Les acteurs du monde rural sont souvent la cible des militants antispécistes. Les attaques récentes contre la bassine de Sainte-Soline ne sont qu’une illustration parmi tant d’autres.
À chaque fois, la même passivité de l’État se manifeste à l’encontre de ces nervis d’extrême-gauche, comme L214. Les poursuites judiciaires et les réponses pénales ne mettent pas fin au climat de terreur installé par certains activistes. Aucune sanction pénale n’est à la hauteur des enjeux. Aucune condamnation n’est de nature à calmer les ardeurs destructrices des extrémistes qui se prétendent écologistes.