Mais dans quel pays sommes-nous ? Un pays où les industries et les jeunes diplômés partent pour l’étranger, où les industriels sont poursuivis par la haine de la NUPES, où les immigrés entrent à flots incontrôlables et où les boulangers, restaurateurs, artisans ferment leur porte. Dans la foulée, ce sont les arboriculteurs qui arrachent ce qui les faisait vivre : leurs arbres, objets de tant de soins et de tant d’attachement. « Ce samedi, les arboriculteurs se sont mobilisés pour crier leur désespoir et attirer l'attention du gouvernement », constate Frédéric Sirgant.
Dans son commentaire, Ripalou est sans illusions : « C’est avec une grande application que le gouvernement finit de tout casser en France. En 2027, ce sera terminé et le grand leader pourra s’en retourner à la banque. » Et Georges Mousset pousse ce cri d’espoir et de mobilisation auprès des plus jeunes : « Si seulement les plus jeunes pouvaient comprendre que leur avenir sera encore plus sombre s’ils ne s’élèvent pas dès maintenant pour que tout redevienne comme avant et, avant tout, pour rester gaulois. Car non seulement Macron déconstruit notre nation mais il encourage toute la misère du monde à nous envahir pour nous donner le coup de grâce… Ce n’est pas parce qu’ils n’ont pas connu notre passé que les jeunes doivent courber l’échine comme du bétail que l’on mène à l’abattoir. » Certes, mais les jeunes sont là, ils l’ont montré ce dimanche lors de la Marche pour la vie. Ils le montreront encore.
Tenez, en voilà un, jeune encore, qui se bat et montre l’exemple. Victime d’un guet-apens journalistique pas vraiment déontologique, le militant de Reconquête Damien Rieu, très actif sur les réseaux sociaux, s’est battu comme un lion, en territoire hostile sur le plateau d’Hanouna, tout en gardant la tête froide.
« Face à Lilia Bouziane, une chroniqueuse de l'émission, voilée comme Amel, dont il a déjà été question, Damien Rieu s'explique sur l'islamisation de la France. Il rappelle que, de deux mosquées en France en 1950, on est passé à 3.000 », raconte Arnaud Florac. Tureverbere tire son chapeau. « Il faut féliciter Damien Rieu. Il faut aussi bien voir dans ces "débats" un des éléments influents de la mosaïque islamique : les islamo-médiatiques, sympathisants ultra-actifs de l’extension de l’islam en France et en Europe dans tous les domaines [prennent la parole]. » Notre lecteur a aussi apprécié la forme : « Il faut féliciter Rieu de faire apparaître le contraste très significatif entre une expression française traditionnelle de tout temps appréciée en France, élocution claire et pondérée, logique et argumentation du discours, finesse d’esprit, franchise n’excluant par la politesse et la courtoisie, et celle de ses contradicteurs que nous nous abstiendrons de qualifier. »
Oui, abstenons-nous… Et regardons plutôt comment le magistrat Charles Prats résiste lui aussi. Notre journaliste Marc Eynaud l’explique : « Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) sanctionne le juge parisien Charles Prats, accusé d'avoir manqué à ses devoirs et porté atteinte à l'image de la Justice après avoir qualifié des militants antifas de "nervis d'extrême gauche" ou de "peste noire" et les écologistes de "Khmers verts", sur Twitter, en marge des cortèges des manifestations de gilets jaunes. » Charges légères, sanctions lourdes. Vous montrez que le lien de confiance se rompt avec les magistrats. « Les citoyens français ne peuvent que se désoler de décisions revanchardes et extravagantes de juges qui se croient tout permis comme par exemple le fameux "mur des cons" ! Éric Zemmour a dénoncé cette dictature et a éclairé l’opinion publique sur "le gouvernement des juges" », rappelle Marcu. Résiste, crie aussi NotrebelleFrancejycrois (joli nom !) : « Même s’il est muté, M. Prats doit continuer son travail d’investigation et d’information. La Justice ne pourra pas lui ressortir une deuxième fois le coup de ses deux propos. » Pipo56 va dans le même sens : « Il devient urgent de fermer l’ENM et de nommer les magistrats par scrutin populaire. En tout cas, plus personne ne pourra désormais dire : "Je fais confiance à la Justice de mon pays" (phrase maintenant totalement obsolète). »
Nos chers anciens en ont vu, eux aussi, des périodes troubles et des épreuves françaises. Tenez, regardez sœur André, partie paisiblement vers Dieu auquel elle a choisi de consacrer sa vie. « Le Bon Dieu m’a oubliée ! », s’exclamait-elle, tous les 11 février, date de son anniversaire, rappelle Gabrielle Cluzel. Il s’est souvenu de cette Française, née Lucile Randon à Alès en 1904, qui a donné sa vie à Dieu et aux autres. » Merbor73 lui rend lui aussi hommage : « Dans ce monde cruel, sans pitié que ce soit en paroles mais plus encore en actes, et tout particulièrement dans notre pays, qu’il est rafraîchissant de mettre en valeur ces personnes qui passent leur vie au service des autres dans le plus grand respect, le don de soi et dans la spiritualité. Quelle belle leçon de vie à méditer. Mes pensées vont à sœur André, qu’elle repose en paix ! » Une Française s’éteint, le combat de la France, lui, continue.