Bernard Germain
Le moins qu’on puisse dire c’est que ce « journal » POLITIS n’y va pas avec le dos de la cuillère, je devrais employer un autre mot que « journal » mais ce serait grossier.
Sont cloués au pilori par ce « journal » : Cyril Hanouna (qui est « juif »), Pascal Praud (qui est un homme « hétéro » de plus de 50 ans), Christine Kelly (qui est « noire »), Mathieu Delormeau (qui est « homo » mais dénonce les « gays prides », les « folles », … etc.) ainsi que Jean-Marc Morandini (incarnation de la presse « poubelle »).
Eh bien, dites donc, en voilà une belle brochette… et pas du petit fretin. Et POLITIS d’annoncer benoîtement que l’objectif c’est de faire taire ces odieux personnages. Rien que ça … !
Mais au fait quel est leur crime, pour être ainsi victimes de cet authentique lynchage médiatique ?
C’est tout simple, ils refusent de baisser pavillon devant les bien-pensants, l’extrême gauche et tout ce que la France compte de wokistes.
Bref, ce sont donc des… « fascistes », des gens « d’extrême-droite » qu’il faut à tout prix détruire en commençant par leur réputation, puisqu’il n’est pas possible aujourd’hui de les détruire physiquement, sauf à passer en cour d’assise.
Pour tous les sujets, c’est invariablement la même méthode qui revient. Vous osez discuter, contester, vous opposer… alors vous êtes fasciste et d’extrême droite et vous êtes accusé d’utiliser des méthodes violentes pour imposer votre point de vue.
Ainsi, à Callac, douze plaintes ont été déposées par des membres du conseil municipal contre ceux qui ont mené la bataille contre le projet Horizon. De nombreux militants de l’Association « les Amis de Callac et ses environs » (dont moi) ont été ou sont convoqués à la gendarmerie qui mène l’enquête suite aux plaintes déposées.
Mais ce qui est extraordinaire c’est que la « gôche », c’est à dire principalement le conseil municipal, qui a organisé deux contre-manifestations les 17 et septembre et 5 novembre 2022, contre nos rassemblements devant la mairie… n’a pas déposé de demande de manifestation ! Pour notre part tout a été fait dans les règles et nos deux manifestations étaient déclarées et acceptées par la Mairie et la Préfecture.
De même lors de ces deux contre-manifestations, il y a eu des violences des antifas contre les gendarmes. Ces derniers ont fait le nécessaire pour empêcher ces nervis d’atteindre la place de la mairie et nous agresser. Mais c’est nous qu’on déclare des gens violents, alors qu’il n’y a eu aucun incident durant nos deux rassemblements.
Reste que… ni les non-déclarations des deux contre-manifestations, ni les violences des antifas contre les gendarmes n’ont fait l’objet d’enquêtes ni de poursuites par la Procureur de la République. Pourquoi ?
Vous ne trouvez pas cela bizarre … ?
Par contre, nous qui n’avons strictement rien fait de répréhensible, nous sommes convoqués à la gendarmerie et le Procureur dirige l’enquête en cours contre nous.
Et quels crimes nous sont reprochés ?
Des accusations gratuites, sans aucune preuve, énoncées par des élus qui n’acceptent pas que les habitants aient mené campagne avec nous pour faire échouer le projet Horizon.
Pour nos accusateurs, comme pour POLITIS, il faut… faire taire ceux qui ne veulent pas baisser pavillon et continuent à défendre la France et les Français.
Pour nous salir tout est bon. Un conseiller municipal a ainsi déclaré : « J’ai vu un homme cagoulé dans mon jardin durant la nuit ». La belle affaire ! Moi aussi je peux déclarer la même chose… est-ce pour autant un fait réel ?
Le maire se dit victime de menaces de mort, comme la célèbre Laure-Line… mais où sont les preuves ?
S’il s’agit de coups de téléphone, depuis le temps qu’ils racontent cette histoire, la gendarmerie à largement eu le temps d’identifier les auteurs des appels. Il lui suffit de demander à l’opérateur téléphonique l’identité du propriétaire de la ligne qui appelle.
Si ce sont des mails, avec l’adresse IP de l’expéditeur on peut l’identifier très facilement.
Et s’il s’agit de lettres papier, on peut facilement relever des traces ADN …
Donc tout cela, ce sont que des balivernes et des racontars qui ne résistent pas cinq minutes à la plus élémentaire critique.
Alors, pour quelles raisons agissent-ils ainsi ?
Tout simplement pour cacher qu’ils ne se remettent pas d’avoir été désavoués par les habitants et notre mobilisation. Ils ne supportent pas la démocratie. Ils ne supportent pas que les habitants s’opposent à leurs projets. Ils veulent pouvoir décider seuls et imposer leurs décisions à tous, sans discussion ! Ils ne sont que des petits bureaucrates ayant la haine du peuple et de la démocratie.
Alors face à leur défaite et à leur échec, ils ne savent qu’accuser et salir pour se dédouaner. Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez… il en restera toujours quelque chose ! »
Le plus pitoyable étant que l’essentiel de la presse reprend la fable des prétendues « violences » de l’extrême droite. Affirmant que c’est grâce à ces violences que nous aurions gagné à Callac. Il ne leur vient même pas à l’esprit que la mairie a caché son projet, qu’elle a ensuite refusé de faire un référendum parce que « 80 % de la population est contre », donc la population s’est levée contre ces méthodes anti-démocratiques et a imposé l’abandon du projet.
Nous menons notre combat à visage découvert et « à la loyale ». Pas avec des méthodes de voyous comme le fait la « gôche » et la mairie en utilisant notamment la violence des antifas. Les seuls qui devraient être dénoncés, accusés et condamnés, ce sont nos accusateurs. Pas nous !
Aujourd’hui, à St-Brévin, ce sont les mêmes méthodes qu’on voit apparaître.
La Directrice de l’école refuse de recevoir le Collectif qui lutte contre l’installation du CADA à côté de l’école. Par ailleurs, elle ne cache pas son soutien à l’installation du CADA. Nous avons dénoncé son attitude, parce que nous voulons protéger les enfants, mais… c’est le Collectif qui est accusé de faire pression sur elle et comme à Callac cette directrice prétend recevoir des menaces.
« Calomniez, calomniez…
il en restera toujours quelque chose ! »
Tous ces vendus à la politique immigrationniste doivent bien se mettre en tête que nous mènerons notre combat partout, au grand jour et à visage découvert, contrairement à eux qui ne cessent d’agir dans l’ombre et en cachant tout à la population.
Ce n’est pas la violence ou les méthodes troubles qui nous donneront la victoire, mais c’est la volonté de la population qui n’accepte pas leurs plans et projets pour détruire notre pays, qui finira par s’imposer grâce à nos mobilisations.
Qu’ils ne comptent pas sur leurs méthodes nauséabondes pour nous intimider. Nous ne lâcherons rien.
La « peste brune » c’est POLITIS ainsi que tous les médias du même acabit et leurs nombreux complices, élus ou pas.
À propos de Callac :
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/01/27/la-peste-brune-c-est-politis-et-leurs-semblables-6425079.html