François Bayrou a ensuite abordé « la question du droit du sol », « une question qu’il faut se poser et que j’avais posée lors d’une campagne présidentielle antérieure ». Selon lui, à Mayotte, comme en Guyane, « il y a des difficultés très particulières et localisées ». Un sujet qui devrait être prochainement débattu. Car comme il le dit lui-même, « il ne faut jamais laisser les poussières sous le tapis car, autrement, les sujets s’infectent et ça devient gravissime et déstabilisant ». Avant la dissolution, Gérald Darmanin, alors ministre de l’Intérieur, avait lui aussi proposé de supprimer le droit du sol.
Le Premier ministre a par ailleurs précisé qu’à Mayotte, la moitié des OQTF étaient exécutées.