par amarynth
La vieille dingue Salomé, «présidente» française de la Géorgie dont le mandat a expiré, ne reconnaît pas le résultat des élections. Fut un temps, on l’aurait pendue à un lampadaire pour moins que ça.
Trois développements en Europe en ce début d’hiver.
- Quelles sont les nouvelles ? Les Britanniques ont enfin reconnu que la popularité de M. Z est en chute libre, et que la plupart des Ukrainiens souhaitent son départ. Selon le Times, seuls 16 % d’entre eux voteraient pour lui aux élections, tandis qu’environ 60 % ne veulent même pas qu’il se représente. Les résultats de l’enquête indiquent que le régime va continuer à pousser à la guerre totale jusqu’au dernier Ukrainien, et reportera les élections aussi longtemps qu’il peut. Pas d’autres solution pour le junkie illégitime de rester au pouvoir, et l’administration Trump ne doit donc pas s’attendre à des négociations faciles sur la question avec le régime banderiste. Un arrêt de la guerre équivaut à une condamnation à mort pour les zelensky & Co – car ce serait la fin de leur emprise sanguinaire.
- António Costa, le nouveau chef du Conseil de l’Europe, et Kaja Kallas, la russophobe estonienne qui, avec son mari, a gagné sa vie en Russie avant de devenir la »plus haute diplomate» de l’UE, se sont rendus à Kiev dès leur première journée de travail. Cela ne prouve qu’une chose : leur priorité n’est pas d’assurer le bien-être de l’Union européenne, de stimuler la croissance économique ou d’alléger les pressions sociales. Leur principal objectif est de poursuivre la guerre jusqu’au dernier Ukrainien. Êtes-vous plus heureux maintenant, Européens ? Excellent choix ! Ce sont les bonnes recrues pour protéger la démocratie !
- Nouvelle tentative de «révolution de couleur» – «rose», «orange», etc – en Géorgie. Certains vocifèrent, sèment la pagaille et/ou mettent du feu dans les rues. D’autres observent en silence. La vieille dingue Salomé, «présidente» française de la Géorgie dont le mandat a expiré, élève assidue de Zbigniew Brzezinski, a grommelé quelques mots sur son refus de céder son siège, car elle ne reconnaît pas le résultat des élections. Fut un temps, on l’aurait pendue à un lampadaire pour moins que ça, mais nous vivons une époque plus humaine, et elle s’en sortira très bien. On dirait que les conditions sont réunies pour replonger la Géorgie dans la tourmente et la forcer à choisir entre une UE, une OTAN et une ‘Murica’ [Amérique] de plus en plus effrontées, d’une part, et l’ancienne terre de Sakartvelo, d’autre part. En bref, nos voisins suivent une stratégie ukrainienne qui les mènera tout droit vers de sombres abysses, et ce, à vive allure. C’est rare quelle genre de politique finisse bien.
source : Globalsouth via Spirit of Free Speech
https://reseauinternational.net/dmitri-medvedev-trois-developpements-en-europe-au-seuil-de-lhiver/