Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France : Est-ce que les émeutes ont été déclenchées par une étincelle ou par punition ?

Albert Coroz : Nous présentons ci-dessous trois approches différentes, qui ont en commun la supposition que les émeutes qui viennent de dévaster la France ne se sont pas produites, juste maintenant, par hasard.

******

Sarolta Virághalmi, une journaliste hongroise renommée, a fait 35-40 reportages en France durant les récentes émeutes dans différentes régions, en interviewant toutes les catégories socio-culturelles, sauf les nouveaux Français.

Elle a livré ses réflexions, dont voici un résumé:
- Ce n'est pas par hasard que ces émeutes sont arrivées maintenant, il y a eu bien d'autres décès similaires, par exemple après le refus d'obtempérer le 14 juin d'un autre petit ange parfait à Angoulême.

Mais elle n'est pas la seule à penser que les forces du deep state qui règnent sur l’Europe ont cherché à punir Macron pour ses prises de distance et ses désobéissances, pour son refus du bouclier antimissile européen et encore d'autres évènements qui ont irrité le marécage globaliste. Par exemple son voyage en Chine, sa volonté de rejoindre les BRICS, son opposition au fait d'acheter des armes pour l'Ukraine aux USA plutôt qu'en Europe (et d'alimenter une guerre qui ne fait qu'affaiblir l'Europe), mais aussi son voyage aux USA concernant le protectionnisme, ses souhaits d'une armée européenne, etc.
En réponse à ces erreurs, a
vec l'aide de la puissance médiatique en France, les forces du deep state américain et ses agents, ensemble, auraient déclenché les émeutes en France.
Par deep state occidental, il faut entendre ceux qui dirigent l'Union Européenne et imposent les sanctions suicidaires, définissent le narratif des médias, font taire les opposants, interdisent les enquêtes sur des sujets comme l'explosion des Nord Streams. Ceux qui ont planifié,  provoqué la guerre en Ukraine sont du deep state, ceux qui contrôlent les plateformes, les réseaux sociaux et le web en général, mais aussi des compagnies ultrariches, l'industrie d'armement, Google, etc.
L'OTAN est également totalement soumise au deep state américain.

Sarolta Virághalmi a également expliqué que la population française vit partout dans un déni de la gravité de la situation. Si les Français admettent que la Hongrie fait mieux pour éviter ces problèmes, ils gardent néanmoins un sentiment de supériorité, pensant que la France restera pour toujours le centre culturel de l’Europe. Sarolta Virághalmi a constaté que les Français admettent unanimement que cette crise est plus grave que celle de 2005, mais restent persuadés que la France ne pourra jamais mourir.
Face au désastre de l'islamisation, de la démographie (plus de trois enfants par femme issue de la diversité contre seulement 1,3 pour les Françaises de souche), il n'y a pas non plus de panique.
Il n'y a aucune prise de conscience en France sur le fait que la masse critique de l'immigration musulmane est largement dépassée, que les Français vont être remplacés, et qu'il y a déjà trop de migrants pour que l'intégration soit encore possible. Les Français s'illusionnent, car il y a aussi beaucoup d'immigrés utiles, qui ne posent pas de problèmes.
Les gens réagissent face à la gravité de la situation comme un cancéreux mourant, qui parle jusqu'au dernier moment du dosage des pilules.

Sarolta Virághalmi a également relevé l'absurdité du comportement du pouvoir, qui réprime l'autodéfense et cherche encore à plaire à la diversité, citant l'exemple des jeunes étudiants souverainistes que la police a sanctionnés en priorité alors que les incendies et les pillages faisaient rage.
Avec la fermeture de la cagnotte pour le policier qui a tué Nahel, une dernière parcelle de liberté qui permettait d'être solidaire avec les siens a été anéantie.
La journaliste hongroise relève également comment la mort d'un pompier blanc de 24 ans a été présentée par les médias comme "sans aucun rapport avec les émeutes", afin d'éviter les réactions, alors qu'il a perdu la vie dans un garage souterrain où une centaine de voitures brûlaient, de toute évidence pas par hasard.

Face aux  territoires perdus et à la haine des émeutiers, les médias mainstream restent dans le déni, et beaucoup de Français espèrent encore une solution pacifique. C'est tout le contraire sur les réseaux sociaux, où la polarisation augmente. La population est en colère parce que l’État va déverser encore plus d'argent dans les quartiers, alors que les agriculteurs sont aux abois et que les zones périphériques sont laissées pour compte. Avec le discrédit jeté sur la police et les institutions, le contrat social se disloque, et le maintien de l'ordre sera encore plus difficile.

Pour les quidams qui ont vu durant ces émeutes incendier leur voiture, leur logement, dévaster leur lieu de travail, alors que ceux qui cherchent à détruire la France faisaient la fête avec des cris de joie "nique la France", cela va créer chez beaucoup un sentiment d'aliénation, entre les discours "antiracistes" et le silence qui entoure le désespoir des victimes.

D'autres forces au-dessus des lois – comme les ONG qui ont pour fonds de commerce les cargaisons intarissables qui envahissent l'Europe, comme aussi les mafias et les organisations islamistes – exercent des influences hors contrôle sur l'évolution de la société française.
M
ais sans le lavage de cerveau, la censure et la désinformation, aucun de ces réseaux ne pourrait plus continuer à fonctionner.

En France, ces vingt dernières années, il y a eu vingt fois plus d'investissement dans les banlieues que dans les villes de province et les régions périphériques, et ce sont ces banlieues qui se soulèvent!
La réponse des autorités pour remédier aux problèmes, c'est d'acheter la paix sociale, c'est la soumission, ce qui va immanquablement amener d'autres émeutes, encore plus violentes, encore plus destructrices.

Albert Coroz

https://by-jipp.blogspot.com/2023/07/france-est-ce-que-les-emeutes-ont-ete.html#more

Les commentaires sont fermés.