Macron : un monument d’amateurisme face au Tsar qui a 24 ans d’expérience
En sept ans, Macron n’a rien appris et reste aussi immature que lorsqu’il prétendait que l’arme nucléaire ne servait à rien ou aussi ignare que lorsqu’il croyait que la Guyane était une île.
Il est totalement grotesque de jouer les gros bras face à l’armée russe. La France ne pourrait aligner que 20 000 soldats, de quoi tenir trois semaines si on en perd 1 000 par jour. Comparé au rusé Poutine, Macron est un nain politique, entouré d’incapables triés sur le volet.
Le général Delawarde relate parfaitement l’incapacité de l’Occident à combattre la Russie
https://reseauinternational.net/lotan-peut-elle-faire-la-guerre-contre-la-russie/
J’ai toujours été étonné qu’on prenne pour une lumière un Macron qui a seulement une excellente mémoire et un aplomb à toute épreuve, alors qu’il dit tout et son contraire à 24 heures d’intervalle. Il faut dire que la presse subventionnée et aux ordres manie la brosse à reluire avec brio. En sept ans, il nous a ruinés et tout a empiré. Son règne est un désastre national sans précédent.
Comment l’Occident, dirigé par une nuée de bons à rien qui n’ont pas inventé l’eau chaude mais qui croient pourtant détenir la vérité, pourrait tenir tête à Poutine et au peuple russe, dont la détermination et le patriotisme n’ont pas changé depuis Stalingrad.
Si un Français de 2024, totalement avachi par le consumérisme effréné et l’assistanat généralisé, n’a plus rien à voir avec nos grognards de l’épopée napoléonienne ou nos Poilus de 14-18, un Russe d’aujourd’hui est toujours prêt à mourir pour sa patrie, en suivant les traces de son grand-père ou arrière grand-père. Une évidence qui échappe visiblement aux Occidentaux.
Depuis 1990, c’est le grand suicide collectif de l’Occident, qui non seulement a divisé le format des armées par trois, mais qui aussi n’a cessé de combattre le nationalisme honni, en ringardisant le patriotisme et en niant le bien-fondé des frontières au nom de l’hystérie mondialiste.
Il ne faut donc pas s’étonner que les armées occidentales ne parviennent plus à recruter, ce qui entraine un dramatique nivellement par le bas dans la sélection des candidats. Aux États-Unis, seul un jeune sur cinq est apte au service militaire. Mais en France ce n’est guère mieux.
Reconnaissons qu’un pays qui enseigne aux élèves que le mâle blanc est le pire salaud de tous les temps, coupable de crimes contre l’humanité avec l’esclavage et la colonisation, n’incite pas la jeunesse à s’engager pour défendre un tel pays au passé aussi honteux que criminel.
Et ce n’est pas avec le wokisme et les délires LGBT qu’on va insuffler le patriotisme chez nos ados. Et que dire du délabrement des armées qui ne suscite guère les vocations.
A l’opposé de ce tableau aussi sinistre qu’inquiétant, la jeunesse russe se précipite dans les bureaux de recrutement pour défendre sa patrie.
Depuis le 1er janvier 2024 ce sont 100 000 volontaires qui ont été formés. Et l’attentat de Crocus a amplifié le mouvement. Tandis que Kiev perd 1 500 soldats par jour, tués et blessés, la Russie, forte de ses 145 millions d’habitants peut lever plusieurs armées de 200 000 hommes.
Rappelons aussi que Poutine a reconstruit son armée depuis 2000 et que son industrie de l’armement produit trois fois plus de matériel que toutes les nations de l’Otan réunies.
Quand la France produit 20 000 obus par an, la Russie en fabrique 2 millions et bientôt 3 millions. Et le peu que nous fabriquons nous le cédons à Zelensky.
Notre armée squelettique a presque la moitié de ses matériels inaptes au combat. On désosse un hélicoptère en panne pour en faire voler un autre. Idem pour les chars faute de pièces détachées. Cette misère qui dure depuis 1990 ne pousse guère à s’engager dans la carrière militaire.
Par conséquent, brailler à qui mieux mieux que Kiev va gagner cette guerre, comme le fait la presse, relève au mieux de la bêtise la plus affligeante, au pire de la psychiatrie.
On dit souvent que cette guerre sera gagnée d’abord sur le plan économique. Ce n’est pas faux sur le long terme, mais au cours des deux années passées, c’est l’écrasante supériorité technologique de l’armée russe qui a permis d’écraser trois armées ukrainiennes.
Au plus fort de la guerre, Kiev tirait 5 000 obus par jour et Moscou 50 000 !
Sur le long terme, la Russie a de quoi tenir des années quand l’Europe ne cesse de s’effondrer, faute de matières premières. Livrée à une gestion calamiteuse, la France détient le bonnet d’âne de l’UE.
Au dernier classement économique du FMI, comparant les PIB en PPA, la Russie est 5e, tandis que la France chute au 11e rang. La croissance russe est quatre fois supérieure à la nôtre.
La France a 3 100 milliards de dettes, soit 110% du PIB, tandis que la Russie n’a que 15% d’endettement, en nette diminution. La charge de la dette française de 55 milliards et bientôt 85 milliards dus annuellement à nos créanciers, empêche tout redressement sérieux de notre armée “bonzaï”. Ce sera bientôt le premier budget de l’État. La faillite n’est pas loin.
La Russie n’a pas de chômage, alors qu’il repart à la hausse en France.
Avec 20% des richesses minières de la planète, Poutine est assis sur un trésor de 55 000 milliards de dollars. Tandis que Macron est assis sur 3 100 milliards de dettes.
La vérité que vous n’entendrez jamais sur les ondes, est que Poutine a tous les atouts en main et que tôt ou tard, les Occidentaux qui refusent la défaite et poussent à l’extermination de la jeunesse ukrainienne, seront contraints de capituler faute de moyens militaires et financiers pour soutenir Kiev.
Ce jour-là, les criminels qui ont voulu cette guerre et qui ont sacrifié le peuple ukrainien en sous-estimant la puissance russe, devront assumer les 400 000 morts ukrainiens, les centaines de milliers de blessés, de veuves et d’orphelins, tous sacrifiés en pure perte parce qu’une poignée de crétins va-t-en-guerre a refusé de négocier dès mars 2022.
Au tribunal de l’Histoire, ce n’est pas Poutine qui sera jugé coupable. Ce sont ceux qui ont refusé d’appliquer les accords de Minsk et qui ont martyrisé les populations russes du Donbass pendant huit ans, au prix de 15 000 victimes dont l’Occident ne parle jamais.
Poutine quant à lui, sera le vainqueur aux yeux du Sud global.
L’avenir appartient aux BRICS et à l’OCS, tandis que l’Occident, par sa stupidité sans borne, aura œuvré à son grand suicide collectif.
Mais n’attendez pas de nos élus qu’ils comprennent la situation. Tels des perroquets, ils braillent tous en chœur que Kiev va gagner.
La guerre est toujours la pire des solutions, mais quand elle est décidée par les États-Unis qui se gardent bien d’affronter directement l’Ours russe et qui sacrifient tout un peuple à leurs seuls intérêts, cela devient la pire des infamies. Un crime de masse qui restera dans les annales des pires fourberies de l’histoire.
Jacques Guillemain