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VLADIMIR POUTINE : GUERRE EN UKRAINE (L’Imprécateur)

27 février 2022 Publié par Marc Le Stahler
AVERTISSEMENT…

Il ne s’agit pas de soutenir Vladimir Poutine à tout prix, mais la mauvaise foi de la presse française et certaines déclarations de personnalités politiques m’ont fortement choqué, d’autant plus qu’elles témoignent d’une grande méconnaissance des causes du conflit ukrainien.

Quand, il y a quinze jours, l’armée ukrainienne est entrée dans le Donbass alors qu’il avait été convenu avec Poutine que si l’armée russe n’entrait pas en Ukraine, l’armée ukrainienne n’entrerait pas dans le Donbass en attendant un référendum, les Occidentaux n’ont rien trouvé à dire. Mais quand Poutine a réagi à la trahison de Volodymyr Zelenski en ripostant, c’est le scandale. Et aucun media ne signale que Zelensky a mêlé aux troupes ukrainiennes des soldats de l’OTAN et des commandos du bataillon nazi Azov qui a commencé un carnage de Russes au Donbass.
J’ai donc jugé indispensable de rétablir un certaine équilibre dans l’information…

DES NAZIS MÊLÉS AU NETTOYAGE DU DONBASS
Le 24 février, Vladimir Poutine a informé le peuple russe de la nécessité d’arrêter le génocide commencé par l’armée ukrainienne, armée par les USA et conseillée par de nombreux militaires de l’OTAN, certains vus ces derniers jours en uniforme non loin de Donetsk, la capitale portant le nom de l’une des deux provinces séparatistes et russophones du Donbass. Information confirmée par le président de la Communauté française en Ukraine, Carl Pincemin sur la chaine TV RT France.
Dans ce discours, Poutine accuse le gouvernement ukrainien de nazisme. L’élite gauchiste et mondialiste européenne, dont Macron est l’un des leaders, a aussitôt hurlé au mensonge, pas de nazis en Ukraine ! De plus, il est bien connu que l’accusation de nazisme n’est permise qu’aux socialo-communistes pour parler d’Eric Zemmour et des complotistes quand ils dénoncent leurs complots cousus de fil rouge.
Aussitôt, la presse occidentale a inversé l’accusation, accusant Poutine de se comporter en nazi, et en vingt quatre heures, les articles qui sur internet mentionnaient « la tentation nazie en Ukraine » ont disparu remplacés par « Poutine le nazi ».
Beau virage à 180 ° !
Sauf que… Il y a dans les troupes de l’armée ukrainienne qui a envahi le Donbass quatre mille curieux soldats qui se promènent avec des drapeaux à croix gammée. Le drapeau ukrainien bleu et jaune avec les armes du bataillon est au milieu sur la photo.




Ce sont les soldats du bataillon Azov*, qui ne sont pas de gentils garçons. Ils ont la fâcheuse réputation de tuer, piller, violer, torturer. Dans leur invasion du Donbass il y a une semaine, ils tuaient les mâles russes. Quant à ceux capturés par l’armée régulière, ils sont enfermés avec femmes et enfants dans des camps dits « de lustration », copies conformes des camps « de rééducation » communistes chinois, c’est-à-dire avec lavage de cerveau, tortures, exécutions sommaires sans jugement pour les récalcitrants. Les autres en sortiront, en principe, mais il est prévu pour eux un « suivi social » à la chinoise lui aussi, soit la perte totale de leur liberté. 

