Chronique de Paysan Savoyard
(n° 308 – Novembre 2023)
La façon dont l’attaque de Crépol est traitée par le Système, ses politiciens, ses procureurs et ses médias, illustre une fois de plus cette réalité tragique : les premiers ennemis des Français de souche sont des Français de souche eux aussi. Nos premiers ennemis sont nos dirigeants et tous ceux qui les approuvent, les élisent et exécutent leurs ordres. Nos premiers ennemis sont des Blancs.
C’est ainsi que, comme à l’habitude, loin de prendre le parti des Français de souche et des règles de vie en vigueur dans une France française, le Système a pour seul souci d’empêcher que l’attaque de Crépol n’aboutisse à la mise en cause de sa politique d’immigration massive.
Dénoncer l’extrême droite
Comme d’habitude, au lieu de dénoncer les coupables et leurs crimes et de s’interroger sur les conséquences qu’il conviendrait de tirer de ces événements tragiques, le Système choisit de mettre en cause l’extrême droite, accusée de « récupérer » les tragédies pour « servir ses intérêts électoraux », « nourrir ses obsessions malsaines », « propager la haine » et « diviser la société française ». Comme d’habitude, autrement dit, ce ne sont pas les incendiaires que le Système accuse mais ceux qui sonnent le tocsin.
Mme Borne vient ainsi de déclarer « qu’utiliser ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les familles« . De son côté M. Véran a dénoncé « la polémique politicienne » et la volonté « d’exploiter » les événements (voir ici). Espérons que les Français moyens ne se laisseront pas abuser par les sophismes brandis par le gouvernement. Au nom de quel principe en effet, l’extrême-droite, qui depuis cinquante ans dénonce les méfaits et les dangers de l’immigration, devrait-elle s’abstenir de mettre en exergue les faits qui jour après jour lui donne raison ?
Nier le lien entre la délinquance et l’immigration
Comme d’habitude le Système va s’efforcer de taire le plus longtemps possible l’identité des coupables et le fait que les auteurs des coups de couteaux sont très probablement issus de l’immigration. C’est ainsi que, pendant les jours qui ont suivi le crime, les grandes chaînes télé n’ont pas informé leurs auditeurs de ce que les témoins de l’attaque avaient immédiatement mis en cause les « jeunes » d’un quartier de Romans.
Le moment venu l’identité des coupables sera certes communiquée mais l’information interviendra discrètement plusieurs semaines après les faits, lorsque l’émotion sera retombée et que l’opinion sera passée à autre chose.
Dans son entreprise habituelle de déni, le Système cherchera également à montrer que la responsabilité du drame incombe à la société française dans son ensemble. On parlera de l’influence néfaste des jeux-vidéos et des drogues, on évoquera la démission des familles et le défaut d’éducation, on mettra en cause le désoeuvrement, le chômage, la ghettoïsation…
On notera la maestria avec laquelle les médias parviennent à relativiser la portée raciale de l’attaque de Crépol : c’est ainsi que TF1 a consacré une partie de son JT du 21 novembre au soir à l’affaire Jubillar (crime de Blanc certes, mais crime entre Blancs et datant de trois ans) et aux insultes racistes d’un septuagénaire qui a porté un coup de cutter à un jardinier arabe (alors que les insultes racistes et les agressions dont sont victimes des Blancs se comptent par centaines chaque jour).
Toujours en pointe dans les opérations de manipulation et d’enfumage conduites par le Système, Le Monde, l’organe immigrationniste de référence, a mis cinq jours avant de faire paraître un premier article consacré à Crépol. Le journal a aujourd’hui enfin trouvé son angle d’attaque : dénoncer l’instrumentalisation des « faits-divers » comme celui de Crépol ; tenter de limiter l’impact du crime de Crépol en mettant en exergue l’agression du jardinier arabe de Villecresnes (voir ici).
On peut prédire d’ores et déjà ce que sera la prochaine étape de l’entreprise d’intoxication en cours. Il apparaîtra probablement le moment venu que les coupables sont déjà bien « connus de la police ou de la justice » pour des faits plus ou moins graves : ce sera le moment pour le Système et ses médias d’insister sur le fait que les agresseurs sont avant tout des délinquants, qu’il convient de ne pas amalgamer à la grande majorité des personnes issues de l’immigration, qui elles sont paisibles et vivent normalement. Tout sera fait, là encore, pour cacher l’essentiel : les attaquants de Crépol sont certes des délinquants, mais ils sont avant tout les soldats de la guerre de conquête en cours en France et en Europe.
