Les mêmes qui veulent sacraliser le droit du sol en métropole prônent le droit du sang à Nouméa.
Il y a des jours où malgré le mauvais temps, nous avons à MPI le coeur en joie.
En effet, comment ne pas jubiler quand on voit – coup sur coup – nos ennemis obligés de constater et que l’immigration n’est pas “une chance pour la France” et que le “Grand remplacement” existe et qu’il faut s’y opposer !
Oui, chers lecteurs, vous avez bien lu : ils sont contre le “Grand remplacement”… qui aurait lieu en Nouvelle Calédonie !
Pris au piège de leurs propres contradictions, eux qui sont farouchement opposés aux positions “nationalistes” de la fachosphère identitaire, sont contraints de défendre le droit du peuple kanak à ne pas être minoritaire chez soi :
« Un peuple en ces lieux refuse de décliner, de dépérir, de s’éteindre. Ils sont ainsi les peuples : attachés à leurs racines, leurs cultures, leurs mythes ».
Jusqu’au pauvre député communiste André Chassaigne qui s’est adressé, quasi au bord des larmes, au gouvernement :
«Ne vous inscrivez pas dans un processus de colonisation qui consiste à mettre en minorité un peuple sur sa propre terre.»
Ils ne savent vraiment plus où ils habitent et alors qu’ils fustigent la préférence nationale, ils défendent la préférence kanake.
Un exemple savoureux de leur embarras et de leur idéologie imbécile, c’est cet échange entre Marion Maréchal et un militant de gauche coincé en direct sur France Info au sujet de la situation en Nouvelle-Calédonie :
Oui, chaque jour nous pouvons le constater, Jupiter rend bien fous ceux qu’ils veut détruire.
Rastignac