Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Arrêtez de prendre la province pour une poubelle à migrants !

On savait que certains parisiens – qui ne connaissent de la capitale que les bonnes adresses où se goinfrer et les boutiques où dépenser leurs millions, et un peu moins son Histoire et ses Arts véritables – étaient chatouilleux à l’endroit des magasins d’alimentation un peu trop « peuple » en bas de chez eux. Ainsi, un Carrefour City dans Boboland a récemment donné des sueurs froides aux habitants d’un quartier chic qui craignaient pour leur tranquillité et leur sécurité : « C’est très protégé ici, et c’est normal. La police vient dès qu’on l’appelle. Quand on est à plus de 20 000 € le mètre carré, on n’a pas envie d’avoir de la racaille en bas de chez soi ! » expliquait un habitant effrayé par le Carrefour City en question. Autrement dit, la racaille c’est bon pour les prolos de Français !

https://www.ouest-france.fr/societe/urbanisme/petition-contre-limplantation-dun-carrefour-city-a-paris-on-vous-resume-la-polemique-505b0c98-660c-11f0-a6af-fdbae6127de0

Ces mêmes spécimens bobos incitent par ailleurs toutes les communes de France à accueillir des… migrants. Lesquels migrants seraient, affirment-ils, bien plus heureux à hanter les campagnes et la province en général plutôt qu’à souiller la beauté délicate du 6arrondissement de Paris où la bourgeoisie s’est confortablement installée dans les meubles de l’aristocratie qui occupait jadis ce quartier. Toutes choses fort bien racontées dans La Comédie humaine de Balzac.

Ainsi, après avoir occupé pendant une semaine le parvis de l’Hôtel-de-Ville de Paris – ancienne place de Grève où devait périr sur le gibet la belle Esméralda de Victor Hugo –, une troupe d’environ 350 migrants en a été délogée par arrêté de la Préfecture de Paris, connue pour être un peu plus éborgneuse lorsqu’il de rassemblements de Blancs. Précisons que ces migrants étaient entourés et choyés par des associations immigrationnistes bienveillantes, qui laisseraient volontiers crever de faim des Français autochtones.

Mais comme il ne saurait être question de renvoyer ce petit monde chez lui, il a été décidé en haut lieu –  là où l’air est plus respirable que dans les bas-fonds de notre monde que ces décideurs ont activement contribué à dégrader – de déplacer ces migrants… en province !

https://www.franceinfo.fr/monde/europe/migrants/sans-abri-devant-la-mairie-de-paris-l-evacuation-des-350-migrants-debute_7431586.html

Des cars ont donc été mis à disposition de cette joyeuse bande illégale pour l’installer dans des SAS. Rien à voir avec les romans d’espionnage de Gérard de Villiers, SAS signifiant : sas d’accueil temporaire. Les migrants de l’Hôtel-de-Ville seront donc, pour une grande part, placés un peu partout en France, depuis l’Ille-et-Vilaine jusqu’à la Haute-Garonne en passant par le Cher. Ce qui ajoutera de l’insécurité et une perte nette de tranquillité dans ces départements déjà rudement éprouvés par l’immigration massive et sauvage imposée par Bruxelles et ce nouvel ordre mondial qui « n’existe pas » mais dont on voit tout de même beaucoup les effets dévastateurs.

On nous refait le coup des Jeux olympiques, quand les progressistes de tout poil nous avaient inventé le mieux-être des migrants en province plutôt qu’à traîner dans les rues de Paris et, à l’occasion, perturber la grand-messe sportive qui s’y déroulait. Et puis, contrairement au 6arrondissement de Paris, on n’a pas à tenir compte du « biotope » de la province, on peut au contraire y déverser tout ce dont ne veulent pas les bourgeois de la grande ville !

Peu importe que ces migrants en question ne soient pas de tout repos. Dit plus franchement, ils sont une plaie pour la province, rendant certaines communes salement invivables. Des communes qui croulent déjà sous le poids d’une délinquance issue d’une diversité naturalisée et haïssant à ce point la France qu’elle le fait bruyamment savoir là où elle se trouve, Limoges (Haute-Vienne) en a fait les frais en juillet dernier avec des émeutes ethniques particulièrement bien organisées et violentes.

La vie en province n’est pourtant pas un long fleuve tranquille, c’est plutôt un torrent de difficultés, à commencer par l’accès à l’emploi et aux soins. Aussi, alourdir la barque provinciale qui prend l’eau de toute part, c’est tout simplement criminel. Non, les migrants ne sont pas les bienvenus dans les campagnes et les villes de province où ils imposent, dès leur arrivée, une terreur dont les habitants n’ont ni besoin ni envie. Peu importe qu’une poignée de traîtres à leur pays – tels ces excités de l’Allier qui brament comme des cerfs en rut au moindre spectacle patriotique et courent ventre à terre au secours des migrants qu’ils traitent comme des vaches sacrées – voient dans cette invasion une « chance », la réalité est tout autre : c’est un fléau, particulièrement pour les femmes que ces prédateurs traquent comme du gibier sexuel.

Si l’immigration ne convient pas au 6arrondissement de Paris, elle ne convient pas mieux aux plages de Gravelines (Nord) ou aux rues de Montluçon (Allier). L’immigration est une pelle qui creuse la tombe des Français authentiques et il est temps de briser cet instrument de mort pour notre civilisation…

https://ripostelaique.com/arretez-de-prendre-la-province-pour-une-poubelle-a-migrants.html

Écrire un commentaire

Optionnel