Travestir les faits pour minimiser la responsabilité des coupables
Comme d’habitude lorsque les coupables sont issus de l’immigration, le Système travestit les faits pour s’efforcer de les relativiser, de les banaliser ou de minimiser la responsabilité des auteurs.
Dans le crime de Crépol, tous les médias, des JT aux journaux régionaux, ont systématiquement employé le terme de « rixe », évidemment inapproprié et malhonnête puisqu’il suggère un affrontement entre des groupes. La réalité est toute autre puisque les jeunes du village ont manifestement été victimes d’une attaque, de la part d’agresseurs armés de couteaux.
Dans le même esprit, certains médias du Système évoquent « l’hypothèse d’un règlement de comptes », ce qui permet de laisser entendre que les victimes ne sont peut-être pas totalement innocentes. Les mêmes médias indiquent que les auteurs des coups de couteaux se seraient vu refuser l’entrée de la salle des fêtes par les vigiles : ils suggèrent ainsi entre les lignes que les coupables pourraient avoir été eux-mêmes victimes au préalable d’un délit de faciès et de racisme.
Dans les affaires impliquant des non-Blancs, on sait que le Système dispose de nombreuses autres ressources pour s’efforcer de minimiser la responsabilité des coupables : il a ainsi coutume d’expliquer que les coupables en question avaient « consommé de l’alcool » ou qu’ils sont atteints de « déséquilibre » et de problèmes mentaux. Compte tenu des informations qui ont été communiquées jusqu’à présent, il semble que, dans le cas de Crépol, le Système et ses médias devront, pour noyer le poisson, imaginer d’autres types d’explications.
Se refuser à punir les coupables
Par parti pris idéologique, à moins qu’il ne s’agisse d’un calcul diabolique, le Système, ses législateurs et ses juges, se refusent le plus souvent à punir sévèrement les coupables lorsque ceux-ci sont issus de l’immigration. Il en sera de même probablement pour l’attaque de Crépol.
C’est ainsi que le procès des coupables n’interviendra que dans plusieurs années, lorsque l’opinion aura à peu près oublié l’événement. Entretemps, les coupables auront pour la plupart été laissés en liberté. Les peines prononcées seront comme d’habitude probablement dérisoires. La préméditation ne sera sans doute pas retenue. On parlera non pas de meurtre mais de « violence pouvant entraîner la mort sans intention de la donner ». L’attaque ayant été collective, les responsabilités précises de chacun seront difficiles à établir, ce qui diminuera la sévérité des peines. Les mécanismes habituels du laxisme judiciaire (possibilités multiples offertes aux avocats pour identifier des défauts de procédure, définition restrictive de la récidive, principe du doute profitant à l’accusé, principe des circonstances atténuantes, existence de peines alternatives, du sursis, des remises de peines…) joueront à plein, dans cette affaire comme dans toutes les autres (voir cette chronique). En un mot les punitions infligées le moment venu aux coupables n’auront évidemment aucun effet dissuasif.
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Une fois encore, comme pendant les émeutes récentes, comme lors de l’assassinat de l’enseignant Dominique Bernard, comme lors de chaque attaque terroriste ou de chaque meurtre de Blanc, on doit en venir à cette conclusion atterrante : les premiers coupables ne sont pas les porteurs de couteaux mais ceux qui les ont laissés entrer en France. Ceux qui ont fait venir les immigrés dans les usines, afin d’exercer une pression à la baisse sur les salaires. Ceux qui ont organisé le regroupement familial, permettant aux immigrés de première génération d’enclencher un processus de submersion par les naissances. Ceux qui ont régularisé les clandestins. Ceux qui ont attribué à tout va la nationalité française. Ceux qui ont distribué à chacun des nouveaux venus allocations, prestations et logements gratuits. Ceux qui ont donné à tous ces gens le droit de s’implanter dans un pays qui n’est pas le leur.
Une fois encore il faut mettre en évidence ce constat terrible : si nous sommes envahis, si nous sommes agressés, si nous sommes tués, c’est que nous sommes trahis. Agressés parce qu’envahis. Envahis parce que trahis.
Nos premiers ennemis sont des Blancs…
Voir également ces chroniques :
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La décapitation d’un enseignant, au confluent du terrorisme, de l’immigration et de la trahison
Attentat de Bruxelles : la poussière retombée, place à la propagande