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Les ONG sont des passeurs de migrants

Cela fait des années que nous l’affirmons, et cela est confirmé par un ministre grec : « Nous disposons de témoignages et d’informations confirmés selon lesquels des ONG aident les demandeurs d’asile Somaliens à se rendre en Turquie et, de là, les aident à organiser leur traversée vers la Grèce, via des réseaux de trafics de migrants. Les migrants sont transportés vers les côtes turques, où les passeurs de migrants, toujours avec le soutien des ONG, les aident à entrer illégalement dans l’Union Européenne. Ces traversées devraient être empêchées par tous les moyens légaux. Nous ne voulons pas que notre pays devienne une passerelle vers l’Europe. »
Nous venons de visionner une vidéo, diffusée par la Guardia Civil et qui date de la semaine dernière : un navire à moteur déverse une cinquantaine de migrants dans une barque à la limite des eaux territoriales près des côtes du « Cap de Gata » (Espagne). Ces clandestins, venus de la côte oranienne (Algérie), atteignent le rivage et s’éparpillent dans tous les sens.
 
Depuis le début de l’année près de 15 000 migrants illégaux ont débarqué sur l’île d’El Hierro (Canaries espagnoles). Ils sont donc en Europe et peuvent circuler dans toutes les directions mais, plus précisément, vers la France. Ces îles Canaries sont envahies à un point tel que les touristes abandonnent cette destination pourtant si prisée.
 
C’est ce qui est constaté depuis plusieurs mois également sur les côtes espagnoles et cela jusqu’à Valence, la province d’Alicante et vers le sud, jusqu’à la frontière portugaise.
 
On ne peut pas être plus clair !
 
Cette collaboration intéressée, entre les passeurs et les ONG, est le même processus qui intervient en Méditerranée, de la Libye vers Lampedusa, en Italie et vers l’Espagne, directement des enclaves de Ceuta et Melilla, au Maroc.
 
D’autre part, ce ministre grec accusait la Turquie et les ONG « de contribuer à l’octroi de visas turcs à des migrants somaliens pour leur permettre de partir ensuite vers les îles grecques et l’Europe ».
 
Concernant les Somaliens, un bureau de liaison turc à Mogadiscio facilite la délivrance de ces visas pour permettre de voyager vers la Turquie, sur la base de certificats et de documents fournis par des institutions financées directement par Ankara en Somalie.
 
Parmi ces institutions figurent un hôpital et une université à Mogadiscio, avait précisé le ministre lors de sa conférence de presse.
Les autorités turques n’avaient pas réagi à ces accusations.
 
Des centaines de Somaliens arrivent en Turquie, selon le ministre grec des Migrations : « Quand les Somaliens arrivent par avion à Istanbul, ils sont transférés à bord de camionnettes dans des endroits particuliers de cette ville avant d’être conduits sur les côtes occidentales turques », a-t-il précisé.
 
Toujours selon Notis Mitarachi, « En Somalie, les autorités turques, dont le ministre de l’Education et d’autres ministères, encouragent l’immigration vers la Turquie. Il est évident que ces gens ne sont pas en risque en Turquie et ce pays pourrait leur octroyer l’asile. Il est inquiétant que la Turquie semble faciliter l’arrivée de ces migrants en leur octroyant des visas de voyage. »
 
Souvenons-nous que le 16 février 2019 c’étaient les passeurs, ces trafiquants d’êtres humains, qui dénonçaient l’ONG Open Arms de pratiquer ouvertement le trafic de migrants, photos à l’appui, prouvant que leurs navires attendaient les clandestins à la limite des eaux territoriales libyennes afin de les embarquer et de les conduire vers Lampedusa, en Italie. Et cette dénonciation avait provoqué la colère du fondateur d’Open Arms, l’espagnol Oscar Camps, qui ne pouvait plus exercer son fructueux commerce entre la Libye et les côtes italiennes et espagnoles. Il avait même osé comparer les tragédies quotidiennes en mer Méditerranée à l’holocauste, alors que son entreprise a été complice de la disparition de plusieurs milliers de migrants au cours de ces cinq dernières années.
 
En 2020, les ONG s’étaient élevées contre le Rwanda qui leur enlevait le pain de la bouche en accueillant 500 migrants détenus dans un camp en Libye, indiquant que le Rwanda violait constamment les droits de l’Homme, comme si le trafic d’êtres humains par ces mêmes ONG n’était pas une constante violation des droits de l’Homme, sous le silence complice des autorités européennes !
 
Qui finance ces ONG, en plus des subventions officielles offertes par les différents pays ? De très nombreuses organisations, entreprises et municipalités de nombreux pays et plus précisément en France, notamment la ville de Paris et, tout récemment, le Conseil départemental de Gironde qui prévoyait une subvention de 50.000 euros pour SOS Méditerranée.
 
Si le nom de Soros n’est pas réellement cité, puisque la transparence n’existe pas, tous les index se pointent également vers sa fondation.
Ces ONG prennent en charge les embarcations, légères et incapables de parcourir sans d’énormes risques de si longues distances, dès leur sortie des eaux territoriales et les déposent à proximité des ports de débarquement, où les migrants clandestins arrivent à bord de leurs « pateras », en excellente forme physique.
 
Au moins 7 pays européens sont contre l’immigration clandestine : Hongrie, Pologne, Autriche, Italie, Grèce, Chypre, Malte et quelques autres qui ne se prononcent pas ouvertement. Certains, comme le Danemark et la Suède, ont pris les mesures nécessaires pour y mettre un terme. L’Union européenne leur impose cette immigration illégale, tout comme elle l’impose également à la France (qui ne s’y oppose pas trop !).
 
Quand ces pays prendront-ils leurs responsabilités et s’élèveront-ils contre ces dirigeants européens qui n’ont été élus par personne et imposent leurs directives ?
 
Manuel Gomez

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