L’arrivée de Trump aux affaires marque des changements que certains redoutent tandis que d’autres s’en félicitent. La fin du Wokisme en fait partie. Pour autant prétendre que Trump l’a éradiqué est une utopie. S’il a fortement reculé aux États Unis, il reste vivace en Europe et particulièrement en France où il trouve appui et promotion par l’intermédiaire des feuilletons télévisés, devenus des socles de propagande et bien entendu avec l’Education Nationale.
L’administration l’a érigé en mission nationale. Dès la rentrée prochaine, les collèges auront au programme l’identité de genre et l’intersexualité. L’idéologie se porte à merveille aux pays des lumières et c’est là le plus inquiétant. Le wokisme est une sorte de doctrine qui aurait valeur de progrès et contre laquelle s’opposer conduirait à l’excommunication de la bien-pensante classe dominante. Elle poursuit la logique de déstabilisation des consciences par la destruction des bases ancestrales de toute civilisation. Le but recherché est sans doute de semer le doute et désorganiser les sociétés occidentales pour peut-être leur faire accepter avec plus de facilité, entre autres, la submersion migratoire afro-musulmane dont on sait le rejet qu’ils ont eux de cette vision du monde, mais aussi des injections chimiques, un régime végétarien, la colocation, le covoiturage, la vie dans 11 mètres carrés par personne et le rationnement des déplacements. Et voilà le pervers, le dépravé, le borderline, le psychopathe, érigé en normalité, comme en d’autres temps, on apprend cela en sociologie, dans une société Stalinienne, Nazie, ou Khmers rouge, l’homme de bon sens est psychiatrisé et étiqueté déviant, car il n’épouse pas suffisamment le dogme mortifère imposé par son élite, le tout traduit en dizaines de millions de morts.
En attendant nous subissons de plein fouet les délires pervers de nos élites qui prennent un malin plaisir à immiscer le scepticisme dans l’esprit de nos jeunes. Le danger est bien la fragilisation de notre société, la perte de références, la perte du genre et la perte tout court. Si penser que la nature s’est chargée de donner un genre est soudainement considéré comme faux ou perturbant, on voit mal comment les mêmes individus vont pouvoir bâtir une nation solide. La fin des certitudes est la cause d’un effondrement prévisible et commencé de nos modèles, avec à la clé la contradiction de ceux qui prônent cette subversion, à savoir trouver des guerriers pour s’opposer à Trump et faire peur à Poutine. Nos petits êtres écorchés, à la sexualité incertaine, aux corps formatés par les canapés et aux états d’âme dépressifs, n’iront certes pas se frotter aux soldats russes. Entre la sensation d’être une licorne, de se voir traiter comme tel et la virilité nécessaire pour espérer combattre sur un champ de bataille, il y a un monde que la réalité ne peut effacer. Mais bien entendu le dire est un crime, car il faut au contraire laisser planer doute et hésitation dans l’esprit des adolescents. Les plus fragiles ne s’en remettront probablement pas, les autres seront considérés comme des fachos, enfants de fachos. Car refuser le Wokisme, s’y opposer, est forcément d’extrême droite. C’est la fine fleur du progrès et les promoteurs de cette déviance s’imaginent qu’il élèvera la civilisation occidentale vers des sommets d’épanouissement jamais atteints ! C’est bien l’inverse qui se produira. Il sonne une fin de règne et l’avènement de dirigeants faibles par qui arrive le chaos.
Fabriquer systématiquement des failles et des faiblesses chez les individus pour les faire douter de ce qu’ils sont ne conduira pas à la confection d’esprits sereins capables d’affronter les épreuves de la vie et les défis que le monde va nous présenter. Les problématiques d’insertion des jeunes générations dans la vie sociale sont d’ailleurs déjà criantes. Il est d’ailleurs symptomatique de constater le silence de notre classe politique, toujours à côté de la plaque. Personne ne s’érige en défenseur du bon sens et de la stabilité familiale. Les uns parce qu’ils sont persuadés du progrès civilisationnel que porte cette déconstruction et cette perversion des consciences. Les autres par clientélisme. Tous se taisent et participent au crime le plus odieux qui soit.
Refuser de considérer que la nature décide du genre et remplacer cette évidence par une recherche métaphysique, ressemblant à s’y méprendre à celle de l’art contemporain conceptuel, relève plus de la psychiatrie que d’autre chose. Certes il y a des cas où l’être défini par la nature ne correspond pas à l’esprit de l’individu, mais il a toujours existé sans problème et reste à la marge et vouloir dispenser le doute à l’ensemble de la population est une manipulation des plus pernicieuses qui soit. S’attaquer à cette déviance est interdit, comme tous les sujets portés d’ailleurs par les mêmes émissaires, COVID, Ukraine, climat… Ne pas comprendre la souffrance de ces pauvres gens qui ne savent pas ce qu’ils sont est forcément d’une inhumanité atroce, et prétendre que la famille est construite sur une base qui existe depuis que le monde est monde, affreusement réactionnaire, hideusement rétrograde. Tandis que semer le doute dans l’esprit des plus faibles, des plus perturbés, relève bien évidemment de l’altruiste qui doit conduire vers un épanouissement de la personnalité. Hélas ce sera tout le contraire, mais bien entendu il sera mal venu de l’affirmer. C’est un peu comme pour les économies budgétaires et la méthode Milei, c’est faux de le croire et quand la preuve par l’exemple arrive, c’est embarrassant d’avouer que ça marchait, qu’on le savait mais qu’il ne fallait pas le dire. Faire cesser la propagande Wokiste est un préalable si l’on veut restaurer âme et force à notre nation… On attend là aussi, d’autres voix pour se saisir de ce sujet…
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/02/27/de-la-toxicite-du-wokisme/