LES DIPLOMATES OCCIDENTAUX ONT BEAUCOUP MENTI
Le président Poutine rappelle aussi que ces politiciens occidentaux et leur presse, si durs avec la Russie ont été très tendres et tolérants avec les Américains quand ils ont bombardé sans prévenir Belgrade, capitale de la Serbie, pour forcer les Serbes à accepter l’amputation du berceau de la Serbie, le Kosovo aux centaines de monastères coptes, pour en faire cadeau aux colons terroristes islamistes venus d’Albanie, permettant ainsi la création du premier état musulman en Europe.
Mêmes destructions en Syrie et Irak, détruits soi-disant pour en chasser leurs dictateurs avec pour résultat final d’y donner le pouvoir aux musulmans extrémistes d’Al Qaïda (qui a changé de nom). Ou encore quand les Américains ont poussé Sarkozy à détruire la Libye pour en chasser Kadhafi que Sarkozy chouchoutait trois mois avant à l’Élysée. Résultat : une guerre civile qui a opposé les deux grandes tribus libyennes pendant des années, et là aussi les islamistes au pouvoir. Et aussi en Afghanistan, que Biden a donné l’ordre de quitter en abandonnant pour environ 90 milliards de $ de matériel militaire et en prime les Talibans au pouvoir. Il est certain qu’ils ne sauront pas entretenir ce matériel sophistiqué, mais la Chine qui le leur rachètera au prix de la casse, eh oui ! Tanks, avions, hélicoptères drones…
En rappelant tous ces échecs, Poutine veut faire comprendre qu’il ne craint ni l’Europe – militairement impuissante -, ni l’OTAN dont Macron lui-même disait qu’elle est « en état de mort cérébrale« , ni les Etats-Unis, sachant bombarder mais incapables de gagner au sol comme ils l’avaient déjà montré au Vietnam.
Le ministre des armées Le Drian en est conscient, il convient que les Occidentaux ne gagneront pas par les armes mais « en étouffant la Russie par des mesures économiques« .
Doux rêve (auquel Macron croit aussi) d’incompétents ! Pour deux raisons principales qui sont liées : si quelqu’un peut étouffer l’autre, c’est Poutine. Il fournit 40 % du gaz européen et 30 % du pétrole grâce, en France, aux gamins politiciens de l’écologie, comme Yannick Jadot et Barbara Pompili. Ils préfèrent au pétrole le gaz presqu’aussi polluant et producteur de CO2, et surtout ils ne veulent pas du seul produit issu de sol et « carbon-free » le nucléaire…


La deuxième raison découle de la première : l’Allemagne majoritairement de la Russie pour le gaz. Plus de gaz, plus d’électricité, les Verts étant, comme en France, à l’origine de cette énorme erreur stratégique d’avoir confié les sources d’énergie à un pays étranger, la Chine. Il n’y a plus en Allemagne de centrales nucléaires, ni de centrales à charbon, la seule source stable et régulière d’énergie est le gaz, puisque le soleil et le vent sont aléatoires. C’est pourquoi l’Allemagne, et l’Italie pour les mêmes raisons, sont farouchement hostiles à des sanctions économiques qui pousseraient la Russie à fermer Nord Stream 1, ce qui entrainerait l’arrêt de la production industrielle.
En Ukraine, Nord Stream 1 est la source de deux milliards de $ de revenus par an. Et c’est la mafia qui en profite, une mafia dont le parrain est… Volodymyr Zelinsky. Il a détourné à son profit une partie du gaz russe transitant par son pays via Nord Stream 1. Il est devenu milliardaire.
Selon le site Qactus :
Ukraine : Un journaliste Ukrainien balance que, « Zelinsky aurait touché il y a peu de temps, une somme de 8 milliards de dollars sur un compte au Costa Rica » et de nouvelles unités tchèques se dirigent vers l’Ukraine.
On ne voit pas le rapport entre les 8 milliards et les unités tchèques, mais cela confirme que Volodymyr Zelensky n’a pas une moralité exemplaire. Cela dit, c’est assez courant chez les Young global leaders dont les millions disparaissent des comptes bancaires en France. 

