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Mathieu Hérondart : voici l’homme qui a décidé que la France devait accueillir 2 millions de Gazaouis

La Cour nationale du droit d’asile vient donc de décider, unilatéralement, que tous les islamistes palestiniens de Gaza qui le voudraient, soit 2 millions de Gazaouis, pourraient venir en France, au nom du droit d’asile.

https://www.fdesouche.com/2025/07/11/tous-les-gazaouis-qui-le-demandent-auront-automatiquement-le-statut-de-refugie-en-france-selon-une-decision-rendue-aujourdhui-par-la-cnda/

C’est quoi ce truc-là, le CNDA ? On a beau aller sur leur site, qui nous débite la propagande immigrationniste habituelle, on ne voit aucun responsable.

https://www.cnda.fr/

On apprend, en faisant une recherche, qu’un nommé Mathieu Hérondart a été nommé président de ce machin en 2021. C’est qui ce mec qui n’a pas l’air très franc du collier ? Un énarque. Il vient du Conseil d’État, une instance totalement noyautée par les gauchistes, qui passe son temps, comme le Conseil constitutionnel, à détruire les rares décisions courageuses des quelques ministres qui essaient de remettre un peu d’ordre dans la pagaille migratoire actuelle.

Il a fait aussi un tour, de temps en temps, au ministère de la Justice, autre structure qui passe son temps à libérer des psychopathes, souvent immigrés, à leur trouver des excuses, mais à se montrer impitoyable avec les Français qui refusent de se laisser égorger. Il a même réussi à être directeur de cabinet de la Belloubette, une des pires ministres de la Justice de la Ve République, avant l’arrivée du Yéti Dupond-Moretti, décoré de la Légion d’honneur ce jour !

Vous avez envie de l’écouter ? Le voilà qui justifie, au nom du droit d’asile, l’explosion de l’invasion migratoire que subit la France depuis des années, dévoyant totalement le droit d’asile.

Ce personnage, caricature des hauts fonctionnaires de l’État profond, n’a aucune légitimité démocratique. On ne sait rien de lui. Combien gagne-t-il ? Où habite-t-il, a-t-il des enfants, où étudient-ils ? Qui fréquente-t-il ? Subit-il les conséquences dans son quotidien des décisions qu’il prend ? Les Français, qui le financent, et sans doute fort bien, ne sauront rien sur cet homme, qui n’aura aucun compte à leur rendre.

Pourtant, c’est lui, et ses complices inconnus, qui, sans le moindre mandat du peuple français, viennent de décider que 2 millions de Gazaouis, islamistes pour la plupart, puisqu’ils ont élu très largement le Hamas, pourront venir renforcer la 5e colonne musulmane en France. On pourrait ironiser en disant que pour un génocide fomenté par Netanyahou et dénoncé par toute la gauche et Macron, cela fait vraiment beaucoup de survivants.

Un gouvernement digne de ce nom taperait du poing sur la table, annoncerait la dissolution de cette structure inutile et nuisible, arrêterait ses dirigeants pour haute trahison et les collerait en taule avec tous les demandeurs d’asile qu’ils ont laissé entrer en France et qui ont remercié les Français en les agressant.

Nous ne pouvons que partager intégralement les propos d’Éric Zemmour, dans cet entretien accordé au Figaro. Il faudra, comme Trump est en train de le faire aux États-Unis, faire sauter l’État profond pour rendre le pays aux Français et permettre une transition démocratique.

En attendant, Hérondart et ses complices, dont on veut l’identité, doivent rendre des comptes aux Français.

ENTRETIEN D’ÉRIC ZEMMOUR AU FIGARO

Éric Zemmour : « En accordant le statut de réfugié à tous les Gazaouis, la Cour nationale du droit d’asile ignore la souveraineté populaire »

https://www.lefigaro.fr/vox/monde/eric-zemmour-en-accordant-le-statut-de-refugie-a-tous-les-gazaouis-la-cour-nationale-du-droit-d-asile-ignore-la-souverainete-populaire-20250713

Éric Zemmour : « En accordant le statut de réfugié à tous les Gazaouis, la Cour nationale du droit d’asile ignore la souveraineté populaire »

L’été est propice aux mauvais coups. Les médias ont débranché leurs journalistes et leurs chroniqueurs les plus acérés. Les Français ont déjà la tête dans le sable fin. Ils regardent ailleurs. C’est pourquoi sans doute la Cour nationale du droit d’asile a pris l’habitude d’attendre l’été pour fomenter ses mauvais coups. L’an dernier, elle avait accordé le droit d’asile à toutes les femmes afghanes qu’elle considérait persécutées uniquement parce qu’elles étaient femmes et afghanes. Une paille : 20 millions de personnes ! Qui, lorsqu’elles seront en France pourront faire venir leurs enfants, leurs maris, leur grand-mère. Bref, un petit Kaboul en France si charmant, si exotique, aux traditions si douces et tendres auxquelles on les a habituées depuis leur prime enfance, l’équivalent de nos Aristochats et de nos Astérix : femmes adultères lapidées, apostats fouettés, et homosexuels jetés du dixième étage.

