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Sophia Aram dénonce la « koufarophobie » : bravo France Inter !

Capturé d'écran X
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C’est assez rare pour être souligné : Sophia Aram vient de signer une chronique impeccable sur le meurtre islamiste commis à Bordeaux, la semaine dernière, par un Afghan radicalisé. Dans son « coup de gueule du lundi », l’humoriste de France Inter s’en est vertement prise à cet homme « tout de qamis vêtu, fraichement débarqué d’Afghanistan » qui a agressé deux musulmans qu’il avait attrapés en train de boire de l’alcool avant la fin du ramadan. « Plus attaché à ses convictions religieuses qu’à l’altérité, l’homme commença par les rouer de coups, puis s’en alla chercher un couteau dans le but à moitié accompli de tuer les deux mécréants selon un protocole bien établi et en vogue parmi certains individus de confession musulmane qui n’admettent pas que l’on puisse avoir des convictions différentes des leurs. » Les termes sont clairement dits, sans euphémisme ni pudeur sémantique. Un bon point pour la chroniqueuse !

Une liberté de ton rare sur le service public

Sur le même ton narquois, elle a évoqué la neutralisation par la police de l’assaillant, expédié « précipitamment au paradis des martyrs enturbannés qui luttent contre les buveurs de rosé le jour de l’aïd ». Pour une fois que l’islam est un sujet de plaisanterie sur France Inter, on ne peut qu’applaudir.

La chronique a encore gagné en pertinence lorsqu’est venu le moment de moquer le traitement de l’affaire par la gauche médiatique. Manifestement très agacée, Sophia Aram n’a pas épargné Pablo Pillaud-Vivien, la caution jeune et woke de BFM TV, qu’elle qualifie d’« endive recuite du commentaire misérabiliste ». Il faut dire que le jeune homme avait eu une interprétation toute particulière du meurtre commis à Bordeaux, y voyant moins le fruit de l’islamisme que la conséquence d’une « crise de l’accueil » et d’un manque d’intégration dont la France porterait l’entière responsabilité. « Un décérébré ayant la souplesse d’esprit d’un nazi poignarde un homme au nom de ses convictions religieuses et c’est un drame de l’accueil, voire un manque d’hospitalité de la France !, a judicieusement raillé la chroniqueuse. Le plus navrant, c’est qu’au-delà de cette propension à tenir la France pour responsable de ce qu’un abruti vient commettre ici, c’est qu’il ne fait aucun cas des deux Algériens dont un a perdu la vie pour avoir picolé le soir de l’aïd. » Un aveuglement qu’elle reproche également à l’AFP, qui s’était également illustrée en présentant l’attaque comme un « différend sur la consommation d’alcool ».

Un bel effort à saluer

Ne boudons pas notre plaisir. Certes, Sophia Aram n’en est pas encore à lutter contre le racisme anti-Blanc, mais elle dénonce l’islamisme dont sont victimes les « koufars ». C’est déjà ça. « Il serait temps, que l’on soit croyant ou non, de s’insurger contre cette discrimination que personne ne veut nommer. Cette discrimination, c’est la koufarophobie. […] Laissez-nous vivre notre koufarisme en paix ! » On ne saurait mieux dire.

Jean Kast

https://www.bvoltaire.fr/sophia-aram-denonce-la-koufarophobie-bravo-france-inter/

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