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Le Rom Olivier Hadzovic a donc tué le musulman Aboubakar Cissé : que foutaient-ils en France ?

Décidément, nos procureurs de la République et nos journalistes ne sont pas bien curieux, après des assassinats qui pourtant bouleversent le pays. Ainsi, lors de sa conférence de presse, à Nantes, si Antoine Leroy nous a révélé que l’assassin, dont il n’a jamais prononcé le nom, Justin Adar Polat, avait donné 57 coups de couteau à Lorène, avant d’agresser trois autre élèves, il n’a rien dit sur l’origine de ses parents, dont on sait seulement qu’ils étaient séparés. Pourtant, Jean Messiha avait tout de suite remarqué que le deuxième prénom était turc ou kurde. Il n’a rien dit sur la religion supposée de l’assassin, ni sur celle de ses parents. Cela a peut-être un rapport avec le passage à l’acte, et surtout le mode opératoire. Enfin, on n’a rien su non plus sur les circonstances qui ont permis à ce couple de s’installer en France, ni sur leurs moyens de subsistance.

 

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L’autre fait divers qui a secoué la France depuis vendredi concerne donc le meurtre, qualifié hâtivement d’islamophobe par toute la caste médiatique et politique, d’un musulman malien, Aboubakar Cissé, âgé d’une vingtaine d’années, qui priait dans la mosquée de La Grand-Combe. 57 coups de couteau, comme à Nantes… Là encore, énorme discrétion des autorités. Dans quelles circonstances ce Malien est-il arrivé en France ? Y était-il en situation régulière ? Y est-il né ? Était-il issu, comme les Traoré et de nombreuses autres Maliens, d’une famille polygame ? À part aller à la mosquée, que faisait-il dans la vie ? Travaillait-il ? Étudiait-il ? Vivait-il du RSA ? Avait-il la double nationalité française et malienne ? Les Français n’en sauront rien, mais ils n’oublieront pas que pas un seul Malien n’est rentré dans son pays pour lutter contre les islamistes, quand 58 de nos soldats sont morts au Mali, pour finir par se faire éjecter comme des malpropres grâce aux exploits de Macron !

De même, il faudra que les réseaux sociaux approfondissent le dossier pour qu’on sache enfin que l’assassin, Olivier Hadzovic, était un Rom né en France d’une famille bosniaque de onze enfants, et que, bien qu’en âge de travailler, il vivait du RSA. Il était recherché par toutes les polices de France et il a pu passer la frontière italienne sans le moindre souci. Manifestement, il a eu des soutiens familiaux, assez classiques chez les Roms, et espérait échapper à la justice grâce à sa tante vivant en Italie. Mais celle-ci a refusé de se rendre complice d’un crime et l’a convaincu de se rendre. Sinon, les policiers français ne l’auraient sans doute jamais retrouvé, quoi qu’en dise le procureur d’Alès, Abdelkrim Grini.

Là encore, personne n’approfondira la question. Certes, il y a eu une guerre féroce en Yougoslavie pendant une dizaine d’années mais, en l’an 2000, cette guerre était terminée. Pourquoi avoir gardé en France des réfugiés bosniaques, et ne pas les avoir renvoyés dans leur pays, à présent indépendant ? Pourquoi la France doit-elle subvenir aux besoins d’une famille qui ne paraît pas apporter grand-chose à la collectivité ?

Reste à analyser de manière sereine la réaction de la classe politique dans son ensemble. Presque tous, derrière Jean-Luc Mélenchon, ont repris le terme « islamophobie » et ont condamné la prétendue islamophobie qui mettrait en danger les musulmans en France, la gauche, certes, mais aussi des personnalités comme Bayrou et Wauquiez.

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Presque tous ont abondé dans cette fable d’une communauté musulmane – pourtant trop souvent responsable des meurtres contre nos compatriotes – en danger, le pompon étant attribué aux larmes de Mélenchon, devant une jeune musulmane pleurant parce qu’elle serait en danger.

Face à ce désastre idéologique de la plupart de la classe politique française, de trop rares exceptions ont sauvé l’honneur de la France, et parmi celles-ci, Éric Zemmour, qui, sous les insultes des Insoumis, a posté ce tweet remettant les pendules à l’heure…

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