Au cas où vous vous inquiéteriez de la misère sexuelle chez les migrants et autres spécimens aux mœurs quelque peu différentes des nôtres s’agissant du statut des femmes, la sauvagerie sexuelle diversitaire se porte très bien, merci !
En effet, malgré la « difficulté extrême » de vivre dans un pays qui finance à peu près tous leurs besoins, les diversitaires parviennent bon an, mal an à entretenir une activité sexuelle convenable, au mépris de leurs victimes violées, mais, comme on dit, on ne peut pas satisfaire tout le monde !
On se souvient de Claire, 26 ans, violée le 11 novembre dernier dans le hall de son immeuble par un migrant centrafricain sous OQTF et qui venait d’entreprendre de la même manière une autre jeune femme de 19 ans. Affaire qui n’avait pas ému outre-mesure la secte néo-féministe, laquelle considère qu’on peut être violée par le regard s’il s’agit d’un Blanc qui mate un décolleté plongeant, mais qu’un diversitaire ne saurait être qualifié de violeur : il prélève seulement les intérêts de la colonisation, sans doute !
Avant Claire, il y en eut bien d’autres des femmes agressées sexuellement par la diversité, avec ou sans papiers, en France :
Et après Claire, le calvaire a continué pour d’autres femmes.
Ainsi, à Cannes, le 28 décembre, une quinquagénaire a été littéralement massacrée par un Tunisien en situation irrégulière qui voulait voir ses seins. Ayant eu le malheur de tenter d’échapper à son prédateur, elle a été rouée de coups, avec la nette intention de la tuer, elle qui n’obéissait pas aux injonctions d’un mâle musulman !
En Seine-et-Marne, plus précisément à Ozoir-la-Ferrière, une femme de 75 ans, et dont le mari est lourdement handicapé, a été agressée chez elle le 1er janvier avant l’aube par un individu de « type africain » qui voulait un rapport sexuel. Ayant refusé, la femme a donc été violée et, cerise sur le gâteau, son violeur lui a demandé de l’argent, sûrement pour se faire payer ses bons et loyaux services ! L’agresseur est toujours plus ou moins activement recherché – moins en tout cas qu’un éventuel poseur de tranches de jambon sur la grille d’une mosquée !
Pour la énième fois, je ne nie pas les crimes de viol perpétrés par des hommes blancs, notamment le fameux et tristement célèbre violeur de la Sambre, Dino Scala, qui sévit de 1988 à 2018 entre la France et la Belgique.
Toutefois, il y a quelque chose de très culturel dans les viols perpétrés par des diversitaires en provenance du continent africain, c’est un fait que seuls les malhonnêtes nient, dont les médias si prompts à traquer du Blanc coupable !
Là-bas, la femme y est souvent chosifiée, réduite à l’état de sous-être. Je ne sache pas, par exemple, que l’on excise des jeunes filles en Normandie ou dans le Poitou, selon une tradition de mutilation abominable. Je ne sache pas non plus que les femmes, en Occident, soient réduites à l’état de reproductrices écervelées dont on peut disposer à sa guise.
L’affaire récente du collège d’Issou (78) prouve à quel point la femme est non seulement inférieure à l’homme dans certaines cultures allogènes, mais encore que son corps est honteux et doit être dissimulé aux regards concupiscents des hommes. Une enseignante ayant ainsi montré à ses élèves une reproduction du tableau Diane et Actéon, de Giuseppe Cesari, l’a durement éprouvé.
À ce propos, le Coran est très clair : « Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures. » (sourate 24, verset 31).
En attendant, ce sont souvent les femmes françaises qui, sur notre sol, font les frais de cette culture de la domination masculine allogène, bien plus périlleuse pour elles que les remarques très lourdes, certes, de Gérard Depardieu. Et si (bis repetita) il y a des Blancs violeurs, ils n’agissent pas, eux, avec l’assentiment de leur communauté, tant pis pour les connards antiracistes qui croient le contraire !
Peuvent-ils, ces ignorants abrutis de propagande vivre-ensembliste et anticolonialiste, me citer beaucoup de femmes écrivains du continent africain – musulmanes ou pas, d’ailleurs – au XIXe siècle, à l’image des sœurs Brontë ou de George Sand ? Peuvent-ils me nommer des femmes peintres telles qu’Élisabeth Vigée Le Brun ou Berthe Morisot ? Peuvent-ils enfin me donner des figures féminines historiques comme Catherine II de Russie ou la reine Victoria ? Non, puisqu’il n’y en pas, pour la simple raison que la femme, en Afrique, n’est pas l’égale de l’homme. Pire, elle est sa chose. Raison pour laquelle, peut-être, des mères africaines, du Nord au Sud, conseillent à leurs filles de se marier avec… des Blancs !
La femme est libre en Occident, liberté durement acquise, d’accord, mais inéluctable dès les origines. L’antiquité gréco-romaine magnifiait les corps, y compris ceux des femmes, et nous en avons hérité. Sans parler des grandes figures féminines chrétienne, dont la Vierge et Marie-Madeleine, reproduites sur les vitraux, les façades de cathédrales, etc. Notre civilisation possédait ainsi en elle l’égalité des sexes, contrairement à l’Afrique. Donatello et Michel-Ange, qui ont sculpté – et peint pour le second – des corps féminins sont italiens pas subsahariens ou nord-africains, c’est ainsi. L’Occident a très tôt intégré la femme pensante dans son évolution : Marie de France fut une poétesse du XIIe siècle et Jeanne d’Arc a mené une armée d’hommes. Rien de comparable sur un continent où, je l’affirme, la sauvagerie sexuelle démontre que la femme y est plus esclave que libre. Et comme ce continent exporte ses mœurs chez nous, les femmes en sont les premières victimes…
Donc, pour protéger les femmes, il faut stopper l’immigration !
Bonne année à tous !
Charles Demassieux