Nos confrères de Boulevard Voltaire ont effectué un reportage sur une action du Collectif Némésis, les « féministes » identitaires de la droite nationaliste (1).
MPI vous le propose dans le cadre des actions contre-révolutionnaires qui peuvent déclencher une prise de conscience chez ceux de nos compatriotes qui sont « orphelins » politiquement et religieusement sans le savoir.
Il convient d’œuvrer sans cesse, dans un esprit de vraie charité et sans juger à priori, pour que tous ces courants identitaires trouvent le chemin de la foi et convergent vers la restauration du Pays Réel incarné dans la France catholique, Fille aînée de l’Église.
Le reportage
Ce dimanche 18 décembre, une dizaine de jeunes femmes ont bravé le froid hivernal pour une action éclair. Leur objectif : dénoncer les dangers de l’immigration massive en France. Aux alentours de 11h30, ces militantes du Collectif Némésis (féministes identitaire, ndlr) se retrouvent dans le XIIe arrondissement de Paris, déploient des banderoles et des pancartes, traversent la rue au milieu des voitures et s’installent face au musée national de l’histoire de l’immigration.
Certaines s’allongent sur le sol, se drapent d’un drap blanc maculé de faux sang, avec une rose blanche symbolisant leur mort. Sur les marches du monument, d’autres tiennent devant leurs visages des pancartes ou revient une même anaphore : « Avec des OQTF respectées… », « Une fillette n’aurait pas été violée le 10 février 2022 à Vénissieux par un Marocain », « Une femme n’aurait pas été victime le 5 septembre à Nice d’un Sénégalais.
L’action de ces femmes visait à « dénoncer la non-application des OQTF », qui, selon elles, « couplée à une immigration incontrôlée, donne lieu à de nombreuses agressions, viols et meurtres dont les Françaises sont les premières victimes », détaille Alice Cordier, présidente du Collectif Némésis. Elle tient à pointer du doigt ce phénomène car la majorité des personnes qui se revendiquent féministes se tait sur cette réalité. De plus, le 18 décembre est la journée internationale des migrants, un symbole fort pour les militantes. Le Collectif Némésis s’est illustré à plusieurs reprises par des happenings parfois mouvementés. Celui-ci s’est déroulé sans accroc, sous les yeux médusés de quelques passants.
Source : Boulevard Voltaire
(1) Ce qu’en dit Wikipedia : « Le Collectif Némésis est une organisation en France et en Suisse pour les femmes âgées de 18 à 30 ans, se décrivant comme féministe et identitaire. L’organisation porte le nom de Némésis, la déesse grecque de la vengeance, et a été fondée par Alice Cordier en 2019. L’organisation estime que les immigrés non européens, en particulier les musulmans, présentent un risque élevé de violence envers les femmes. L’organisation a été condamnée comme raciste par les organisations féministes dominantes ».