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L’anniversaire infâme d’une infamie…

Cinq ans se sont écoulés depuis le confinement lié au Covid, décrété par Macron, tout seul, poussé par on ne sait trop quelles injonctions, dont on est quasi sûr maintenant qu’elles étaient internationales, pour quoi faire ? On commence à en avoir un petite idée. Tel Mathieu Bock-Côté, qui regrette après coup de ne pas avoir vu arriver ce qu’il faut bien appeler une expérience d’ingénierie sociale, c’est à dire, un processus de formatage d’un groupe important d’humains, pour voir ce qu’il était possible de lui infliger sans que les intéressés ne se révoltent, selon des techniques connues d’inversion des valeurs et d’injonctions contradictoires, ou totalement idiotes. Inversion des valeurs, les vaccinés protégés ont peur des non-vaccinés non protégés.

Le café doit être pris assis, debout, le masque inutile puis indispensable, puis obligatoire, les rayons des magasins interdits, d’autres autorisés, des spectacles interdits, d’autres autorisés, une auto-autorisation idiote, la marginalisation de groupes entiers, les non-vaccinés à déporter, à arrêter de soigner, à désigner à la vindicte populaire, insultés, moqués, expulsés. Les annonceurs des passes sanitaire, puis vaccinal, traités de complotistes, qui finalement ont eu raison, puis traités à nouveau de complotistes, quand ils ne voulaient pas se soumettre. Des promeneurs solitaires, pourchassés pour un non port de masque, plus sûrement que des voyous et on en passe, tellement les infamies ont été nombreuses. Le tout distillé savamment, en mots pesés, préparés, selon un mode d’emprise sectaire, par un président halluciné, présent à la télévision, pour entretenir cette capacité du peuple à accepter la folie mise en place, de toute évidence, par des spécialistes en manipulation mentale.

Au RPF, à cette époque, nous avions vu venir, avions alerté, dénoncé, ce confinement non nécessaire, mortifère et les nombreuses incohérences dans les processus et les règlements pondus à intervalles réguliers, dont certains n’avaient ni queue ni tête. Nous nous sommes faits ostraciser et pourtant, cinq ans après, nous avions, avec quelques autres, raison sur quasiment tous les plans. Macron comme à son habitude, plastronne, alors qu’il devrait en être au mea-culpa. Pour lui, cette épreuve nous aurait soudés dans l’idée de nation. C’est bien le contraire qui s’est produit, un effet déstructurant total. Cinq ans après, les séquelles psychologiques individuelles et collectives sont bien présentes, les ravages économiques non réparés et les mensonges, toujours pas mis en évidence, les journalistes ayant tous plongé dans le narratif, ayant répété en boucle des inepties sans le moindre fondement scientifique. Revenir sur tout cela signifierait avouer qu’ils se sont trompés, pire, ils se sont faits balader… quasiment tous, subventionnés et soumis. Au final, le nombre de morts de la pandémie a été gonflé, on a masqué et confiné des gens qui ne risquaient rien, comme les gamins de six ans et privé de soins ceux qui avaient des traitements quotidiens et qui ont dû se faire vacciner pour continuer à être soignés, ou simplement travailler, ceci contre toutes les réglementations et droits en vigueur en termes de libertés individuelles. Le package avalisé par les députés et le Conseil Constitutionnel, tous menés par le bout du nez, bernés, voire corrompus.

Mais il y a pire et des journaux commencent à le dire : « De nouveaux cancers agressifs et fulgurants sont apparus depuis 2021 avec la particularité d’être détectés très tard au stade 4. Certains se demandent s’ils pourraient être liés aux injections Covid. Les témoignages des pathologistes et experts révèlent des liens troublants entre la protéine Spyke, les vaccins Covid et l’augmentation de ces cancers agressifs. Les effets secondaires du vaccin inquiètent, et l’accès à l’information est parfois restreint ». Pas besoin de lire les journaux, il suffit d’interroger les gens de son entourage sur les maux et bobos qu’ils n’avaient pas avant et qu’ils ont maintenant : les pathologies cardiaques, les cancers, les attaques aux fonctions motrices qui font penser à la maladie de Charcot, les attaques aux yeux, les zonas et on en passe… Les effets secondaires listés par les fabricants même de ces vaccins, font froid dans le dos. Et si les affaires liées à ces effets vont bon train aux Etats-Unis, ailleurs dans le monde, il n’en est trop rien et en France, c’est même la chape de plomb, malgré la mise en évidence du surcroît de pathologies dans des groupes identifiés et suivis, comme les pilotes d’avions professionnels.

Non, il n’y a pas de quoi se féliciter, en haut lieu d’avoir pris la décision de confiner. Il s’agissait bien d’une expérience psycho-sociale mondiale, appliquée aux seuls pays industrialisés occidentaux et dont historiquement, on savait parfaitement qu’elle n’était pas recommandée, puisqu’elle avait déjà été menée. Pas plus qu’on ne vaccine pendant une épidémie, n’importe quel étudiant en médecine de première année sait cela. La mort, par un cancer rare, de l’actrice Emilie Dequenne, à 43 ans, interroge plus que celle du quidam, au même âge et beaucoup se demandent ce qui peut bien se passer en ce moment, avec tous ces morts, jeunes, sportifs, sans oser le dire tout haut, c’est encore tabou. La vraie réalité est qu’il n’y a quasiment plus personne qui n’est pas confronté, pour lui ou les siens à des maladies, des affections, des souffrances, qui font douter de l’honnêteté de ce qui c’est passé à cette époque et quand tout le monde est touché, c’est que ça a été très grave et que l’on se demande, à quel moment, et s’il y aura bien un moment, où l’heure de rendre des comptes va sonner.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/03/17/lanniversaire-infame-dune-infamie/

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