A ce petit jeu de démolition et de protection, qui peut s’étonner que Marine Le Pen, donnée pratiquement à égalité avec Macron au soir du premier tour (49 % contre 51 % selon l’Ifop), ait dévissé de presque huit points dans l’intervalle ? Si les médias avait agi à l’inverse, s’ils avaient épargné Marine Le Pen et accablé Macron des innombrables affaires explosives qu’il trimbale, le résultat de l’élection aurait très probablement été inversé. C’est-à-dire que Marine Le Pen l’aurait emporté. Une conclusion s’impose : pour la première fois en France, et sans aucun doute compte tenu de la faiblesse de l’écart au départ et à l’arrivée, ce sont les médias qui ont fait l’élection. Et les médias n’étant que l’un des bras propagandistes du Système, on peut affirmer que le Système a fait l’élection. Comme d’habitude, répondront certains, non sans raison…
A ce stade, on ne peut plus rien pour les autres, ceux qui n’ont pas compris, alors que la campagne présidentielle a été biaisée de A à Z par la presse aux ordres, que tout a été fait pour assurer la réélection de Macron, à défaut de Pécresse qui a tant déçu.
Qu’on se le dise : puisque le dimanche 24 avril, Macron a été réélu, la France va continuer d’être la marionnette des Etats-Unis. Gouverné par un serviteur des Ploutocrates, notre pays va poursuivre, au cours des cinq prochaines années, son autodestruction déjà bien entamée. Avec cette nuance : cette fois, la France n’y survivra peut-être pas…
Lors du grand débat de l’entre-deux-tours, Emmanuel Macron a accusé Marine Le Pen d’être soumise à la Russie. L’ancienne présidente du Rassemblement National (RN) aurait dû lui rétorquer qu’il inversait un peu les rôles, puisque le président de la République est totalement soumis aux Etats-Unis. Il en est même l’agent.
L’agent Macron livre aux Etats-Unis son propre pays, la France, comme la gravissime affaire Alstom, parmi de nombreuses autres affaires plus scandaleuses les unes que les autres, l’a amplement démontré.
Orwellien Young Leader de la French-American Foundation
La French-American Foundation (FAF) : la plupart des Français ignorent l’existence de cette puissante organisation. Tout simplement parce que la presse se garde bien d’en faire ses choux gras.
Il n’est jamais venu à l’idée d’aucun magazine de faire sa couverture sur la FAF, ni à aucun quotidien d’en faire sa Une. Pourtant, créée en 1976 sous les bons auspices du très américanophile Giscard d’Estaing et de son homologue Gerald Ford, cette organisation notoirement liée à la CIA jouit d’une influence exorbitante en France. Parmi ses membres, citons quelques noms révélateurs : Emmanuel Macron, Edouard Philippe, François Hollande, Valérie Pécresse. On le voit, les deux derniers présidents de la République sont des Young Leaders de la FAF qui totalisera, si tout se déroule comme prévu, quinze ans au pouvoir en France. Quinze années de désastre absolu dont les cinq à venir pourraient logiquement être les pires, voire fatales.
Une chose est sûre : la France va connaître une descente aux enfers.
Comme nous l’avons expliqué depuis bientôt deux ans (1), déjà ruiné dans des proportions inouïes au cours du premier quinquennat de Macron, l’Etat va ployer sous le poids écrasant de sa dette. Au cours des cinq dernières années, bien que le montant exact soit manifestement très compliqué à obtenir auprès des services de Bercy, il semblerait que la dette ait augmenté au total, et au minimum, de 1000 milliards d’euros : 600 milliards sous prétexte de Covid (d’après Macron en personne, lors du débat de l’entre-deux-tours), auxquels d’ajoutent au bas mot 400 autres milliards de déficit courant. Soit, en seulement cinq ans, près de la moitié du montant, déjà gigantesque, accumulé en un demi-siècle par ses six prédécesseurs !
Cette banqueroute de l’Etat permettra de « justifier », avec des airs faussement navrés, la liquidation du modèle social et la vente à l’encan de ce qui reste du patrimoine national. Un énorme gâteau à se partager entre géants de la finance (j’ai failli écrire phynance), les chers amis d’Ubu Macron, sur le dos du bon peuple et du Pays qui n’y entendent rien.
