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L’immigration clandestine, une mine d’or pour les avocats

Pourquoi semble-t-il impossible d’expulser tous les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) et cela malgré la volonté clairement affichée du nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau ?
Bien sûr certaines institutions européennes posent problème sur ce point, notamment la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme) mais également une juridiction française contraignante et, surtout, des associations pro-migrants (subventionnées par l’État) qui leur prêtent aide et assistance totalement gratuite « pour eux mais pas pour tout le monde ! ».

L’immigration clandestine et irrégulière est une véritable mine d’or pour quelques dizaines d’avocats, toujours les mêmes qui, pour certains, sans elle, n’arriveraient peut-être même pas à payer le loyer de leur cabinet :
– Recours contre un refus d’expulsion d’un OQTF  : 1 400 euros
– Suspension d’un titre de séjour : 900 euros – recours 1 500 euros
– Rejet d’une demande de naturalisation : 600 euros – recours 1 200 euros
(Pour le recours hiérarchique obligatoire) 
– Refus de visa : 600 euros
– Référé contre refus de visa : 1 500 euros
– Document de circulation pour un mineur étranger : 240 euros
Et j’en passe car ce serait trop long.
Mais qui règle ces frais d’honoraires qui se chiffrent en dizaines de milliers d’euros ? Pas les malheureux migrants, certes, mais des centaines d’associations, d’ONG et, probablement, des fonds venus de l’étranger.
Associations et ONG qui bénéficient de millions de subventions offertes par nos ministères, donc par nos impôts – et taxes nombreuses et diverses – donc par Nous.
J’aimerais bien que l’un de nos avocats se penche sur le sujet, le confirme et nous procure davantage de précisions ! Car les nouvelles décisions très volontaires de notre ministre de l’Intérieur ne changeront rien à cette manne qui nourrit une partie de cette profession depuis des décennies.
Et je doute fort que notre nouveau ministre de la Justice s’y intéresse.
Manuel Gomez

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