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France Inter et France 2, porteurs de valises des islamo-gauchistes

L’audiovisuel public est une officine de propagande. On y entre par cooptation. On y reste par compromissions. Ses soi-disant journalistes sont des histrions, qu’on confond avec les bouffons de service. Ils font le même travail. Le bourrage de crâne. Attaques ciblées, information orientée, débats truqués.

Entre cour des miracles et magasin de farces et attrapes, cette boutique grassement subventionnée à hauteur de 4 milliards d’euros par an conchie son cahier des charges qui lui impose une triple obligation de neutralité, de pluralisme et d’équilibre. Mais pourquoi se gêner ? Ils sont du « bon côté ». Donc au-dessus des lois. Assurés de l’impunité.

L’institut Thomas More vient d’épingler l’absence de pluralisme dans l’audiovisuel public. Loin de se justifier et d’essayer de modifier leur cap, les bateleurs répondent comme des roquets enragés, l’œil torve et la bave écumante aux babines: «Fachos ! Fachos ! Fachos ! »

Agressivité et intolérance, autant de réflexes pavloviens

Ils ont le droit de démolir leurs confrères des chaînes privées et de rabaisser ou ridiculiser des personnalités de droite, parfois présentes, plus souvent absentes. Et ils ne s’en privent pas. Mais quiconque critique leur partialité et leur sectarisme est forcément un facho.

Les institutions officieuses et officielles les soutiennent. Quand « Reporters sans frontières » s’en prend ouvertement aux vrais journalistes de CNews, le Conseil d’État fait droit à leur requête et l’ARCOM ouvre une enquête biaisée. Résultats connus d’avance.

Autant les sanctions pleuvent au moindre écart à la doxa sur les chaînes privées qui essaient d’être pluralistes, comme C8, autant les canailles d’ultra-gauche, engraissées aux frais des contribuables, sont intouchables.

Dans ce contexte totalitaire, où une camarilla de gauchistes contrôle l’information et punit les mauvaises pensées, le Figaro Magazine a publié le 24 mai un rapport documenté et édifiant, émanant de l’institut Thomas More. Celui-ci pose benoîtement une question rhétorique : « L’audiovisuel français est-il pluraliste ? »

Des faits, pas des impressions. Des statistiques, pas des opinions

Les résultats sont accablants mais sans surprise. France Culture est le média public qui accorde le moins de place aux opinions de droite. Seulement 1 % des invités s’en réclament. Sont-ils tous à ce point à gauche ? Ou craignent-ils de s’exprimer pour éviter des représailles ? Allant de l’exclusion des médias et de la fermeture des salles au contrôle fiscal, en passant par le vandalisme et les voies de fait.

France Inter ratisse beaucoup plus large. Et son parti pris est d’autant plus nuisible. Déjà, dans le choix orienté d’un vocabulaire de propagande. Le Rassemblement national et Reconquête sont qualifiés « d’extrême-droite », mais les Insoumis sont seulement « de gauche »… Le penchant en faveur des terroristes islamistes et l’antisémitisme ne figurent pas au rayon de l’extrémisme. À la différence de la défense de la France.

Sans complexe, ils assument leurs préférences. Ainsi Adèle Van Reeth, directrice de France Inter, revendiquait dans un entretien au Figaro du 28 mars dernier « l’honneur de diriger une radio progressiste ». Au nom de quoi ? Qui l’a mandatée pour cela ? De quel droit ?

Quant à Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, elle a avoué au Monde récompenser de primes ses chefs de service qui privilégient les sujets promouvant la « diversité et la visibilité des minorités. » Islamos. Wokes. LGBTQ. Qui lui a demandé cela ? À qui rend-elle des comptes ?

Selon l’étude de l’institut More, l’ensemble des chaînes reçoit plus d’invités de gauche que de droite, et pratique des orientations bienveillantes ou malveillances dans le choix et le traitement des sujets. Ainsi l’écologie punitive approuvée par moins de 5 % des Français occupe 20 % des programmes. Les Verts variante islamo-gauchiste y sont présentés comme des « scientifiques ». Au même titre que Greta.

Plus de 80 numéros de « Complément d’enquête» sur France 2 ont été visionnés. Entre approximations et omissions, l’émission affiche un soutien inconditionnel aux LGBTQetc et aux étrangers, et assène une critique sans nuances des entrepreneurs et artistes français.

France Inter a été mis en observation pendant six jours. N’est-ce pas ce que l’ARCOM préconise pour CNews ? Au nom de l’égalité républicaine, tout le monde doit y avoir droit. Sur 136 participants, 37 % peuvent être qualifiés de « neutres », et 32 % de « gauche ou extrême gauche ». Cela laisse 31 % à se partager entre macronistes, droite patriote RN et R! et droite courbe LR. Un déséquilibre accentué par les temps de parole.

