«Le réchauffement climatique est une invention défendue par les Nations Unies pour créer un nouvel ordre mondial autoritaire… » (Maurice Newman, homme politique australien).
L’élection de Donald Trump a provoqué un tsunami tant chez les observateurs politiques que dans la presse people. Depuis des mois, on nous annonçait la victoire très probable du vieux Joe Biden, puis la victoire assurée de Kamala Harris. Chez nous, la télé de service public, financée par nos impôts, avait déjà programmé une bonne dizaine de téléfilms sur la candidate démocrate qui avait tout pour elle. Basanée et d’une gauche radicale, elle entendait être la candidate des Noirs et des immigrés. La veille du résultat des élections, même les médias sérieux – il en reste quelques-uns dans notre pays ! – prédisaient une large victoire de Kamala Harris. Les sondages étaient-ils « bidonnés » ? Les sondeurs se sont-ils lamentablement trompés ? Je penche pour la première hypothèse.
L’arrivée prochaine de Trump à la Maison-Blanche rend folle la secte des « Khmers verts » car il est climato-sceptique et n’a pas l’intention d’abandonner totalement les énergies fossiles.
Chez nous, des voix s’élèvent pour demander que l’on rajoute aux… 26 ou 27 discriminations qui peuvent vous traîner devant la justice le délit de climato-scepticisme.
Notre « Ripoux-blique » a adopté sous la Révolution la devise maçonnique « Liberté Égalité Fraternité », mais de qui se moque-t-on ? Où est la liberté, à commencer par la liberté d’expression ? Où est l’égalité devant la pluralité d’opinions ? Où est la fraternité quand le simple fait de contester la doxa officielle peut conduire un citoyen lambda au ban de la société ou au banc des accusés ?
Pour la énième fois, j’ose écrire que l’on a le droit d’être climato-sceptique et de critiquer ce que j’appelle « l’escroquerie écologiste ». Ça fait des années qu’on nous culpabilise (et qu’on nous tape au porte-monnaie) en nous disant qu’il en va de la survie de la planète : nous, petits Blancs trop riches, embourgeoisés et trop bien nourris, serions seuls responsables du réchauffement climatique.
Accessoirement, on oublie que vers l’an 1000, la terre a connu une période caniculaire. Les savants de l’époque y voyaient une prémonition de la fin du monde. En ces temps anciens, on croyait aux forces divines et on ne mettait pas le changement climatique sur le compte des pets de bovins, des poêles à bois, des centrales au charbon ou du diesel, et pour cause !
Ras-le-bol, donc, de cette foutue « transition écologique » qui n’est qu’un prétexte pour nous saigner à blanc, nous piquer notre argent ! Cette écologie punitive, on en a marre !
Depuis un bon demi-siècle, on nous raconte n’importe quoi sur le devenir de notre planète :
En 1974, par exemple, lors du premier choc pétrolier, on nous prédisait comme une fatalité inéluctable : « Dans 20 ans (soit en 1994) il n’y aura plus de pétrole ». Nous sommes en 2024. Notre consommation de pétrole a été multipliée en gros par dix depuis cette époque et nos réserves de pétrole sont cinq fois plus importantes qu’en 1974. Du pétrole – énergie fossile donc qui se régénère – il y en a partout ; sous les grands lacs africains, en Mer du Nord, sous la calotte arctique et même sous la région parisienne. Ce n’est pas une raison pour abandonner le nucléaire (dont les écologistes ne veulent plus) et pour ne pas favoriser les énergies de substitution (solaires, éoliennes ou autres), mais à condition de ne pas trouver là une occasion de taper le contribuable où ça fait mal : au porte-monnaie. Car le réchauffement climatique est un vrai problème mais l’homme y est-il vraiment pour quelque chose ? Rien n’est moins sûr ! Certains chercheurs pensent même le contraire.
Les experts autoproclamés du GIEC ne nous parlent jamais des « paramètres de Milankovic », et quand un spécialiste de la climatologie vient à se montrer « climato-sceptique », on le vire comme un malpropre comme ce fut le cas pour Philippe Verdier (1), licencié du service public en 2015.
Précisons, avant d’aller plus loin, que je suis totalement hermétique aux sciences et que je ne connais RIEN à la climatologie. En fait, je suis comme Ségolène Royal, Nicolas Hulot, Barbara Pompili, François de Rugy, Cécile Duflot, ou Marine Tondelier qui n’en savent pas plus que moi sur le sujet.
Mais je ne m’érige pas en expert et en donneur de leçons. Je note que, dans le monde, il y a plusieurs centaines de VRAIS savants qui se déclarent ouvertement climato-sceptiques (2).
Citons, chez nous en France, les plus titrés et/ou les plus connus :
Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix. L’un des premiers à avoir soulevé la possibilité d’un réchauffement climatique : il pense que l’on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d’origine humaine dans le réchauffement actuel et que d’autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d’eau, formation des nuages, poussières et activité volcanique, etc.
Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie. Il nie, dans son livre « Climat, mensonges et propagande », la récente évolution climatique ainsi que l’hypothèse du rôle de premier plan joué par les gaz à effet de serre.
Vincent Courtillot, géophysicien, docteur en physique, professeur à l’université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans « Science et Nature ».
Diane Douglas, paléo-climatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2 dominent le climat.
Jacques Duran, physicien, directeur de recherche CNRS, ancien vice-président chargé de recherche de l’université Pierre et Marie Curie (1986-1992) et auteur du site « pensée-unique.fr ».
