Chronique de Paysan Savoyard (n° 313 – Janvier 2024)
L’invasion migratoire est en train de ruiner notre pays, de détruire notre mode de vie, de marginaliser notre peuple, d’éradiquer notre civilisation. Il n’est pas inutile de détailler une nouvelle fois les formes que prend l’écroulement de notre monde. De même qu’il existe sept plaies d’Egypte ou sept péchés capitaux, on peut distinguer sept conséquences catastrophiques de l’immigration.
- L’invasion migratoire dégrade l’environnement
L’immigration, premièrement, dégrade et continuera de dégrader l’environnement de la vie quotidienne. Il faut à cet égard souligner d’abord l’existence d’un phénomène dont il est peu question dans le débat public : l’augmentation forte de la population française. La population a augmenté de 10 millions en un peu plus de trente ans en France métropolitaine. Ainsi que nous l’expliquons au dernier paragraphe, cette augmentation est intégralement due à l’immigration.
Cette augmentation forte de la population entraîne mécaniquement une dégradation de l’environnement de la vie quotidienne. La bétonisation ne cesse ainsi de s’accentuer, pour absorber l’accroissement démographique : logements supplémentaires, surfaces commerciales, infrastructures diverses, notamment de transport. La croissance démographique entraîne également ipso facto un accroissement de la pollution. De même, elle produit une surcharge des infrastructures de transport, qui dégrade la vie quotidienne de nombreux Français : bouchons, retards, sur-fréquentation…
En plus de la bétonisation et de l’artificialisation du sol, l’immigration provoque également une tiers-mondisation des villes et des campagnes : campements sauvages, jusque sur les boulevards les plus huppés de la capitale ; bidonvilles installés sous les ponts ou sur les friches industrielles ; squats ; occupations des terrains privés et publics par les gens du voyage…
La suite ? La dégradation de l’environnement va se poursuivre, bien sûr. L’INSEE vient ainsi d’indiquer que la population des métropoles continue à augmenter, accroissant par là-même la bétonisation et les phénomènes de thromboses.
- L’invasion migratoire permet aux employeurs de pratiquer des salaires faibles
La suite ? La partition du monde du travail va se poursuivre : un nombre croissant de filières seront occupées presque exclusivement par des immigrés. Ces filières ne seront plus seulement celles du bas de l’échelle peu rémunérées. Par exemple, les emplois dans le secteur des télécoms, de la téléphonie et de la maintenance informatique et électronique sont désormais massivement occupés par des immigrés. Les Français de souche vont déserter ces secteurs de façon croissante pour éviter de s’y retrouver en situation fortement minoritaire.
- L’invasion migratoire provoque un effondrement des services publics
L’immigration entraîne, troisièmement, un effondrement des différents services publics. Dans le domaine de la santé, l’hôpital est confronté à un manque croissant de personnels soignants, médecins et infirmières : de ce fait des centaines de milliers de lits ont dû été supprimés ces dix dernières années. La diminution des personnels est pour l’essentiel la résultante des mauvais choix effectués par les pouvoirs publics, à commencer par la forte baisse du numérus clausus pendant des décennies. Le manque d’attractivité du métier d’infirmière à l’hôpital, lui, est probablement pour partie la conséquence de l’immigration : le fait que la population des patients est de façon croissante issue de l’immigration entraîne ainsi des conséquences dommageables diverses, en particulier des tensions et des agressions verbales et physiques. Pendant que le nombre des personnels soignants diminue, la population, elle, ne cesse d’augmenter, en raison de l’immigration comme nous l’avons vu. L’effet de ciseau qui en résulte entraîne une crise toujours plus grave des structures hospitalières : services d’urgence débordés, délais d’attente pour obtenir un rendez-vous de plus en plus élevés, personnels sous pression… Rappelons enfin que pour pallier le manque de médecins, les pouvoirs publics ont recruté dans les hôpitaux plusieurs milliers de « médecins à diplôme étranger », le plus souvent venus d’Afrique ou du Moyen-Orient, aux compétences sujettes à caution. Le gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer (voir ici) que même les médecins étrangers n’ayant pas réussi le concours destiné à vérifier leurs connaissances pourraient tout de même rester en poste !
L’école, elle aussi, est en voie d’implosion en raison de l’immigration, avec deux phénomènes principaux : la baisse continue du niveau moyen des élèves et étudiants d’une part ; la multiplication des tensions et des violences d’autre part. Cette situation conduit un grand nombre de familles de souche à fuir vers l’enseignement privé. Elle entraîne également une forte baisse de l’attractivité du métier d’enseignant. Dans ce contexte, un nombre croissant d’enseignants, recrutés par contrats, sont eux-mêmes issus de l’immigration et ne possèdent qu’un niveau très faible.
