Influenceur d’un nouveau genre, aux opinions pour le moins politiquement incorrectes, Papacito, de son vrai nom Ugo Gil Jimenez, confie venir de la « classe moyenne », issu de «grands-parents immigrés espagnols de la banlieue toulousaine».
Radical, mais aussi rabelaisien, féroce provocateur et volontiers outrancier, le polémiste n’hésite pas à manier le second degré (voire le troisième degré ?) et à se montrer sarcastique, comme lorsqu’il balance, l’œil brillant, que « l’histoire de l’homme a été misogyne jusqu’à encore soixante ans : on s’en est très bien tirés en faisant Versailles et les pyramides, par exemple ! »
« La démocratie est un faux-semblant : c’est juste une “dictature molle” très perverse, car elle donne l’illusion de la liberté, alors qu’elle n’en offre aucune ! », ne craint pas d’affirmer le provocateur Papacito.