Ainsi pour commenter les législatives de 2022, les gauches avec 33 % des voix monopolisent 50 % du temps d’antenne. Tandis que la droite nationale avec 24 % dans les urnes n’a droit qu’à 10 %.

Flicage et fichage des journalistes et des intervenants

Le Conseil d’État a demandé à l’ARCOM de classer les animateurs et les invités des radios et des télés selon leur profil politique. Pour ceux qui militent dans un parti, un syndicat, une association, ce n’est pas difficile… Mais il y a des gens plus tolérants que les crapules de l’audiovisuel qui prétendent imposer leurs certitudes. Ils devraient avoir le droit d’exprimer des opinions nuancées sur tous les sujets.

On peut aussi avoir plusieurs casquettes. Où est la légitimité supérieure d’un journaliste encarté sur un indépendant, un animateur, un chroniqueur, un invité politique, culturel, scientifique ou professionnel ? Qui attribue les étiquettes élogieuses ou infamantes ? Quelles différences entre neutralité et avis technique, entre gauchiste et progressiste, entre libéral et conservateur ? Il n’y a que pour leur extrême drouâte fantasmée qu’aucun doute ne les effleure. Tous dans le même sac, ceux qui défendent la France, son histoire et sa culture !

Favoritisme ou représailles selon qu’on pense bien ou mal

L’infect Guillaume Meurice a résumé la situation avec la morgue de celui qui se sait protégé en haut lieu : « On équilibre. On essaye de faire une vanne de gauche, une vanne d’extrême gauche et une vanne d’ultra-gauche ».

Un élan impressionnant du syndicat des profiteurs gauchistes a manifesté une solidarité sans faille à cet individu convoqué par la direction de France Inter pour avoir récidivé sur le nazisme et le sexe du Premier ministre israélien, malgré une mise en garde de l’ARCOM… Anticipant une éventuelle mise à pied, une partie des nantis de la station a refusé de continuer à travailler. Et ceux qui sont restés en poste étrillent l’encadrement à l’antenne. Comme si le micro leur appartenait.

À comparer avec l’indifférence ou la haine de ses collègues dont a pâti Jean-François Achili, journaliste viré de France Info. C’est un cas d’école de délit d’intention. On lui a reproché d’avoir conversé avec Jordan Bardella qui lui avait demandé de l’aider à écrire un livre. Achili n’avait pas donné suite. On l’a condamné pour ses « mauvaises fréquentations». Alors que le travail d’un journaliste politique (sauf de gauche) est de voir et d’écouter tout le monde. Sans prendre parti.

Cela rappelle les procès de Berlin, de Moscou ou de Pékin où l’on vous condamnait à mort parce que votre voisin de palier ou de travail, avec lequel il vous arrivait de discuter, était suspecté de menées contre l’État.

France Inter est devenu Radio Gazaoui

Chaque jour, des islamo-gauchistes délivrent une information partiale sur la situation à Gaza, présentée comme vérité officielle, alors qu’elle émane des cellules de propagande d’un groupe terroriste. Les sources ne sont pas mentionnées. Et encore moins vérifiées.

À la suite d’une saisine de Goldnadel et d’« Avocats sans frontières », l’ARCOM a enjoint aux stations de Radio France de diffuser, concernant le conflit israélo-palestinien, une information « plus honnête et plus rigoureuse ». Un coup d’épée dans l’eau qui n’a pas été suivi d’effets. Puisque, à la différence de CNews et C8 accablés d’amendes, aucune sanction n’accompagnait cette injonction de pure forme.

Être le canal de Radio Gazaoui en France est une vétille… Par contre est un crime le fait d’avoir permis à Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction du JDD, de dire à l’antenne qu’il voyait une corrélation entre la montée de l’antisémitisme et de l’insécurité, et la hausse de l’immigration islamique. Pour ces mauvaises pensées, l’ARCOM a condamné CNews à une amende de 50 000 euros. Interdit de commenter. On serait poursuivis.

Reste à savoir de quelle réforme va accoucher l’Assemblée anti-nationale qui devrait examiner à la mi-juin un projet de loi de réforme de l’audiovisuel public. On les jugera moins à la fusion des moyens et à la chasse au gaspi qu’à l’éviction des parasites militants. 

Christian Navis

https://fascismedefrance.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/france-inter-et-france-2-porteurs-de-valises-des-islamo-gauchistes.html

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