Pour les Français de souche, le service public du logement social a, lui, purement et simplement disparu : la grande majorité des logements sociaux, du moins dans les métropoles, sont en effet attribués à des immigrés. Les Français de souche qui pourraient prétendre à un logement social dans les « quartiers » préfèrent les fuir et s’éloigner fortement des métropoles afin d’échapper à la cohabitation avec les immigrés. Ils se retrouvent alors confrontés aux phénomènes qui touchent la France périphérique : services publics de plus en plus lointains, déserts médicaux, rareté des emplois.
La suite ? La dégradation va se poursuivre bien sûr. Ceux qui en auront les moyens fuiront toujours davantage les structures publiques ou sous contrat avec l’Etat, aussi bien dans la santé que dans l’éducation.
- L’invasion migratoire engendre des prélèvements publics confiscatoires
Tandis que le service public se dégrade, les prélèvements obligatoires, eux, ne cessent d’augmenter et ont atteint depuis longtemps un niveau confiscatoire. Depuis une dizaine d’années, la France a intégré le trio de tête des pays où les prélèvements obligatoires sont les plus élevés du monde. En 2022, elle occupait la 2e position avec un taux de prélèvements par rapport au revenu national (ou PIB) de 45 %.
Encore faut-il préciser que ces 45 % constitue une moyenne. Pour les ménages à faibles revenus, ce taux est très inférieur parce qu’ils paient peu et reçoivent beaucoup. L’INSEE indique ainsi que 60 % des ménages sont des bénéficiaires nets du système de prélèvements et de redistribution. Un grand nombre d’immigrés se trouvent dans cette situation favorable. Pour ceux, en revanche, qui paient beaucoup sans rien recevoir, c’est à dire les milieux moyens et aisés, le taux de prélèvement peut dépasser 70 % de leur revenu !
Ces prélèvements sont destinés à financer des dépenses publiques énormes (55 % du PIB), qui se perdent dans différents gouffres : l’assistanat ; la sphère publique hypertrophiée ; l’aide au tiers-monde. Mais le gouffre principal est le financement de l’invasion migratoire. L’immigration entraîne en effet une cascade de dépenses publiques. Citons les principales : allocation sociales et prestations, certaines d’entre elles étant attribuées même aux immigrés n’ayant jamais cotisé en France, et même aux immigrés en situation irrégulière. Scolarisation gratuite. Attribution de logements gratuits ou quasi gratuits. Subventions aux associations qui gèrent et assistent les immigrés. Coûts des services administratifs consacrés aux immigrés (juridictions de l’asile, OFPRA, OFII, FAS, entre autres exemples). Coût des services policiers, judiciaires et pénitentiaires affectés à la délinquance des immigrés…
La suite ? On peut penser que l’Etat accentuera encore la pression fiscale. D’abord parce que les dépenses publiques ne cesseront d’augmenter à mesure que l’immigration augmentera elle-aussi. D’autre part parce que la dette fortement accrue ces dernières années entraînera une hausse des intérêts à payer : le service de la dette conduira probablement à alourdir encore le prélèvement.
En outre, l’Etat sera probablement tenté de dégager des ressources et des moyens supplémentaires en s’attaquant plus directement aux biens privés, par des mesures de spoliation ou de confiscation arbitraires : réquisition ou saisies de logements vides, réquisition d’une partie des logements jugés trop grands, spoliation au moment des successions, par exemple.
- L’invasion migratoire entraîne une dégradation continue de la sécurité
L’immigration, cinquième conséquence, entraîne une augmentation continue de la délinquance et une dégradation toujours plus grave de la sécurité des Français de souche.
3,5 millions de crimes et délits sont recensés chaque année. Leur nombre réel est en réalité trois fois supérieur, selon les enquêtes de victimation, la plupart des délits n’étant pas déclarés par les victimes. L’écrasante majorité de ces millions de délits et crimes sont commis par des immigrés.
La délinquance immigrée prend de nombreuses formes. Certaines sont motivées par la prédation : escroqueries, cambriolages, car-jacking, home-jacking, viols. D’autres révèlent la volonté de s’attaquer à la France de souche, de dominer et d’humilier les Blancs : incivilités, menaces, insultes, embrouilles, émeutes, agressions « gratuites ». Encore faut-il préciser que même les actes motivés avant tout par la prédation sont le plus souvent suscités également par la volonté de nuire à la France et aux Français.
La suite ? La dégradation va se poursuivre à mesure que la population immigrée deviendra de plus en plus nombreuse. On verra apparaître probablement des pratiques en vigueur dans les pays où l’Etat est déliquescent et les mafias et gangs tout puissants, comme dans de nombreux pays d’Afrique, d’Europe balkanique ou d’Amérique du Sud : enlèvements avec demande de rançon ; racket systématique des commerçants (lesquels sont réservés actuellement à certains villes du Sud et du 93) ; attaques en bandes contre des domiciles privés (les attaques et pillages ne concernent jusqu’ici que les commerces et ne se produisent qu’en marge des émeutes) ; guets apens sur les routes et rançonnement des automobilistes (lesquels sont pour l’instant encore assez rares).