Au cours des cinq prochaines années, la population, assujettie aux confinements, aux couvre-feux, aux injections obligatoires et au passe vaccinal récurrent ou permanent, et peut-être même aux tickets de rationnement sous prétexte de pénurie causée par la vraie-fausse guerre perpétuelle avec la Russie, la population va connaître un destin orwellien.
Chez Orwell, dans 1984, on a tendance à l’oublier, la vraie-fausse guerre est en toile de fond et permet d’écraser un peu plus les consciences…
Les millions disparus de l’agent états-unien Macron
A ce stade, une question se pose.
Macron agit-il bénévolement, par simple avidité de ce pouvoir qui lui est livré à grands coups de mensonges et de manipulation permanente, notamment médiatique ?
Ou bien, autre hypothèse, Macron est-il corrompu ? Possède-t-il, à l’heure qu’il est, de colossaux comptes secrets, sur lesquels se déversent des centaines de millions, des milliards de dollars ?
Le patrimoine déclaré de Macron (environ 500 000 euros en 2022, chiffre qui a beaucoup fait rire le Tout-Paris mais ne l’a nullement empêché de se présenter à nouveau) laisse envisager des plus sérieusement l’existence de comptes cachés, sur lesquels auraient disparu les millions gagnés comme associé chez Rothschild. D’après Jean-Baptiste Rivoire, coauteur de l’enquête Patrimoine de Macron, où sont passés les millions ?, tout semble indiquer qu’une partie des sommes gagnées dans la banque, dont le montant lui-même serait nettement sous-évalué ou sous-déclaré ou soustrait à la déclaration, se seraient envolées pour une destination inconnue. S’ils existent, ces mêmes comptes cachés seraient-ils alimentés à l’heure actuelle par BlackRock, Pfizer, Moderna et bien d’autres colosses financiers et industriels en échange des hautes trahisons aussi macroniennes que cyclopéennes ?
Car les chiffres ici sont vertigineux. Les montants dont nous parlons s’élèvent à des centaines de milliards d’euros, et à moyen terme à des milliers de milliards d’euros. L’énorme rendement du dépeçage et siphonnage de la France, de son Etat et de son peuple.
Question : Macron serait-il le plus grand escroc de tous les temps, dont le gogo serait le peuple français, et finalement la France elle-même ?
Autre question : Macron rêverait-il, après l’opération de pillage et de destruction de la France qu’il a entreprise il y a cinq ans dans le sillage de son rôle délétère en tant que ministre de l’Economie de François Hollande, de pousser l’anéantissement à son terme puisque, après tout, les Français sont assez stupides pour l’avoir reconduit aux affaires ? Macron compterait-il broyer complètement son propre pays et son propre peuple pour, ensuite, riche de dizaines voire de centaines de milliards d’euros, sa modeste part de l’énorme gâteau, poursuivre sa noire carrière parmi les cerveaux de la conjuration de Davos ? Laquelle, autour de l’inquiétant Klaus Schwab, tâchera de réaliser son plan luciférien : réduire l’Occident en esclavage, entre confinement au moindre prétexte (rappelons que le variant Omicron, pourtant bénin, a suffi pour « justifier » le glissement vers le très liberticide passe prétendument vaccinal en janvier 2022…), injections régulières obligatoires et étranges QRCodes. Les humains marqués comme un bétail ahuri ou des boîtes de conserve, et devant montrer papatte blanche pour acheter, boire un verre ou en vendre un, et susceptibles d’être « déconnectés » à tout moment. La marque de la Bête ? Elle semble, il est vrai, tant plaire à Macron, qu’il en sème le chiffre derrière lui comme le Petit Poucet. Sur fond de Notre-Dame en flammes, objet si esthétique, si beau qu’il ornait, dans un cadre doré, couleur spirituelle entre toutes, son bureau dans sa vidéo de lancement de campagne 2022. Vade retro…
Bien loin des délires mystiques qui peuvent prêter à sourire ou pas, on ne le dira jamais assez : des centaines, des milliers de milliards d’euros (ou de dollars…) sont en jeu dans l’escroquerie majuscule dont l’élection présidentielle a été le point culminant. Marine Le Pen a été dénigrée jusqu’à la caricature dès son accession au second tour, le rôle de la brebis galeuse ayant été tenue au premier tour par Eric Zemmour. Celui-ci éliminé, du jour au lendemain, les médias se sont mis à chasser en meute Marine Le Pen, tout en épargnant systématiquement à Macron tous les dossiers explosifs, d’Alstom à McKinsey. On se rappelle le tintamarre phénoménal autour des différentes affaires Fillon en 2017, pourtant infiniment moins graves…
L’escroquerie de la présidentielle est au fond cohérente avec l’escroquerie de l’opération Covid-19, qui elle-même n’est qu’un des aspects d’une escroquerie encore plus vaste, dans laquelle s’inscrit la drôle de guerre avec la Russie.