KLAUS SCHAWB AURAIT-IL POUSSÉ À CE CONFLIT ?
Ces événements dramatiques en Ukraine ne sont probablement pas sans lien avec les activités de l’équipe de ces jeunes quarantenaires Young global leaders que Klaus Schwab appelle « mes poulains » et dont il a cité récemment et fièrement des noms, Justin Trudeau (Canada), Jacinda Ardern (Nelle Zélande), Emmanuel Macron… Sur lesquels il compte pour réaliser son calendrier de l’institution du gouvernement mondial.
Il faut, dit-il, qu’en 2050 la population mondiale ne soit plus que de 4 milliards d’habitants. On peut y arriver par la multiplication des épidémies et des petites guerres. À la fin du siècle elle ne soit plus être que d’un milliard, dont 500 millions de Chinois et Japonais car ce sont des races naturellement dociles et 500 millions de musulmans eux aussi habitués à obéir à la loi. Pour les gérer, une super élite d’un million de personnes qu’il ne dit pas « blanches » pour ne pas être traité de raciste. Mais on comprend quand même que seul les meilleurs des occidentaux doivent survivre ; les autres, les démocrates qui croient en leur droit à des libertés sont trop contestataires et indociles : ils doivent disparaître pour ne pas contrarier le bonheur de la super élite et de son milliard d’esclaves. (source : The Great Reset) 
JOE BIDEN A-T-IL JOUÉ UN RÔLE NOCIF ?
Autre personnage sulfureux, Joe Robinete Biden. En 2020 le ministère américain de la Justice a révélé avoir nommé le 1er décembre un procureur spécial indépendant pour continuer à enquêter sur la gestion des investigations menées de 2016 à 2018 sur une éventuelle collusion entre la Russie et l’équipe de campagne de Donald Trump. Le ministre de la Justice Bill Barr a désigné le procureur fédéral John Durham à ce poste pour qu’il enquête sur les enquêteurs, parmi lesquels pourraient figurer l’ancien directeur du FBI James Comey et l’ancien procureur spécial Robert Mueller.
Cette enquête sur les enquêteurs n’est pas terminée mais les premiers résultats montrent et prouvent que le clan Clinton a organisé le truquage de l’élection, que le prétendu dossier prouvant l’intervention russe était un faux intégral et que le financement de l’opération est venu en partie de cent millions de dollars venus d’Ukraine. Sur ce point précis, le procureur Durham a découvert dans les mails trouvés dans l’ordinateur de Joe Biden, malencontreusement oublié chez un réparateur, que lui et son fils avaient déjà à l’époque des liens financiers importants avec l’Ukraine. Mais surtout qu’en remerciement de l’aide apportée à l’élection de Joe Biden, celui-ci s’est engagé auprès de Zelinsky a l’aider diplomatiquement et militairement à contrer Vladimir Poutine. Biden n’est donc pas neutre dans ce conflit ukrainien, ce qui a fait tomber sa cote dans les sondages et remonter celle de Trump. D’où son intérêt à ce qu’il y ait une forte tension Russo-ukraino-américaine pour distraire l’attention des électeurs américains de ses turpitudes. 

MACRON EN PROFITE : SA COTE REMONTE !

 

Cette pub, parue quelques jours après le voyage à Moscou, 72 heures avant le déclenchement des hostilités, a fait un tabac sur les sociaux
« Macron-la-paix » en profite aussi. Il se pose en grand chef de guerre, président de l’Europe et chef d’état-major de l’OTAN, et annonce qu’il fera céder Poutine. Si c’est pour avoir le même résultat que celui obtenu à Moscou dont la presse ukrainienne a dit « Macron est devenu le porte-valise de Poutine », la guerre n’est pas finie et Poutine peut dormir tranquille ! Macron pourrait profiter de l’occasion pour reporter sine die la date da la présidentielle si toutefois les sondages fléchissaient ces prochaines semaines…
Macron a ordonné au CEMA de préparer l’envoi de 7 000 soldats de l’armée française en Roumanie « pour faire pression sur Poutine » et ce, comme il en a l’habitude, sans demander l’autorisation du Parlement comme la Constitution l’y oblige.
Enfin, il y a l’avis de deux anciens ministres des Affaires étrangères de Villepin et Védrine. Le premier a fait comprendre vertement à BHL qu’il devrait se taire quand il insulte Poutine, et Védrine explique que Poutine s’est fermé parce que la diplomatie européenne et les présidents occidentaux lui ont trop souvent menti. « C’est l’Europe qui tient Poutine pour un ennemi, pas l’inverse » et elle le lui prouve tous les jours en poussant à l’expansion militaire vers l’Est de l’OTAN qui installe ses bases équipées d’armement nucléaire au ras de la frontière de la Russie. Zemmour explique d’ailleurs dans une intervention dit qu’il n’est pas d’accord avec la décision de poutine, mais qu’il y avait bien des motifs pour la faire.
L’Imprécateur 27 février 2022
* Le régiment Azov connu aussi sous le nom des « hommes en noir »1, est une unité formée de volontaires ukrainiens et qui est intégrée à la garde nationale de l’Ukraine. Il est placé sous le commandement du ministère de l’Intérieur d’Ukraine et intégré aux « forces de défense » par l’État-major ukrainien. Ce bataillon, chargé de lutter contre l’insurrection armée pro-russe à l’Est, a été formé le 5 mai 2014. Il doit son nom à la mer d’Azov. Il était composé d’environ 800 volontaires fin 2014, mais vit ses effectifs rapidement augmenter en raison de sa popularité croissante durant l’année 2015, puis l’année suivante, portant le nombre de combattants potentiels à plus de 4 000 à la fin de 2016. Azov, d’abord bataillon, connaîtra successivement le format régimentaire puis celui d’une brigade elle-même divisée en plusieurs petites unités.

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