Cette année, la CNDA nous rejoue le même coup, en accordant le droit d’asile à tous les Palestiniens de Gaza. Vous avez bien lu : TOUS les Palestiniens de Gaza. Encore des millions de musulmans dont aucun pays musulman ne veut. On se demande bien pourquoi. Peut-être faut-il demander à la Jordanie, au Liban, ou encore à l’Égypte pourquoi ils ne veulent plus accueillir un seul de ces fidèles électeurs du Hamas. Je propose pour l’année prochaine que la Cour nous envoie les 500 000 Pakistanais qui ont été expulsés en quelques semaines d’Iran, ou encore les innombrables Africains subsahariens, jetés dans le désert sans la moindre bouteille d’eau par les gouvernements algériens et tunisiens, grands défenseurs des droits de l’homme, mais des leurs et chez nous seulement. Ils viendront rejoindre les innombrables Tchétchènes, Soudanais, Afghans, Syriens, Bengalis, Nigérians, Guinéens, cette bienfaisante Oumma édifiée au fil des années dans le sein de celle qui fut jadis « la fille aînée de l’Église. ».

Ah ! Tous ces pays adulés par nos associations antiracistes et les députés LFI n’ont pas la chance insigne de posséder ces cours juridictionnelles dont les magistrats ne sont élus par personne et n’ont de comptes à rendre à personne (sauf devant le Conseil d’État, mais la CNDA est aussi dirigée par un conseiller d’État !) Ils prennent à la légère des décisions qui engagent la sécurité et parfois la vie de nos femmes et de nos filles, l’état déjà calamiteux de nos finances publiques, et le niveau déjà catastrophique de notre école. Non, je le répète, ces magistrats du Conseil d’État et de la Cour des comptes, assistés d’un représentant du haut comité des réfugiés de l’ONU (et quelques comparses) ne rendent compte ni au parlement ni au gouvernement, ni au président de la République, ni bien sûr au peuple français. À quoi servent les élections ? À quoi servent les députés, Emmanuel Macron, François Bayrou, Bruno Retailleau ? À rien. Ils regardent passer les trains et les réfugiés du droit d’asile : 150 000 par an, qui s’ajoutent aux 330 000 titres de séjour légal que nos autorités délivrent sans ciller au nom du droit au regroupement familial (ce qui dans certains cas, consiste à ramener en France une vague cousine qu’a réservée un tonton complaisant dans la grande tradition des mariages arrangés qui plaisent tant à nos chères féministes) d’étudier (enfin, d’avoir sa carte d’étudiant pour trois fois rien comme si ses parents avaient payé des impôts en France), de se faire soigner (gratuitement, bien sûr et en priorité alors que les Français attendent des mois).

Nos dirigeants, de droite comme de gauche, quels que soient leurs propos tonitruants, ne servent à rien car ils n’osent toucher à ces juges irresponsables dans tous les sens du terme. Ils n’osent surtout pas toucher à la convention de Genève sur le droit d’asile qui date de 1951, rédigée et ratifiée dans une toute autre époque où il fallait protéger et accueillir quelques centaines (et non centaines de milliers) de dissidents communistes, venus de nos voisins européens, russes, tchèques, polonais, Soljenitsyne, Kundera, et leurs amis. Je rappelle aux oublieux que cette CNDA avait autorisé en 2011 le père de l’assassin tchétchène de Samuel Paty à rester en France, alors que l’OFPRA avait trouvé ses accointances avec les djihadistes compromettantes. Cela ne leur a guère servi de leçon. Mais soyons justes : même si la CNDA avait rejeté son pourvoi en appel, ce Tchétchène serait quand même resté chez nous, parce que dans notre beau pays de France, que l’on nous accorde le droit d’asile ou qu’on nous le refuse, tout le monde reste. Et personne n’est expulsé.

Nous devons suspendre l’application de cette convention surannée et supprimer ces instances juridictionnelles qui mettent en danger la vie de nos concitoyens et la pérennité de notre peuple. Je sais que l’on va me parler de nos traditions d’asile, de l’Église du Moyen Âge et des philosophes des Lumières. Je sais qu’on va m’invoquer l’État de droit et la déclaration des droits de l’homme que la France a donné au monde. Lamartine disait : « Chaque fois qu’une théorie est contraire au salut de la société c’est que cette théorie est fausse car la société est la vérité suprême ».

Le salut de la France est en jeu. La France n’est pas obligée de se sacrifier sur l’autel des droits de l’homme. Elle n’a pas envie d’être envahie, créolisée, remplacée. La France n’a pas vocation à être le Christ de l’humanité. Elle veut vivre en tant que France, et en tant que peuple français, avec son génie et ses coutumes millénaires. Son charme, son savoir vivre, ses mœurs raffinées, l‘élégance de ses paysages et de ses monuments. Et je me battrai jusqu’au bout de mes forces contre les malfaisants, politiques, magistrats et autres qui détruisent et ont déjà largement détruit ce trésor que nos ancêtres nous ont légué.

https://ripostelaique.com/mathieu-herondart-voila-lhomme-qui-a-decide-que-la-france-devait-accueillir-2-millions-de-gazaouis.html

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