Dans ce fatras d’escroqueries emboîtées, l’une devrait attirer particulièrement notre attention : celle qui se déroule depuis une dizaine d’années, et dont les Etats-Unis tirent les ficelles pour se remplir les poches.
A savoir l’imposture suprême qui consiste à placer des agents états-uniens à la tête de l’Etat français, pour conduire le pillage voire la démolition du Pays.
Washington, vampire de ses amis
Une opération de pillage/démolition à laquelle participe Washington en personne, où l’État profond est si puissant qu’il peut se contenter d’une statue de cire en guise de président : le cacochyme Biden.
Ce pays complètement décadent sécrète un délirant mélange de groupes financiers gérant des fonds gigantesques (BlackRock pèse à lui seul au moins 6000 milliards de dollars…), d’une prétendue Justice instrumentalisée, d’industrie de l’armement brassant des crédits extravagants, de dollars sortis à profusion de la planche à billets depuis des décennies, enfin, last but not least, de tentaculaires services secrets. On croirait une URSS obèse en fin de vie…
Le monstre états-unien n’a prospéré tout au long de sa brève histoire que sur le pillage, le massacre et la guerre. Or ayant échoué dans toutes les conflits et tentatives de déstabilisations qu’il a fomentés depuis vingt ans autour du monde, cet homme malade de l’Amérique se voit inexorablement supplanté par la Chine et le bloc énorme qu’elle forme avec la Russie et d’autres pays qui refusent son joug mortifère. Dans ce grand jeu, faute de mieux, il ne reste plus à l’Oncle Sam qu’à vampiriser ses alliés.
Les moyens sont multiples. On peut faire des procès et condamner des sociétés européennes à payer des amendes pharaoniques (affaire BNP Paribas, près de 9 milliards de dollars d’amende) sans que l’État français bouge une oreille. On peut monter de véritables complots et pactes de corruption afin d’absorber un fleuron industriel (Alstom), stratégique au civil comme au militaire, et trouver dans l’opération des complicités au plus haut niveau de l’État français (Hollande, Macron) et de la société civile. On peut récompenser ces hautes trahisons gravissimes en activant tous ses réseaux pour faire élire à la tête de l’État l’agent (Macron) ainsi introduit. On peut espionner impunément les dirigeants, sans que ceux-ci s’en offusquent, la confiance n’excluant pas le contrôle. On peut téléguider directement un dirigeant politique de tout premier plan (Macron) via des cabinets de conseil (McKinsey), pour déclencher une opération Covid-19 coordonnée à l’international par le même genre d’officines. Bien que le virus affiche une mortalité avérée qui n’excède pas 0,1 % en population générale, la stratégie et la propagande de la peur, relayées par l’OMS dont le premier contributeur est Bill Gates (l’homme qui veut injecter à tout-va la planète), permettent la suspension d’une grande partie des libertés publiques, l’injection quasi-obligatoire de la population, l’instauration d’un passe vaccinal, pour le plus grand profit de firmes états-uniennes, une fois encore.
Plus grave peut-être, cette opération a ruiné l’État et la Sécurité sociale dans des proportions inouïes, a ravagé l’économie et la société, a traumatisé l’enfance et enfermé la jeunesse. Et en définitive, énormément enrichi les plus riches, les Ploutocrates états-uniens et internationaux grands amis de Macron, qui ont table ouverte à l’Elysée.
