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Ensauvagement : Un mois et demi après l’assassinat de la petite Lola par une ressortissante algérienne sous le coup d’une OQTF, le gouvernement n’a pas pris la moindre mesure pour éviter que des drames similaires ne se produisent à nouveau...

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L’ensauvagement continue dans un silence assourdissant ! Un mois et demi après l’assassinat de la petite Lola par une ressortissante algérienne sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), le gouvernement n’a pas pris la moindre mesure pour éviter que des drames similaires ne se produisent à nouveau. Résultat : les Français continuent de tomber sous les coups d’agresseurs extra-européens...

Tous les coups sont permis

La passivité du gouvernement suite à l’assassinat de Lola a adressé un message clair aux délinquants : le harcèlement quotidien et sanglant des Français peut continuer.

Cette semaine le démontre encore : Pour la journée de jeudi, en quelques heures à peine, une demi-douzaine de « faits divers » particulièrement violents ont été relatés aux quatre coins du pays, dans les métropoles comme dans des communes de quelques milliers d’habitants. C’est bien tout le territoire national qui est touché par le phénomène.

La nature de ces affaires est aussi toujours très symbolique, mettant en évidence les failles abyssales de l'État, la faiblesses de l’appareil judiciaire mais aussi l’extrême agressivité de nombreux individus présents sur le territoire français.

A Mauges-sur-Loire, par exemple, petite commune du Maine-et-Loire située à une trentaine de kilomètres à l’ouest d'Angers, une femme handicapée a été violée dans un parc par un migrant africain. Ce dernier était jusqu’à présent hébergé dans un centre de la commune. Il avait auparavant transité par le Nord et par la capitale. Retrouvé et interpellé par la police, il a été placé en détention provisoire. L’information n’a été rendue publique que le 1er décembre pour des faits survenus le 12 novembre...

Le département n’en est pourtant pas à son coup d’essai. En juillet, un Soudanais bénéficiant du statut de "réfugié politique" avait poignardé à mort trois personnes dans les rues d’Angers.

Si les campagnes de publicité contre les agressions envers les femmes mettent systématiquement des hommes Blancs dans le rôle de l’agresseur, la réalité semble plus nuancée. Le 27 novembre, à Limoges, deux Algériens en situation irrégulière âgés de 32 et 42 ans ont agressé deux jeunes femmes à la sortie d'une boîte de nuit alors qu’ils passaient en voiture. Leur demandant d’abord quel était leur tarif comme s’ils s’adressaient à des prostitués, ils les ont ensuite menacé, l’un des deux brandissant un couteau cranté... Interpellés, ils ont nié les faits alors que le couteau a été retrouvé aux pieds du passager. De plus, un test toxicologique a révélé que le chauffeur était sous l’emprise d’amphétamines. Cerise sur le gâteau : les deux hommes sont en situation irrégulière. Pourtant, pas de comparution immédiate pour eux, l’homme au couteau ne sera jugé qu’en janvier prochain...

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