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Climat, des modèles pas vraiment top 1/2

Le GIEC n'est pas un organisme scientifique de référence !

Il pourrait être une institution internationale respectable s'il compilait des données brutes et les mettait à la disposition de la communauté scientifique. Au besoin en animant des débats où tous les points de vue seraient appelés à s'exprimer.

Mais ivres du pouvoir que leur confèrent certains politiciens, des professeurs et des chercheurs qui n'ont jamais rien trouvé d'autre que des subventions, s'aventurent dans des spéculations hasardeuses, prétendent prédire l'avenir et « guider l'action des gouvernements. »

En 2016, le groupe 3 du GIEC avouait : « Dans la majorité des cas, les projections sous-jacentes reflètent les choix particuliers de l’équipe de modélisation quant à la façon de conceptualiser l’avenir. Les scénarios de référence présentent un large éventail d’hypothèses concernant la croissance économique, la demande d’énergie et l’intensité carbone de l’énergie »

Par ailleurs, quand les faits démentent leurs allégations, ils n'hésitent pas à tricher, et à truquer les données, afin de conserver leur emprise sur des gens au bagage scientifique succinct et à la mince culture historique.

Parmi les nombreuses supercheries dénoncées sur ce site, celle de Puerto Casado (Paraguay) résume le modus operandi de beaucoup d'autres : On choisit des endroits éloignés, isolés, où espère-t-on personne n'ira voir... En on "ajuste" les relevés de températures avant de les intégrer dans le modèle unique du réchauffement cataclysmique.

 
L'ajustement des données, pour ne pas dire la fraude grossière, a été dénoncée par Terence Kealey, vice-président de l'Université de Buckingham, Peter Chylek, physicien attaché au labo de Los Alamos, Richard McNidier, professeur de physique atmosphérique à l' Université d'Alabama, Roman Mureika, universitaire expert en méthodologie statistique et Roger Pielkle Sr, professeur de climatologie à l'Université du Colorado.
Autre exemple dont les imposteurs manipulent l'information :
Le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.
Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.
Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !
 

Les bégaiements répétés de la fausse science

Qui se souvient que dans les années 1950, 1960, des scientifiques du style professeurs Cosinus aux vues étroites affirmaient que les systèmes planétaires devaient être extrêmement rares dans le cosmos ?

Qui se souvent qu'à cette même époque, des savants du genre mandarins sans imagination clamaient que Neandertal et Cro Magnon ne pouvaient être interféconds ?

Dans le premier cas, la logique conduisait à réfuter cette théorie, lointaine héritière du géocentrisme, selon laquelle notre étoile et notre terre seraient uniques dans l'univers.

Dans le second, on connaissait en Europe et au Proche Orient des squelettes dits « mixtes » associant des caractéristiques des 2 espèces. Mais on refusait de les voir, attribuant à des maladies ou à une dégénérescence ces anomalies.

Nul ne devait remettre en cause la doxa, et surtout pas de jeunes assistants impudents et irrespectueux.

L'informatique balbutiait encore, mais des théoriciens bornés élaboraient déjà avec leurs règles à calcul des tableaux et des graphes conduisant à des modèles ayant la prétention de tout expliquer. Des trucs d'illusionnistes pour enliser les conformistes dans leur marécage intellectuel.

Le mental de l'humain reproduit les mêmes dysfonctionnements d'une génération à l'autre, car les cuistres ne sont pas prêts de partager leur minuscule pouvoir académique. Ainsi fonctionne, de façon élargie, la secte réchauffiste, avec ses gurus, ses adeptes, ses thuriféraires et ses suiveurs.

Les prédictions extravagantes du GIEC

Cet organisme politique fondé en 1988 par Margaret Thatcher et Ronald Reagan poursuivait des objectifs qui n'avaient rien d'écolo : Pour la première, mettre au pas les mineurs britanniques trop souvent grévistes à son goût, et faire accepter l'énergie nucléaire à une opinion publique réticente.

Pour le second, sortir du marasme économique par des innovations rendant obsolètes les anciennes structures, en incitant les financiers à investir dans des secteurs à défricher en quête de nouveaux profits, conformément au principe de destruction créatrice élaboré par Schumpeter.

Le réchauffement planétaire anthropique fut leur alibi et la clé de voûte d'une propagande qui dépassa ses initiateurs.

L'outil de lavage de cerveaux fut, là comme ailleurs, l'utilisation des médias audiovisuels aux ordres, chargés de trier les infos en occultant celles qui contredisaient la nouvelle théorie, tout en commençant à répandre la terreur de la fin du monde prochaine.

En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l'envahissement par la mer de toutes les villes côtières et îles basses, d'après le bureau de l'environnement de l'ONU, précurseur du GIEC...

 
On voit d'un simple coup d'œil l'imminence du déluge annoncé !

Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères ne tardaient pas à répercuter les prédictions catastrophistes des astrologues du GIEC :

Plus de neige en France dès 2010

Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,

Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020

Fonte des glaciers de l'Antarctique dans le même laps de temps,

Disparition des « neiges éternelles » de l'Himalaya avant 2030

Fort heureusement, rien de tout cela ne s'est produit :

La neige continue à tomber l'hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,

Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts des courants marins,

Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère,

Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,

Les mesures au sol comme les vues satellite s'accordent sur une refroidissement constant de l'Antarctique depuis 30 ans,

La réalité : les cycles glaciaires. La prédiction : la fonte des glaces

Les prévisions du GIEC, colportées par des Greta et autres simples d'esprit, plus fantaisistes et irréalistes les une que les autres, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à ces élucubrations.

Mais cette officine pratique ouvertement le "name dropping" pour gagner en crédibilité, et continue d'associer sans vergogne des dissidents et des opposants à sa propagande. Surtout s'ils ont une réputation de scientifiques sérieux et émérites. 

Si l'on exclut la supercherie délibérée, chiffres trafiqués, courbes truquées, des manœuvres aisément démontrables tant elles sont pitoyables, dans la plupart des cas, les coupables s'appellent « les modèles »

Le modèle le prétend, donc c'est vrai !

Un culte est voué aux modèles. Nul ne peut blasphémer en doutant des modèles ! Pourtant ce ne sont que des constructions intellectuelles spéculatives reposant sur des apriori.

En théorie, les modèles s'articulent sur des systèmes d'équations différentielles i.e qui cherchent à établir des relations entre des fonctions inconnues et leurs dérivées aléatoires. Du solide quoi !

Certes on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on les applique au petit bonheur la chance. La présentation numérique avec distorsions visuelles sur commande est censée renforcer le sérieux de la démarche... Mais on peut aussi numériser une crotte de chien en 3D !

La planète est subdivisée en grilles tridimensionnelles émiettées où on reporte sur chaque élément des suites séquentielles renforcées d'extrapolations plus ou moins cohérentes.

Puis on évalue les résultats à l'aune des interactions supposées avec les points voisins. Sans risque de surprises, puisqu'on a programmé d'avance dans chaque case 3D les écarts thermiques « probables » en fonction des vents « possibles », du rayonnement solaire « envisageable » , de l'hydrologie et de l'humidité « plausibles ». Comme si les phénomènes atmosphériques correspondaient toujours aux schémas théoriques.

À suivre

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