L’escroquerie criminelle du Covid-19, ignorée quoique géante
Lors du grand débat de l’entre-deux-tours, Macron a répété impunément que le Covid-19 était la plus grande épidémie depuis un siècle. Énorme mensonge en direct ni relevé ni dénoncé par personne ! Affirmer comme l’a fait Macron que le Covid-19 est la plus grande épidémie depuis un siècle est évidemment faux, puisque, répétons-le, le taux de mortalité du Covid-19 n’excède pas celui d’une grosse grippe. Plus révélateur encore, le caractère quasi inoffensif du Covid-19 pour les moins de soixante cinq ans sans comorbidités, le rend finalement moins dangereux que bien des grippes, en particulier pour les jeunes adultes, les adolescents et les enfants en bonne santé, puisque ceux-ci lui sont pour ainsi dire invulnérables.
Ainsi, en direct le mercredi 20 avril 2022, Macron a pu se prévaloir du plus grand mensonge de notre époque, qui sert à nous pourrir la vie et à ruiner le Pays depuis deux ans… sans être contredit !
Toute l’escroquerie du Covid-19 a consisté à prétexter d’une sorte de grippe carabinée pour laminer la France en profondeur, et asservir son peuple avec une efficacité extraordinaire. L’opération fut rendue possible par une série de manipulations notamment politiques et médiatiques. Mais aussi par ce qui est sans doute l’un des plus atroces aspects de cette affaire : l’interdiction des traitements. Les morts ainsi provoquées ont permis d’alimenter le narratif de la peur. Sous cet aspect, puisque le meurtre de masse a été mis au service d’un dessein politique, nous sommes bien devant un crime contre l’humanité. Mais dire cela, c’est être classé parmi les complotistes, et être par conséquent inaudible car littéralement diabolisé. Une rhétorique qui permet de neutraliser cet argument pourtant terrible que fut l’interdiction des traitements, de l’Hydroxychloroquine à l’Ivermectine en passant par l’Azithromycine, avec ses milliers de morts induites…
Tout cela avec un objectif primaire : la prédation.
La France est dévorée avec l’aide du faiseur Macron, aidé par les réseaux liés à la CIA qui quadrillent les milieux politique, médiatique et économique. On compte même quelques militaires parmi ces réseaux, dont le plus emblématique est sans doute celui des Young Leaders de la French-American Foundation évoqué plus haut.
Au commencement de la Ve République, De Gaulle, en abandonnant l’outremer africain et l’Algérie, en détruisant l’Empire, raya définitivement de la carte la France comme puissance mondiale de tout premier plan. Rang qu’elle occupait depuis de nombreux siècles.
Au crépuscule de la Ve République, c’est la France tout court, ou ce qu’il en reste, que Macron pourrait bien liquider une fois pour toutes. Ainsi, avec Macron, disparaîtrait la plus vieille nation d’Europe, victime d’un engrenage en forme de machination.
Or derrière Macron comme derrière De Gaulle, on trouve les Etats-Unis. Des frères John Foster et Allen Dulles jusqu’à la French-American Foundation.
Les Etats-Unis ont dynamité la Plus Grande France avec De Gaulle. Ces mêmes Etats-Unis achèvent la France avec Macron. Nous vivons cette dernière phase, celle de l’estocade.
Aujourd’hui dans les griffes de ceux qui nous détruisent, qui nous vampirisent, qui nous dévorent, dont Macron est le serviteur, la marionnette animée par McKinsey qu’il paie à prix d’or comme dans un conte faustien, nous venons de signer pour cinq ans de plus.
Si Macron obtient la majorité à l’Assemblée, et tout laisse à craindre qu’il l’aura, c’en sera fini de nous.
(1) Lire notamment :
Confinement général : l’escroquerie majuscule et les trahisons de Macron resteront-elles impunies ? (2 juin 2020)
« L’épidémie sans fin » : la stratégie de Macron afin d’éviter la destitution et un procès pour haute trahison (21 octobre 2020)
La « Double Ruine » et ses soubassements : la tactique de Macron pour détruire la France et asservir le peuple français (9 novembre 2020)