La suppression progressive des classes prépa à Paris n’est pas une surprise pour qui connait les tenants et aboutissants de la question scolaire : elle était en germe depuis plusieurs années.
En effet, il faut rappeler qu’une Ecole d’excellence au bénéfice exclusif des élèves issus de l’immigration a pris son essor depuis une quinzaine d’années avec les « équipes de réussite éducative » bénéficiant à 100 000 jeunes chaque année, les « internats d’excellence » (collèges et lycées – 20 000 places en 2008, 33000 aujourd’hui), les 200 « cités de haute qualité éducative » créées par Blanquer et scolarisant un million d’élèves (environ 2/3 en école primaire, 1/3 en collège), les structures préparatoires à l’enseignement supérieur de prestige avec les « cordées de la réussite » (200 000 élèves) les « classes préparatoires à l’enseignement supérieur – CPES» (33 formations de 25 élèves par classe) les classes préparatoires intégrées – CPE » (au sein de toutes les grandes structures publiques ou privées) affichant des taux de réussite dépassant de loin les moyennes nationales et ce, dans le but de permettre aux immigrés d’être l’élite de la nation et que nos enfants, croupissant dans les tripots de la république, en soient les larbins afin de répondre aux exigences du « grand remplacement ».
Gabriel Attal n’invente rien, il est dans la ligne de ses prédécesseurs : foin de l’excellence du français de souche, il faut des immigrés aux postes de commande !
C’est ainsi que Brighelli, faux opposant au système mais vrai imposteur, a été l’inspirateur de la création de ces structures d’excellence au point que c’est précisément à Marseille qu’ont été faites les premières expériences d’internats éducatifs en 1997, qu’il a été également l’inspirateur des procédures scandaleuses de « parcoursup » et « d’affelnet » pour bloquer l’accès de nos brillants enfants mais français de souche aux structures d’excellence et tout particulièrement aux grands lycées parisiens – Henri IV, Louis le Grand…) avouant avec son cynisme habituel, avoir fait partie des jurys pour l’accès aux classes préparatoires aux grandes écoles – CPGE – pendant des années, confessant que le livret scolaire était vu de très loin mais que ce qui comptait, c’était l’origine géographique et sociale du jeune, concluant ainsi : nous (notez le « nous ») n’avons pas l’intention de changer, c’est la meilleure décision du ministre Blanquer !!!
Aujourd’hui, la suppression progressive des classes préparatoires aux grandes écoles s’inscrit dans la continuité de ce système qui va permettre de fermer définitivement la porte aux voies d’excellence de nos jeunes au profit de ceux issus de l’immigration pour qui l’accès à l’enseignement supérieur de prestige va leur être entièrement réservé.
Nous avons affaire à des traitres et Gabriel Attal n’est que le rejeton d’une maffia qui veut notre peau. Il ne tient qu’à nous de créer des structures parallèles pour sauver nos enfants et la France française, car il n’y a rien à attendre de bon pour nos enfants, quel que soit le ministre en place dans ce système totalement dévoyé qui n’a d’autre objectif que de nous détruire.