Les prédicateurs de la fin du monde sont incorrigibles. Aucune de leur prédictions ne s’est réalisée. Fort heureusement. Boston, Venise et les Tuamotu n’ont pas été engloutis. Les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu, pas plus que ceux de l’Antarctique. Il y a toujours de la neige l’hiver dans les zones tempérées, et la Sibérie n’a pas libéré des virus préhistoriques congelés.
Cinquante ans de mensonges démentis par les faits, cela commençait à se remarquer.
Ceux qui vivent plutôt bien de la peur qu’ils diffusent, entre conférences, livres, films, télés, labos subventionnés et chaires imméritées, ont compris qu’ils devaient changer leur fusil d’épaule.
Se reniant implicitement, ils attribuent désormais au soleil (enfin !) le phénomène cyclique du léger réchauffement (1,2° C depuis 1860, terminé en 2005) qui n’a rien d’anthropique ni d’exceptionnel. Mais comme les professeurs Philippulus ne peuvent s’empêcher de prédire des catastrophes, il annoncent pour bientôt une super éruption solaire. Réservez vos places pour assister au prochain cataclysme !
Certaines données scientifiques semblent plus inquiétantes que les élucubrations des écolo-réchauffards
Une équipe internationale d’astrophysiciens a estimé, à partir des données récupérées sur 2.527 étoiles semblables au Soleil, qu’une future grosse éruption de notre étoile a une probabilité raisonnable de survenir dans les prochaines années. Sans donner de date.
« Ces données nous rappellent brutalement que les événements solaires les plus extrêmes font partie du répertoire naturel de notre étoile », a rappelé Natalia Krivova, physicienne à l’institut Max-Planck de Göttingen et coordinatrice de l’étude.
Pour parvenir à ces conclusions, elle et son équipe ont comparé les données de 5650 étoiles collectées par le télescope spatial Kepler entre 2009 et 2013. « Nous avons été surpris de constater que les étoiles semblables au soleil sont sujettes à des super éruptions fréquentes », a déclaré Valeriy Vasilyev, co-auteur de l’étude.
Le Soleil est arrivé en 2024 à son pic décennal d’activité (un cycle complet dure en fait onze ans). Le nombre des taches solaires à sa surface est très important et les éruptions plus fréquentes. Symptôme de ce dynamisme retrouvé, au printemps et à l’automne dernier, des éjections de masse coronale particulièrement importantes ont donné lieu à des aurores boréales.
Les super éruptions solaires auraient lieu tous les cent cinquante ou deux cents ans, mais on n’est pas passé loin en octobre 2024. Observées par la NASA, ces éruptions solaires sont de puissantes explosions de radiations. Heureusement, notre champ magnétique les dévie en grande partie et notre atmosphère arrête le reste. Mais cette protection naturelle n’est pas infaillible, et les rayonnements et particules peuvent causer des dommages.
La dernière super-éruption s’est produite en 1859, une époque où les infrastructures électriques, les satellites et les systèmes de communication n’existaient pas. Connue comme « l’événement de Carrington», cette tempête solaire de 1859 avait provoqué des surtensions dans les lignes télégraphiques et provoqué des incendies.
De nos jours, les conséquences d’un tel phénomène pourraient être catastrophiques. Elle produiraient des pannes électriques massives, pouvant durer plusieurs semaines, perturberaient les communications, les signaux GPS, les transports, les réseaux informatiques, grosso modo toute l’infrastructure qui permet au monde moderne de fonctionner.
Et encore, ils n’envisagent pas les méga-éruptions
Celles-là se produisent tous les dix ou douze mille ans, liées aux cycles de Milankovitch (non Greta, ce n’est pas un Yougo qui vend des vélos). On assiste alors à des bouleversements majeurs, et des changements d’ères climatiques. Les glaciers polaires ainsi que les sédiments marins ont conservé des marqueurs isotopiques de ces méga-éruptions.
La dernière période glaciaire s’est achevée de manière très brutale il y a environ 14.000 ans. Puis, après un nouvel épisode de refroidissement intermédiaire, le réchauffement a repris il y a 11.700 ans. Favorisant les conditions de vie des humains, amorçant la révolution néolithique.
Le soleil source de vie et cause de mort
Le Soleil est une étoile très active. Selon les différents cycles solaires, des particules magnétiques parviennent en quantité variable sur la Terre. La densité de la matière au centre du Soleil est tellement massive qu’elle produit des réactions de fusion nucléaire. C’est-à-dire que l’hydrogène va se combiner pour former de l’hélium. Et selon la formule E = MC², la masse se transforme en énergie qui se traduit sous forme de lumière.
Le Soleil est une étoile qui tourne sur elle-même et cette auto rotation produit un champ magnétique selon un cycle alternatif de 22 ans. Tous les 11 ans, notre étoile inverse ses pôles magnétiques. Ce cycle s’accompagne d’un certain nombre de phénomènes comme des concentrations de champs magnétique qui apparaissent à la surface. Ce sont les taches noires.
Depuis 400 ans, on suit l’évolution de ces taches et on s’aperçoit qu’elles suivent les cycles de 11 ans. Il y a des périodes où il n’y a pratiquement aucune tache, comme entre 2018 et 2019. Puis à partir de 2019, ces taches réapparaissent à une fréquence accélérée… On observe alors une augmentation des taches jusqu’à un maximum d’apparition comme en 2024. Avec des éruptions localisées, relativement limitées, mais qui peuvent s’amplifier brutalement.
Si on extrapole, on peut prévoir pour 2025, de nouvelles taches, un risque accru de fortes éruptions, qui diminueront à nouveau dans les années 2030. La température sur notre planète est liée à des phénomènes cosmiques et il faut vraiment être un cancre comme un écolo, pour lier une légère augmentation de température aux gaz à effet de serre, CO2, O3 (ozone) et CH4 (méthane) en oubliant H2O.
La vapeur d’eau représente 2 % de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04 %) et possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1. C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90 % des infrarouges, le reste étant imputable aux autres gaz. Tandis que l’albédo des nuages renvoie dans l’espace l’excès de chaleur.
Les imposteurs du Gang International d’Escrolos Climatiques
À côté des simples d’esprit téléphages auxquels on fait gober n’importe quoi, il y a des gens qui sont allés à l’école auxquels ont doit tenir un discours plus structuré. Les « modèles » en sont le passe-partout. En théorie, ils s’articulent sur des systèmes d’équations différentielles qui cherchent à établir des corrélations entre des fonctions inconnues et leurs dérives aléatoires. C’est précis…
Certes on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on ne sait pas en mesurer les interactions et on en ignore l’impact éventuel sur le climat global. On a programmé des écarts thermiques probables en fonction des vents possibles, et du rayonnement solaire envisageable, avec l’hydrologie et l’humidité plausibles d’après la latitude et la saison. Comme si les phénomènes atmosphériques correspondaient toujours à des schémas théoriques à la validité aléatoire.
Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer des lois, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…
Les gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.
Sans contestation possible puisque le GIEC est devenu un club privé où l’on se coopte entre réchauffistes. Et que, dans certaines dictatures comme la France, les abrutis de la politique et les crétins des médias prétendent imposer une « vérité scientifique» qu’il est interdit de discuter.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
https://ripostelaique.com/on-a-trouve-le-coupable-du-rechauffement-climatique-cest-le-soleil.html