Dès le début de son apparition sous les projecteurs, il émanait d’Emmanuel Macron une aura de malfaisance, et l’on devinait au sourire et au regard de l’intéressé une ambition prête à tout, surtout au pire. Il ne nous a pas déçus.
Depuis ses sorties gratuitement blessantes alors qu’il n’était encore que ministre de l’Économie, traitant par exemple d’illettrées les femmes d’une usine de Bretagne, jusqu’à l’avilissement de la fonction présidentielle par des comportements d’adolescent attardé – on songe à ses frottements avec quelques mauvais garçons au taux de mélanine très prononcé, ou à la gifle donnée par sa non moins malfaisante femme dans l’avion présidentiel –, il nous aura tout fait, provoquant la risée internationale bien plus sûrement que les accoutrement grotesques de l’ancien Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, qui, en visite à l’étranger, adorait se déguiser comme Dupond et Dupont dans les aventures de Tintin. Macron aussi aime se déguiser, notamment en pilote d’avion de chasse, sous le regard hilare des vrais pilotes.
Si Emmanuel Macron était demeuré juste ridicule, c’eût été à peu près supportable. Mais, en psychopathe accompli, il a ordonné la mutilation physique de la France et particulièrement de son peuple réel lors des premières journées du mouvement des Gilets jaunes, à l’automne 2018. Ainsi, la répression a atteint un niveau inédit depuis l’avènement de la Ve République. Toute cela s’est accompli par la volonté d’un homme à la fois effrayé par la foule – qui venait pourtant le chercher en réponse à son défi – et enragé qu’on puisse lui tenir tête. S’il avait eu le pouvoir de faire tirer à balles réelles sur ces Français venus des terres oubliées par la mondialisation et criant leur désespoir, alors il est à craindre qu’il en aurait donné l’ordre. Faute de mieux, il s’est contenté d’envoyer ses milices d’ultragauche pour détruire un mouvement authentiquement populaire.
Cependant, comme beaucoup de décideurs à l’âme sale et aux mains propres en apparence, Macron est un couard. Pour preuve, au plus fort de la colère des Gilets jaunes, un hélicoptère stationnait dans les jardins de l’Élysée pour l’exfiltrer en cas de confrontation trop directe avec le peuple réel qu’il méprisait. Car les préférences de cet apatride convaincu – revendiqué comme tel par ses actes –vont à la diversité, qu’il a toujours choyée malgré ses pires exactions. En effet, même du temps de François Hollande, autrement appelé Nutella Ier, cette diversité ne s’était pas autant déchaînée que sous le règne mauvais d’Emmanuel Macron. En plus des violences ethnico-religieuses, des villes de France sont désormais livrées au narcotrafic, tenu par la même diversité. Un trafic grandement facilité par ces confinements absurdes et dévastateurs ordonnés pendant la crise du Covdi-19.
Macron est aussi et surtout un usurpateur. Il n’y a qu’à voir comment il a par deux fois accédé au pouvoir suprême, profitant des mannes de ses amis milliardaires qui, en plus de l’avoir inondé d’argent, lui ont ouvert les portes des médias en leur possession pour déverser sa propagande alarmiste et malhonnête destinée à faire peur aux Français trop crédules. Et si l’on regarde les chiffres des deux élections présidentielles gagnées par Macron, on constate qu’il n’a jamais obtenu la majorité réelle des électeurs, système électoral français oblige. Sans parler de la planche savonnée pour François Fillon lors de la première campagne présidentielle – avec une affaire cousue de fils blancs –, afin que ce soit Marine Le Pen qui accède au second tour, cette dernière diabolisée très efficacement pour l’empêcher d’accéder à la fonction suprême. Rebelote en 2022, même scénario, mêmes acteurs, même résultat. Si la politique est un nœud de de vipères, Macron a poussé cette réalité à son paroxysme.
Puis, par un caprice dont il a le secret, Macron a dissout l’Assemblée en 2024, sans obtenir de majorité à l’issue des élections. Depuis, il outrepasse ses droits constitutionnels et continue de se mêler des affaires d’un pays qui lui a clairement dit « non ». N’est pas de Gaulle qui veut, surtout pas ce nain Tracassin qui s’approprie, tout honte bue, la mémoire collective dont il va hypocritement célébrer les grandes figures et les grandes dates ici et là, proposant des discours vides où il nous joue la comédie de l’homme habité par l’Histoire. Mais que croit-il que Marc Bloch – dont Macron a décidé la panthéonisation – penserait de ce triste sire sans foi ni loi ? Un Marc Bloch qui fut décoré pendant la Première Guerre mondiale, résistant torturé et exécuté pendant la Seconde, enfin grand historien de la France rurale ?
Battant des records d’impopularité, obligé de se déplacer avec une armée de gardes du corps, haï, sifflé, moqué, Macron s’accroche pourtant au pouvoir comme une bernique sur le rocher. Mais la coupe est pleine, elle ne déborde plus seulement, elle se fissure, près de se casser. Le pays est au bord du précipice et Macron el puisse un peu plus chaque jour, avec une gourmandise de sadique.
Aussi, s’il restait un semblant d’honneur à cet individu diabolique, il ne persévérerait pas dans l’erreur et démissionnerait, puis s’enfuirait loin de la France pour ne laisser de lui qu’un souvenir nauséabond…
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