Le racisme anti-Blancs commence timidement à être reconnu par les pouvoirs publics et les pouvoirs politiques.
Chez les gauchistes, c’est le branle-bas de combat pour combattre le retour de la bête immonde… et, selon eux, l’extrême droite est au pouvoir.
https://www.bvoltaire.fr/edito-pour-rousseau-et-coquerel-lextreme-droite-est-au-pouvoir/
Un de leurs arguments est qu’il n’y a quasiment pas de condamnation de racisme anti-Blancs.
Pas de condamnation, pas de délit, et donc, hop, ça n’existe pas…
Idem pour les membres de LFI…
Le tour est joué : fastoche.
IL N’Y A PAS DE CONDAMNATIONS POUR RACISME ANTI-BLANCS CAR LES ASSOCIATIONS ANTIRACISTES NE LE COMBATTENT JAMAIS.
Première remarque par analogie : une personne qui vole est un voleur, même si elle n’a pas été attrapée ni condamnée.
Mais il y a quand même une raison à cette curieuse absence de condamnation pour racisme anti-Blancs. C’est que la plupart des procès en racisme sont faits par des associations subventionnées, SOS RACISME, LICRA, LDH, MRAP, CRAN, MAISON DES POTES, qui ont toujours refusé de venir en appui des personnes victimes de racisme anti-Blancs.
Et voilà. Il ne suffisait pas à un Blanc d’être victime, il fallait en plus et surtout ne lui apporter aucun soutien, car comme l’aurait dit Christiane Taubira « il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes », de la même manière, il ne faut pas évoquer les racisme anti-Blancs pour que les racailles africano-arabo-musulmanes ne portent pas le poids, bien actuel de leur racisme anti-Blancs. Les pauvres chéris… CQFD.
Les associations dites antiracistes, mais en fait archi-racistes, ont longuement préparé leurs arguments de plaidoirie, pour éviter structurellement de lutter contre le racisme anti-Blancs.
Elles ont inventé, car la gauche est très forte pour inventer des concepts sociétaux nouveaux, une dimension systémique et institutionnelle qui reposerait sur des rapports de pouvoir historiques et sociaux.
En gros, les Blancs auraient colonisé les autres, et à présent en France, ce serait les racisés qui seraient en difficulté dans l’accès à l’emploi, au logement, contrôle au faciès, violence policières, etc.
Accès à l’emploi : tout le monde devrait avoir remarqué qu’il n’y a aucun Noir, aucun Arabe qui travaille… pas moi. Je ne me sens pas en droit de les insulter pour dire qu’ils sont tous des fainéants et des bons à rien, ce qui serait la conclusion évidente des associations archi-racistes dites antiracistes.
Il me semble pourtant qu’il y a aujourd’hui les classes « Talents du service public » mises en place pour aider les étudiants issus de milieux défavorisés, comprenez les non-Blancs, à préparer les concours (sans place réservée) et qu’il y a également une politique de diversité et d’inclusion pour encourager un recrutement plus représentatif des minorités dans la société.
Accès au logement : tout le monde devrait avoir remarqué que tous les Arabes et les Noirs sont à la rue…pas moi. On pourrait même s’étonner qu’ils soient autant à bénéficier de logements sociaux, et à passer, apparemment, en priorité devant les Blancs… On nous dit toujours qu’ils sont plus pauvres et correspondent mieux aux critères (familles nombreuses, chômage, etc.), mais finalement, le résultat n’est-il pas équivalent ? Surtout que je n’ai pas l’impression que les Blancs, également pauvres, aient tant de facilité à trouver un logement…
Contrôle au faciès et violences policières : on devrait avoir remarqué que la police ne fait jamais d’enquête sur les Blancs, et ne serait prête à aucune violence contre les Blancs… pas moi. Je fais confiance à la police, pour faire son travail et contrôler toute personne patibulaire qui pourrait, par exemple, faire le chouf à un point de deal…
On peut donc insulter un Blanc, le tabasser, se moquer de lui, lui cracher dessus et le poignarder allègrement, ce ne sera jamais par racisme…
La seule violence systémique, c’est celle faite aux Blancs qui résulte de la négation du racisme qu’ils subissent.
Albert Nollet