période de récession sans précédent : ne vous plaignez pas, le pouvoir vous sauve la vie, et celle de vos aînés…

Cette année, la dépense publique en France va atteindre les 63 % du PIB : un score inégalé, digne de la Hongrie ou de la Pologne au temps du bloc soviétique. Mais peut-être est-ce là le vrai but recherché par le « progressisme » qui, depuis Marx, s’oppose au « populisme » réactionnaire des petits propriétaires ? Pendant que Macron et sa bande versent des larmes de crocodile sur les indépendants, ce sont Amazon et les GAFAM qui se frottent les mains de sa politique. Que deviendront nombre de commerces et restaurants poussés à la faillite ? Nombre d’entre eux seront probablement, demain, la propriété de grands groupes, grandes banques qui les rachèteront à la casse.

Doit-on vivre seulement pour ne pas mourir ? C’est le choix qu’un régime comme celui de Cuba a proposé à son peuple. C’est un choix que le progressisme nous impose aujourd’hui sans nous permettre d’évaluer le pour et le contre. Comme il nous a déjà imposé le libre-échangisme, l’immigration de masse : à chaque fois, on nous pousse dans un sens précis sans nous permettre d’évaluer sérieusement les tenants et aboutissants. Après nous avoir dépouillé de nos usines, de nos emplois, de notre identité, de notre sécurité, voilà qu’on veut s’emparer de nos libertés et de ce qu’il nous reste de patrimoine. Mais rassurez-vous, c’est pour notre santé que le gouvernement progressiste agit ainsi…

Depuis le début de la pandémie, le  est le mot qui revient à chaque fois à la charge pour justifier toutes les mesures de  et autres, au nom de la préservation de la santé, du caractère sacré de la vie. Thème récurrent du progressisme, que l’on retrouve d’ailleurs dans des pays comme Cuba qui, bien que très pauvre, et totalement privé de toute liberté, est doté d’un système de santé que bien des pays peuvent lui envier.

Si le premier confinement pouvait se justifier par l’effet de surprise, la méconnaissance du virus, l’impréparation de notre système de santé, le même argument ne tient plus aujourd’hui. Les mesures liberticides d’ampleur exceptionnelle prises en France, bien plus sévères que partout ailleurs, ne se justifient que par l’incompétence de ce gouvernement à adapter notre système de santé au risque, alors qu’il a disposé de huit mois pour améliorer les capacités hospitalières ! Il a gaspillé ce temps et, aujourd’hui, ce sont les Français qui paient au prix fort les pots cassés de ses errances.

Progressisme signifierait protection de la santé : oui, mais visiblement pas pour toutes les pathologies. Car si les statistiques nous font un état précis quotidien de la mortalité due au Covid-19, personne ne nous parle des décès liés à des reports de soin, d’examen, pour les autres maladies. Très peu nous parlent de mal-être des Français : il y aurait un doublement des cas de dépression nerveuse. La tristesse et la détresse s’installent dans nos populations. Et il y a de quoi. De nombreuses professions se voient interdites de travailler, d’exploiter leur commerce, de gagner leur vie : restaurateurs, exploitants de salles de cinéma, de spectacle, de discothèque, et bien d’autres. Ces gens se voient privés de revenu, accablés par les charges et les crédits, dépossédés de leur droit fondamental à travailler : ils sont des centaines de milliers en France. Ils sont au bord de la rupture économique, sociale, familiale, psychique, mais pour eux, le progressisme ne compte pas : ils n’ont qu’à faire comme tout les assistés, attendre patiemment que le gouvernement daigne leur débloquer des aides qui ne couvrent même pas 20 % de leurs besoins… Pas grave, ils ne sont pas essentiels, nous dit-on…

Des humoristes « progressistes » salariés du service public ont même été jusqu’à se moquer d’eux, les « chouineurs »… Les vieux n’ont, eux, qu’à rester à l’isolement, et tant pis s’ils meurent de chagrin. Pour les jeunes, pas de travail, pas de cours à l’université, pas de sortie, pas de distraction, pas le moindre job en vue en cette période de récession sans précédent : ne vous plaignez pas, le pouvoir vous sauve la vie, et celle de vos aînés…

Cette année, la dépense publique en France va atteindre les 63 % du PIB : un score inégalé, digne de la Hongrie ou de la Pologne au temps du bloc soviétique. Mais peut-être est-ce là le vrai but recherché par le « progressisme » qui, depuis Marx, s’oppose au « populisme » réactionnaire des petits propriétaires ? Pendant que Macron et sa bande versent des larmes de crocodile sur les indépendants, ce sont Amazon et les GAFAM qui se frottent les mains de sa politique. Que deviendront nombre de commerces et restaurants poussés à la faillite ? Nombre d’entre eux seront probablement, demain, la propriété de grands groupes, grandes banques qui les rachèteront à la casse.

Doit-on vivre seulement pour ne pas mourir ? C’est le choix qu’un régime comme celui de Cuba a proposé à son peuple. C’est un choix que le progressisme nous impose aujourd’hui sans nous permettre d’évaluer le pour et le contre. Comme il nous a déjà imposé le libre-échangisme, l’immigration de masse : à chaque fois, on nous pousse dans un sens précis sans nous permettre d’évaluer sérieusement les tenants et aboutissants. Après nous avoir dépouillé de nos usines, de nos emplois, de notre identité, de notre sécurité, voilà qu’on veut s’emparer de nos libertés et de ce qu’il nous reste de patrimoine. Mais rassurez-vous, c’est pour notre santé que le gouvernement progressiste agit ainsi…

Olivier Piacentini

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