Tandis que Bruxelles et Paris continuent de nous asséner leur discours mensonger sur les bienfaits du vivre-ensemble et les vertus d’une immigration de masse qui nous enrichit, la Hollande et le Danemark, deux pays où le mot liberté a encore un sens, nous livrent une étude très instructive sur l’impact économique des migrants suivant leur pays origine.
Il va de soi que pour nos élites antidémocrates qui refusent toujours les statistiques ethniques, une telle étude a forcément des relents racistes, et il y a fort à parier que nos médias aux ordres la mettront sous le tapis. Mais bloquer tout débat sur l’immigration ne fera que retarder l’heure de vérité, sans modifier l’inéluctable constat final : l’intégration est un échec et le coût de l’immigration extra-européenne nous entraine par le fond.
– Echelle de gauche, on lit la contribution nette d’un migrant sur toute une vie en milliers de dollars.
– Echelle du bas, on voit la contribution nette d’un migrant sur une année, en milliers de dollars.
On voit donc que l’apport net d’un migrant à la richesse nationale, c’est-à-dire sa contribution au PIB diminuée des dépenses sociales que l’État lui consacre, connait des écarts colossaux suivant son pays d’origine. Voici les deux extrêmes :
– Un migrant nord-américain rapporte 13 000 euros par an au pays d’accueil. Sur toute une vie, comportant 40 années de travail, son apport est de 520 000 euros.
– Inversement, un migrant issu de la corne de l’Afrique, coûte 23 000 euros au contribuable européen chaque année. Et sur une vie, l’ardoise monte à 600 000 euros.
On voit également qu’un migrant peut être contributeur net chaque année de sa vie professionnelle, mais peut devenir une charge à la fin de sa vie compte tenu du coût social de sa période d’inactivité.
On pourra toujours discuter sur la méthode de calcul utilisée, mais pas besoin d’avoir fait HEC pour comprendre qu’un migrant qualifié venu d’un pays occidental sera toujours plus productif qu’un migrant venu du Sahel, sans aucun diplôme ni qualification.
Si l’un d’eux représente une richesse indéniable, l’autre est un gouffre financier qui n’enrichit que son employeur. Car le patronat, qui réclame toujours plus d’immigration pour bénéficier d’une main d’oeuvre à bas prix, ne supporte pas le coût social d’un immigré non qualifié.
De plus, toute immigration est un apport de consommateurs, donc un moteur de la croissance. Peu importe pour le patronat si le PIB/hab diminue du moment que le PIB nominal augmente. C’est un calcul de court terme, car quand le pays sera ruiné, on se demande qui paiera l’ardoise sociale.
Notre immigration provenant essentiellement des pays les plus pauvres, où l’analphabétisme bat des records, celle-ci nous coule inexorablement.
Bien des études le montrent. L’immigration extra-européenne nous ruine. L’OID vient de chiffrer ce fardeau à 102 milliards par an, représentant la perte de PIB induite. Tout le contraire de l’immigration européenne des Trente Glorieuses.
Tous les immigrationnistes et les associations peuvent clamer que ces études sont fausses, ce sont bien les diplômes et les qualifications qui font la richesse d’un immigré.
Et comme l’Afrique produit moins de richesses que la France, avec 1,5 milliard d’habitants, il ne faut pas s’attendre à des miracles. Malgré un sous-sol richissime, ce continent reste désespérément sur la touche. La misère africaine s’exporte en Europe. Tout autre discours ne fait qu’aggraver le problème.
Jacques Guillemain
https://ripostelaique.com/constat-implacable-sur-lenrichissement-que-nous-apporte-limmigration.html