- L’invasion migratoire va de pair avec l’islamisation
La sixième conséquence de l’immigration est l’islamisation croissante de la société. L’islamisation se traduit par la multiplication des lieux de cultes musulmans. Elle entraîne également une pression constante pour accroître l’emprise des mœurs islamiques : port du voile, menus à la cantine, nourriture et commerces halal…
En accroissant fortement le volume de la main d’œuvre peu qualifiée, l’immigration place les employeurs en position de force dans tous les secteurs qui utilisent des emplois manuels et d’exécution : BTP, transport et livraison, services à la personne, restauration, nettoiement, gardiennage… Dans ces secteurs les employeurs fixent les salaires au niveau le plus bas possible. Les immigrés acceptent ces niveaux de salaires parce qu’ils sont pour une partie d’entre eux clandestins. Même pour les immigrés en situation régulière, les salaires pratiqués sont considérés comme très satisfaisants rapportés au niveau de vie dans les pays d’origine : une fois convertis en monnaie locale, la partie de leur salaire que les immigrés envoient dans le pays d’origine représentent des sommes considérables et font vivre les familles « restées au pays ». La mise en place ces dernières années du travail détaché au sein de l’UE a encore accru l’ampleur de ce phénomène de dumping social.
S’est ainsi installé un système pervers. Les Français de souche fuient les emplois manuels et d’exécution. Ils tentent d’accéder à un emploi public, par exemple dans les collectivités locales. A défaut ils choisissent l’assistanat. S’ils sont incités à refuser les emplois manuels c’est d’abord du fait des salaires faibles. Mais aussi parce que la proportion des immigrés est telle, sur les chantiers BTP ou dans les entreprises de services, qu’elle est devenue dissuasive pour les Français de souche européenne.
Cette islamisation s’effectue avec la complicité active des pouvoirs publics : mise à disposition gratuite de terrains ou de locaux ; vente de terrains à prix symbolique pour installer des lieux de cultes ; subventions aux associations ; recrutement dans les collectivités, dans les associations et dans l’administration…
Cette islamisation a d’ores et déjà abouti à transformer de nombreux quartiers en des enclaves étrangères de fait, gérées par les caïds et régentées par l’islam (ces quartiers « prioritaires » de la politique de la ville sont désormais près de 1400 (voir ici).
L’islamisation et le communautarisme sont en outre fortement présents dans certains services publics, par exemple à la RATP, dans certaines grandes entreprises, ainsi qu’à l’université (salles de prières, prières sauvages, pressions exercées sur ceux qui ne pratiquent pas le ramadan…).
La suite ? L’évolution de la situation en Angleterre permet de prédire à coup sûr ce qui va se passer prochainement chez nous. Nous connaîtrons bientôt nous aussi les meetings géants, les manifestations spectaculaires, les prières de rue massives. Le Premier ministre est désormais d’origine immigrée aussi bien en Angleterre, qu’en Irlande ou en Ecosse. Il en est de même du maire de Londres. Nous aussi nous aurons bientôt nos dirigeants immigrés au plus haut niveau (par exemple R. Dati vient d’annoncer qu’elle sera candidate à la mairie de Paris).
- L’invasion migratoire va entraîner notre mise en minorité sur notre propre sol et faire disparaître notre civilisation
La dernière conséquence est la plus grave. Les Français de souche européenne, les Blancs, sont en train de devenir minoritaires dans leur propre pays.
Compte tenu des flux annuels d’immigration, il est probable qu’ils sont d’ores et déjà minoritaires dans les classes d’âge les plus jeunes.
Selon ce qu’indiquent les chiffres des tests de la drépanocytose (voir cette tribune), la natalité des Français de souche ne dépasse pas 350 000 par an. Elle est donc très nettement inférieure aux 600 000 décès annuels, qui concernent presque tous la population de souche. Dans ces conditions, la population aurait dû commencer à baisser. Or elle augmente, comme nous l’avons vu, et fortement. Cette augmentation est donc intégralement due à l’immigration, selon ces deux canaux : le premier est l’installation de 4 à 500 000 immigrés supplémentaires chaque année, que cette immigration soit légale, irrégulière ou sous le couvert de la demande d’asile. Le second est la naissance d’environ 300 000 personnes par an dont l’un au moins des deux parents est issu de l’immigration non européenne.
