Pour la deuxième semaine consécutive, je suis allé au tractage de Reconquête contre l’occupation par des clandestins de la Gaîté Lyrique ce dimanche 9 février 2025. Les clandos cette fois étaient restés planqués. Ce sont les milices dites « antifas » qui les ont remplacés. Tous des crasseux. Petits Blancs haineux, mais également quelques Noirs et quelques profils asiatiques. Filles vulgaires aux cheveux bleus et gras et quelques petites bourgeoises venues s’encanailler.
Au total, 50 personnes répertoriées ultra-violentes et venues pour en découdre. Ils sont connus et archi-connus des services de police qui n’avaient pour consigne que de les empêcher de passer à l’action. Il y avait quatre cars de CRS.
Le seul ordre qu’ils avaient était de les empêcher de passer à l’action, de nous agresser et de préserver l’ordre public. On ne peut donc pas, en 2025, faire un tractage pour faire cesser une occupation illégale d’un lieu public par des clandestins qui sont eux-mêmes illégaux en France. Je n’en veux pas aux policiers : l’ordre vient d’en haut.
Ça signifie que la Mairie de Paris et Anne Hidalgo sont complices. Ça signifie que Laurent Nunez, l’homme des basses œuvres de Castaner puis de Darmanin et laissé en poste par Retailleau, est complice. Ça signifie que Bruno Retailleau est complice. Ça signifie qu’Emmanuel Macron est complice.
Ils laissent donc en liberté des crasseux agressifs et violents qui remettent en cause un droit fondamental de la République, celui de manifester, après avoir déclarer cette initiative, ce qui avait été fait.
Cela signifie que la police, qui ne peut que les connaître tous, sinon ce serait accablant pour eux, a comme consigne de les laisser faire. Et c’est une nouvelle preuve qu’ils sont protégés en haut lieu, parce qu’ils font le sale boulot que l’Etat leur sous-traite, empêcher la seule alternative aux mondialistes de pouvoir manifester paisiblement et informer la population. Si nous avions un Etat digne de ce nom, ils seraient mis hors d’état de nuire depuis longtemps, mais les Macronistes ont montré, lors des législatives, qu’ils ont fait un choix : plutôt les gauchistes crasseux et haineux que les patriotes. Ils s’y tiennent, et les nazillons antifas le savent, ils bénéficient d’une impunité totale. Cela a fait réagir Sarah Knafo, présente au rassemblement.
J’ai bien regardé ces petits miliciens et les quelques femmes qui les accompagnaient. Ils ne véhiculent que la saleté de leur âme et de leurs corps. Ils n’aiment que la laideur. Ils n’aiment que les cloaques car ce sont des cloportes. Ils ne se nourrissent que de la pourriture. On sent qu’ils ne sont bons à rien à part casser pour imposer leur idéologie. J’ai retrouvé la rouquine de la semaine dernière, celle qui voulait arracher les tracts des mains d’une dame âgée, et qui s’est prise une formidable claque dans la figure de la part d’un passant indigné. Elle a tout de la petite bourgeoise des beaux quartiers qui joue à se faire peur avec un prétendu péril antifasciste, et qui est juste bonne à se faire tirer par un barbu raciste et haineux qui la plantera un jour. Tous des islamo-fellateurs !
Incapables de produire. Ils sont incapables de créer de la valeur, ils sont incapables de vivre par leurs propres moyens. Et ils se prennent pour des héros…
Les clandestins illégaux ont leurs miliciens collabos, véritables fascistes, dignes des SA de Hitler, des miliciens de Staline, des hommes de main de Pol Pot, de la Securitate de Ceaucescu, des croix fléchées hongroises.
J’ai vu leur sale gueule. J’ai vu leur saleté. J’ai vu leur haine. Ce sont des nazillons. Leur slogan : « Pétain reviens, t’as oublié tes chiens ».
Ils ont passé leur temps à filmer, avec du matériel professionnel, et à prendre des photos des résistants pour en faire des cibles. Mais aussi peut-être comme leur copain Raphaël Arnault, de la Jeune Garde et à présent député LFI, pour les envoyer à la police.
C’est pourquoi, même si beaucoup d’entre eux sont masqués, vous en découvrirez quelques-uns sur ces photos.
Ce ne sont pas des simples citoyens : ce sont des collabos. Ce sont des traîtres. Ce sont des ordures, des petits nervis dont toutes les dictatures se servent pour briser les opposants. Ce sont des ennemis qui n’hésiteront pas à vous massacrer. Vous et vos enfants. Ne l’oubliez jamais, ce sont les dignes descendants des SA d’Hitler déguisés en gauchistes d’opérette.
Albert Nollet