Serge Galam, docteur en physique : il estime que la cause du réchauffement est inconnue et que le seul lien entre CO2 et réchauffement climatique est une coïncidence temporelle : « L’homme a été déclaré coupable simplement parce que pour l’heure on n’a pas trouvé d’autre coupable… ».
Christian Gerondeau, polytechnicien, affirme qu’il n’existe aucun lien démontrable entre CO2 et température (« CO2 : un mythe planétaire », Toucan, 2009). Il dénonce les contradictions et les manipulations des données par des groupes de pression comme le GIEC (qui n’est pas un groupe d’experts), sur le réchauffement climatique, et sur… le gaspillage de l’argent public.
François Gervais, physicien, professeur émérite à l’université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS, estime que l’effet de serre du CO2 est à saturation, les activités humaines n’ont plus d’incidence sur le réchauffement. On a pris une conséquence pour une cause. Les fluctuations de température précèdent celles du CO2. Pour lui, le réchauffement climatique est naturel.
Philippe de Larminat, expert en modélisation des processus, met en œuvre dans son ouvrage « Changement climatique », des modèles historiques pour prévoir les changements climatiques depuis 1500 ans. Ses résultats montrent l’absurdité des conclusions du GIEC sur l’influence humaine sur le changement climatique, ainsi que l’impossibilité de modéliser physiquement quelque chose d’aussi complexe que le climat.
Jean-Louis Le Mouël, géophysicien, ancien directeur de l’Institut de Physique du Globe de Paris, médaille d’argent du CNRS, lauréat de la Flemming Medal, spécialiste du magnétisme terrestre. Il souligne que l’origine humaine du réchauffement climatique n’est qu’une hypothèse. Il estime que les rôles de l’activité solaire et du magnétisme terrestre sont sous-estimés.
François Meynard, ingénieur physicien, enseignant en sciences humaines et sociales, a publié un livre intitulé « La légende de l’effet de serre ». Il affirme que l’effet de serre est « une chimère informatique dénuée de fondement physique ».
Benoît Rittaud, maître de conférences à l’université Paris XIII, auteur de l’ouvrage « Le Mythe climatique », parle d’une « pseudo-science » qu’il appelle « climatomancie : un art divinatoire visant à déduire du comportement humain l’avenir climatique de la Terre, dans l’idée de prescrire à chacun des actions de pénitence ».
Je m’arrêterai là, pour ne pas lasser mes lecteurs, mais je rappelle qu’il existe, dans tous les pays, quelques dizaines de chercheurs, de savants, d’ingénieurs, bref, de gens parfaitement crédibles et qui ne croient pas à la responsabilité de l’homme dans le réchauffement actuel. Je terminerai en citant Marcel Leroux, (décédé en 2008). Professeur émérite de climatologie à l’université Jean-Moulin – Lyon-III, il était directeur du laboratoire de climatologie, risques et environnement. Il résumait, en 2003, son point de vue sur la théorie du réchauffement climatique : « Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique ».
Alors, me direz-vous, à qui profite le crime ? J’ai bien une petite idée : en 1975, Giscard d’Estaing créait le « G7 ». Dans le discours inaugural de cette institution, il déclarait que les citoyens des pays industrialisés supportaient de plus en plus mal l’hyper-fiscalité (déjà !). Aussi cet esprit tordu proposait de sensibiliser les peuples à l’écologie. Culpabilisés, ils accepteraient d’être taxés pour la survie de la planète. Depuis, on constate que l’écologie punitive fonctionne à plein tube !
Pendant des années, on nous a affirmé que le diesel polluait moins que l’essence, puis, alors que 70 à 80 % des Français roulaient au diesel, on nous a dit le contraire. Honte aux gens (dont je suis) qui roulent au diesel ! Nous serions responsables de… 40 000 morts pas an. D’où sortent ces chiffres ? Là encore, on nous prend pour des imbéciles. Deux études récentes, menées par des organismes indépendants, viennent de démontrer que le moteur diesel moderne, doté de filtres à particules, vannes, « AD-Blue », pollue… 30 fois moins que l’essence.
Notre vieille planète a connu des périodes glaciaires suivies de périodes chaudes. N’est-ce pas, tout simplement, une évolution normale de la terre ? L’homme a-t-il la moindre responsabilité dans ce processus? Je n’en sais rien, mais une chose est indéniable : nous, Français, représentons 1 % de la population du globe, et 0,8 % des émissions de gaz à effet de serre.
Ce n’est pas en nous saignant à coup d’impôts sur les ordures, de taxes de recyclage, de taxe carbone, de malus écologique, etc. qu’on réglera le problème. La seule « dépollution » qui soit dans nos cordes, c’est le nettoyage de cette classe politique aussi incapable qu’arrogante qui nous présure depuis un demi-siècle. Depuis 1974, la France n’a jamais connu un budget en équilibre. Nous laisserons à nos enfants une dette abyssale de 3 100 milliards d’euros ; un pays malade, livré à une immigration massive et incontrôlée ; des zones de non-droit où la police n’ose plus aller ; et les responsables de ce gâchis nous demandent de payer toujours plus d’impôts, de trier nos poubelles et d’abandonner nos vieilles voitures.
Alors oui, débarrassons-nous des ordures. Je sais même par lesquelles commencer !
Certains vont sans doute me trouver excessif. Que nenni ! Disons que je me lâche tant que le climato-scepticisme ne tombe pas encore sous le coup de la loi.
Éric de Verdelhan
1)- Auteur du livre « Climat Investigation ».
2)- J’éviterai à mes lecteurs cette kyrielle de noms. On trouve ça sur internet, en cherchant un peu.