D’ores et déjà, personne ou presque ne peut échapper à l’immigration dans sa vie quotidienne. Les pouvoirs publics prennent soin en effet d’imposer le vivre ensemble et la diversité à toute la population de souche, grâce à différentes politiques et dispositifs : loi SRU ; dispositifs de mixité scolaire ; répartition des immigrés sur tout le territoire (par la répartition dans les HLM de province ; par l’implantation dans les provinces de centres d’accueils de demandeurs d’asile ou de mineurs non accompagnés).
Dans le même esprit, les pouvoirs publics mettent également en place une politique de quotas et de discrimination positive qui fait que les immigrés sont désormais présents dans tous les secteurs : grandes écoles, administrations, transports publics, police, armée. De même, dans les hôpitaux, les autorités ont fait venir des milliers de médecins étrangers (MDE) pour la plupart d’Afrique et du Moyen-Orient.
Dans ces conditions et de façon croissante, les Français de souche se trouvent et se trouveront en présence d’immigrés dans tous les actes et les lieux de leur vie quotidienne. Leurs voisins ; leurs condisciples d’études ; leurs collègues de travail ; leurs interlocuteurs dans les services publics et les administrations ; leurs enseignants ; les médecins et infirmières qui les soignent ; les policiers et militaires qui déambulent dans les gares et les rues : parmi toutes ces personnes les immigrés occuperont une place toujours croissante.
Face à ces immigrés, les Français de souche se trouveront souvent dans une situation d’infériorité, dans les hôpitaux, dans les maisons de retraite, aux guichets des administrations. Dans toutes ces situations, les immigrés auxquels les Français de souche seront confrontés par nécessité occuperont une position de force : ils seront plus jeunes, plus arrogants, plus agressifs.
On peut noter que ce remplacement conduit une partie des jeunes Français de souche à adopter les mœurs des immigrés : vêtements, coiffure, accent et expression des banlieues, rap… D’ores et déjà, de façon plus ou moins consciente, un grand nombre de Blancs ont adopté une attitude de soumission.
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Les Français de souche qui voudront échapper à tout cela n’auront que deux issues. Soit disposer de gros moyens financiers pour pouvoir résider dans des zones protégées (mais les agressions et les cambriolages n’épargnent plus les élites et les beaux quartiers). Soit fuir dans les pays peu touchés par l’immigration (mais il est probable que toute l’Europe sera progressivement envahie). Les Français moyens, en tout cas, n’échapperont pas aux conséquences de l’invasion migratoire. La fin de leur civilisation est désormais probable, pour ne pas dire quasi certaine.
Enrayer le processus resterait certes possible : s’ils le souhaitaient, les pouvoirs publics disposent encore de tous les moyens, matériels, humains, techniques et financiers, pour arrêter l’invasion et renvoyer une grande partie des immigrés. Non seulement la classe dirigeante ne veut pas utiliser ces moyens mais elle a contraire pour objectif de poursuivre et d’accentuer l’immigration, afin d’édifier un monde nouveau sans frontières. C’est ainsi que les flux d’immigration légale ne cessent de croître d’un mandat présidentiel à l’autre (voir cette chronique).
Il faudrait que la majorité des Français renvoient par le vote l’actuelle classe dirigeante et la remplace par des hommes d’Etat qui mèneront une politique d’arrêt total de l’immigration et de remigration massive. Les Français ne le feront pas. Par universalisme et humanisme, par pacifisme, par bêtise, par lâcheté, par individualisme, par calcul et choix du « après moi le déluge », ils ne le feront pas. La majorité des Français et des Européens de souche choisiront de laisser faire et ne réagiront pas.
A quel moment pourra-t-on considérer que la France française est morte ? Au moment où la population de souche sera mise en minorité ? A la date à laquelle un musulman sera élu maire d’une grande ville ou d’une capitale, comme en Grande Bretagne (Londres) ou aux Pays-Bas (Rotterdam) ? A la date à laquelle le premier ministre sera musulman comme en Angleterre, en Irlande, ou en Ecosse ? A la date à laquelle le président lui-même sera musulman, ainsi que le prophétise Houellebecq ? Au moment où l’appel à la prière du haut des minarets sera autorisé (comme déjà en Allemagne à Francfort (voir ici) ? Il reviendra aux historiens de fixer le moment venu celle de ces dates qui apparaîtra la plus symbolique.
La question majeure qui se pose est désormais la suivante : dans cette France et cette Europe envahies et colonisées par les Africains et les Orientaux, quel sera le sort réservé aux Français et Européens de souche, minoritaires et dominés ? Quel sera le sort réservé aux Blancs ? Le statut de dhimmis, comme au Moyen-âge en Espagne ? La relégation dans des ghettos ou dans des camps ? La réduction en esclavage ? Ou tout simplement les massacres et le génocide ? Un composé de tout cela sans doute. Malheur à nous…
La présente chronique complète et actualise celle parue en 2017. Voir également ces chroniques :
L’intégration des immigrés est impossible