Jul pour réceptionner la flamme olympique, avec son interpellation récente pour conduite sous l’emprise de stupéfiants, avec un passager armé. Un chanteur, Naestro, repris de justice pour la Marseillaise. Aya Nakamura pour la cérémonie d’ouverture, dont les paroles de chansons sont autant de blessures à la langue de Molière. Des français systématiquement issus de la « diversité », pour représenter la France à l’Eurovision, lesquels ne gagnent jamais, quand ils ne déclenchent pas de polémique glauque. Fred Chichin, le défunt guitariste des Rita-Mitsuko, parlant du rap, n’y allait pas de main morte : « Le rap fait énormément de mal à la scène musicale française, c’est une véritable catastrophe, un gouffre culturel. La pauvreté de l’idéologie que ça véhicule : la violence, le racisme anti-blancs, anti-occidental, anti-femmes… c’est affreux ». Au delà du constat, on se pose la question du choix délibéré de ce type « d’artistes » pour exprimer la voix de la France et représenter la nation ? Le tout sous la haute main du président, dont on se souvient qu’il avait fait venir à l’Elysée une « troupe » de musiciens danseurs qu’on aurait pu voir sous aucune autre présidence. Rappelons que, selon un sondage récent, près de la moitié de la population est indifférente à ces jeux et à leur décorum.
« Toutes les cultures ne se valent pas », expliquait Michel Onfray. Oui, on ne peut pas comparer les siècles de musique classique et quelques décennies de rap, ni la Joconde avec des graffitis urbains. Cette différence de valeur est même corroborée par l’action de groupuscules wokes, qui trouvent la musique classique trop blanche, trop complexe et n’hésitent même plus, au non de leur militantisme abscons, à interrompre des concerts par la force. On peut voir, depuis quelques mois, un processus à l’oeuvre s’affirmer, après que le président Macron ait dit que la culture française n’existait pas. Le choix systématique de l’autre culture, assorti d’une montée en puissance d’un ensemble de phénomènes concomitants : l’explosion de la délinquance urbaine de la part des récents immigrés venus de la zone arabo-africaine, le durcissement de la violence dans les cités à majorité arabo-africaine, à l’égard des forces de l’ordre en particulier et des symboles républicains en général, la présence de drapeaux palestiniens dans toutes les manifestations de gauche, quelle qu’en soit la thématique et le choix délibéré d’une force politique, LFI en l’occurrence, d’abandonner ses combats habituels pour ne plus se consacrer qu’au combat communautaire, quitte à verser dans un antisémitisme violent, auto-légitimé.
Gérard Collomb, ancien Ministre de l’intérieur, ancien maire de Lyon, parlait de deux cultures qui allaient se retrouver face à face, nous y sommes, ou presque, avec les citoyens français ordinaires, hétérosexuels, blancs, solvables, qui ont la nette impression d’être déconsidérés et ce n’est pas qu’une impression. Ils regardent éberlués les manifestations de la nouvelle culture, se demandant pourquoi un tel choix et pourquoi nous avons pu tomber aussi bas. C’en est terminé des fastes classiques, de la poésie, de la philosophie, de la littérature et on peut légitimement se demander ce que nous gagnons à être gavés de cette pseudo-culture hors-sol, venue de nulle part. Elle n’est même pas la culture des pays d’origine des enfants de l’immigration qui la portent, mais une espèce gloubiboulga infâme, violent, sexiste, arrogant et raciste, venu de cités désormais plus ou moins hors de contrôle.
On se demande aussi l’objectif du législateur, qui favorise cette percée pseudo-culturelle, ce qu’il vise ? L’intégration par l’expression ? Allons donc, a t-il fallu un tel reniement de notre propre culture pour accueillir les autres sources d’immigration ? Une « évolution » des mœurs et des coutumes ? Pour en faire quoi et avec quel intérêt ? Une fascination de la gauche pour la voyoucratie et l’islam radical ? Ca a toujours été le cas. La gauche française a cette pâmoison permanente pour les grands meurtriers de gauche : Polpot, Che-Gevarra, Staline, Mao, les Brigades Rouges et peut-être aussi, ce prophète de l’islam, décrit comme guerrier. Fascinés ces gauchistes, mais pas tant que cela, restant bien à l’abri dans les beaux quartiers et se gardant de les croiser de trop près, ou de mettre leurs propres enfants dans des collèges sensibles, avec les enfants de cette population idolâtrée. C’est quoi la raison, c’est quoi le message que l’on souhaite nous faire passer, à nous Français, avec cette propagande lourdingue, qui n’a pour effet que de raidir l’ensemble de la population et de faire grimper la cote des partis nationalistes, et ce dans toute l’Europe ? Le bon choix n’était-il pas d’initier les nouveaux arrivants à la grandeur de la culture française, plutôt que de renier 2000 ans d’histoire et d’inventions scientifiques et techniques, pour s’en remettre à des courbettes devant une autre « culture » arrivée récemment d’un continent qui n’a produit aucune invention digne d’intérêt durant ces mêmes 2000 ans ?
Chez nos dirigeants, le processus qui mène à ce choix est-il conscient, ou simplement dicté par une idéologie de la repentance, ou encore juste parce qu’il est perçu comme le « bien », pétris qu’ils sont de leur propre propagande, avec laquelle ils tentent peu à peu de remplacer une réalité qu’ils ne perçoivent même plus ? Ou une volonté farouche de destruction de la culture qui les a faits ? Quel intérêt ? Il n’est pas sûr que les choix effectués pour ces jeux vont ravir l’ensemble des nations qui s’apprêtent à envoyer leurs représentants en France. Va-t-on expliquer aux Japonais, aux Américains, qui se font régulièrement molester et détrousser à Paris, que s’agit là, seulement, d’un sentiment d’insécurité ? Pour la première fois cette année, la délinquance devenue galopante, apparaît comme un frein aux investissements étrangers en France. La réalité est que ces choix incompréhensibles, pour la représentation nationale, ne nous amènent pas vers une forme de culture enviable, comme a pu l’être le rayonnement culturel français au cours des siècles passés. Pas sûr qu’à l’étranger, on va nous envier Jul, Bilal Hassani et consorts, comme on nous a envié Piaf, Montand, ou Mireille Mathieu. Sans parler de Descartes, Pascal, Hugo, Curie et beaucoup d’autres…
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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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