En quelques jours, il vient de se passer deux événements qui inquiètent les gauchistes et leurs commanditaires mondialistes. En Italie, un père de famille, éboueur âgé de 62 ans, dont le fils a été assassiné il y a cinq ans par cinq voyous, apparemment des autochtones, n’a pas supporté que l’un des tueurs de son fils se retrouve remis en liberté à peine 5 ans après la mort de son enfant. Mais lui a décidé de passer à l’action. Il a retrouvé la pourriture qui lui a volé son fils, et l’a abattu froidement dans un parc public. Le pays est divisé en deux, entre ceux qui approuvent la vengeance du père et ceux qui sont horrifiés par ce qu’ils considèrent comme un retour au Far West.
En Espagne, un retraité de 68 ans a été frappé et gravement blessé par trois racailles de type africain. Mais les Espagnols ont décidé de ne pas en rester là et de montrer aux musulmans qu’on n’agresse pas impunément les anciens du pays. Ils ont organisé des représailles, ce que les gauchistes appelleront des ratonnades. Il est fort possible que certaines victimes n’y soient pour rien, mais dans ces situations, c’est comme à la guerre, on n’a pas le temps de faire dans le détail.
En Italie, Giorgia Meloni est certes au pouvoir, mais les juges de gauche font toujours la loi, faute d’avoir mis au pas l’État profond, dont la justice est le bras armé. En Espagne, c’est le socialaud Sanchez qui est au pouvoir, et nul doute que, comme Starmer en Grande-Bretagne, suite à l’assassinat de trois fillettes par un musulman, il va réprimer durement les habitants des classes populaires qui ont voulu venger leurs victimes et montrer à l’envahisseur qu’il ne fera pas la loi sur une terre qui n’est pas la sienne.
Et en France ? La priorité de l’appareil d’État n’est pas de protéger son peuple, elle est d’empêcher les Français de se faire respecter et de venger ses morts. Comment comprendre autrement le criminel désarmement des nôtres, opéré par Darmanin quand il était ministre de l’Intérieur, les peines de prison scandaleuses subies par des résistants patriotes qui, comme à Bordeaux, ne laissent pas la racaille faire la loi, et les mobilisations des gauchistes contre les jeunes Français qui veulent descendre dans la rue quand Lola, Thomas, Philippine, Élias et tant d’autres sont tués par des assassins qui n’avaient rien à faire en France ?
Comment ne pas rêver, quand on voit ce que subissent les peuples européens, à des solutions radicales, de type « Escadrons de la Mort », ou bien à la détermination d’un Nabib Bukele, président du Salvador, qui a réglé le problème des gangs en quelques mois, montrant que quand il y a la volonté, il y a un chemin.
Le peuple de France rêve de ces solutions radicales pour en finir avec la racaille qui pourrit la vie quotidienne des nôtres, quand elle ne tue pas ses enfants. Il ne reste qu’à trouver un chef d’orchestre capable de s’affranchir de toutes les règles paralysantes qui permettent aux voyous bénéficier d’une impunité insupportable.